Échappée belle en moto

Je suis une femme mariée, mère de deux enfants, qui jongle tant bien que mal entre vie professionnelle, vie personnelle, et vie de famille. Je travaille beaucoup, mais je n’ai jamais fait ce fameux effort en plus qui m’aurait permis de grimper dans la hiérarchie de l’entreprise. Cela a été mon choix, et je l’assume. J’ai maintenu intacte ma passion pour le handball, un sport que je pratique depuis mon enfance, et je continue à jouer en club et à m’entraîner deux fois par semaine. Ce n’est pas du haut niveau, mais cela me permet de m’entretenir tout en me faisant plaisir.

Retour aux histoires candaulistes de femmes coquines

Un couple pas folichon, mais attaché à sa stabilité et ses passions

Ma famille est importante, et je prends soin d’elle. Je suis peut-être vieux jeu, mais je préfère prendre le temps de m’assurer que mes enfants ont bien fait leurs devoirs plutôt que de les laisser seuls sur YouTube. J’essaie de leur inculquer la passion de la lecture, du sport, de la musique, et je passe le plus de temps possible avec eux.

Mon mari est de la même trempe, nous nous sommes bien trouvés. Lui aussi est passé à côté d’une carrière plus rémunératrice, ayant choisi de continuer à jouer au football dans le club où il a débuté il y a plus de 30 ans. Il participe aux tâches ménagères, même s’il n’y excelle pas, et prend soin de nos enfants.

Avant de continuer la lecture... Dites-nous si la situation de ces personnes vous plaît.

Nous sommes un couple à l’ancienne. Nous sortons peu, nous avons peu de vie sociale. Ce n’est pas forcément par manque d’envie, mais plutôt par manque de temps. Nous avons des amis, mais ne les voyons que rarement. Selon les critères actuels, nous sommes un couple ennuyant.

Notre sortie annuelle en famille : Notre bouffée d’oxygène

Mais une fois par an, tout change. Chaque été, les enfants vont passer une semaine chez leurs grands-parents en Normandie, et ils sont ravis de pouvoir s’amuser dans les prés tout en mangeant les produits de la ferme. Notre travail est mis entre parenthèses, et nous nous déconnectons totalement, laissant nos téléphones à la maison.

Chaque année, nous enfilons une combinaison en cuir vieille de plus de 15 ans, mettons quelques affaires de rechange et le nécessaire de toilette dans un petit sac à dos et prenons la route. Nous enfourchons nos motos pour avaler les plus de 1000 kilomètres qui nous séparent de Brno, en République Tchèque.

C’est devenu une tradition, et nous ne savons même plus trop comment elle a commencé. Mais à présent, pour rien au monde nous ne manquerions le Grand prix de Moto de République Tchèque.

Une passion de couple est née, elle soude notre amour

La première fois, nous n’étions pas encore mariés, et notre fils allait naître que 5 ans plus tard… Nous étions en week-end romantique à Prague, quand le réceptionniste de l’hôtel où nous logions nous a conseillé de faire un saut à Brno pour voir la ville et profiter du grand prix qui s’y tient tous les ans. Nous n’étions même pas motards à l’époque, mais l’idée nous a séduits.

Le spectacle de ces bolides rugissants nous a conquis. Le bruit des moteurs, l’adrénaline, l’ambiance… Tout nous a plu et dès notre retour en France, nous passions notre permis moto.

Ces sujets pourraient vous intéresser

Collaboration rapprochée avec le stagiaire

Collaboration rapprochée avec le stagiaire
Cela faisait des années que je demandais un stagiaire, et cela faisait des années que l’on me répondait qu’il n’y avait pas de budget pour. Bien entendu il y avait toujours du budget pour que mes collègues masculins aient un stagiaire pour les aider chaque année, mais c’était différent. Retour aux histoires de femmes coquines...

Chaud lapin en apparence, qui finalement se débine

Chaud lapin en apparence, qui finalement se débine
Je fulmine dans le taxi qui me ramène chez moi, et comme d’habitude je me promets de ne plus jamais aller à un rendez-vous avec quelqu’un rencontré sur Tinder. Je sais bien que je ne tiendrais pas ma promesse, c’est bien trop pratique pour trouver des plans culs, mais à chaque fois que je tombe...

Trouver l’amour lesbien sans le cacher

Trouver l’amour lesbien sans le cacher
Quand j’entends les autres filles autour de moi qui passent leur temps à se plaindre de leur vie sentimentale, ça m’horripile. J’ai envie de les étrangler. Assise à la cantine de l’entreprise, je suis forcée d’écouter l’une de ces conversations que je ne supporte pas : "Ce week-end j’ai trouvé un mec super, mais une fois...

L’été suivant, nous sommes partis pour trois semaines de vacances à moto à travers l’Europe. Sans que ce soit vraiment prévu, nous nous sommes de nouveau retrouvés au Grand Prix de République Tchèque. Nous n’en avons manqué aucun depuis.

S’éclater grâce aux road trips en amoureux, sans oublier la baise

La route est longue, et nous nous arrêtons souvent. Nous décidons à quelles aires d’autoroutes nous allons faire une pause, et nous nous y retrouvons tous les deux. Entre ces arrêts, chacun roule comme il veut. Nous sommes la plupart du temps ensemble, mais il arrive que l’un d’entre nous choisisse de partir devant ou de rester à l’arrière, selon l’envie du moment.

C’est ça, la liberté offerte par la moto. Nous avons la possibilité de faire quelque chose ensemble, quelque chose qui nous unit, sans pour autant avoir besoin d’être constamment l’un à côté de l’autre ; Chacun de ces voyages ne fait que renforcer notre mariage. Chaque kilomètre parcouru nous rend plus amoureux l’un de l’autre.

D’ailleurs, pendant ces voyages, il ne se passe pas une nuit sans que nous ne fassions l’amour. Je ne saurais l’expliquer, mais chaque soir je me sens remplie de désir pour mon mari. Et son érection est un signe sans équivoque qu’il en va de même pour lui.

J’adore nos road trips estivaux.

Comment remercier un inconnu qui vous rend service ?

Il me fallut du temps pour me rendre compte de mon erreur. C’était une simple faute d’inattention, mais elle risquait de me coûter cher.

D’habitude, la première chose que nous faisons lorsque nous nous arrêtons sur une aire d’autoroute, c’est le plein d’essence. Mais à la dernière, une envie pressante d’uriner fit que je suis d’abord allée aux toilettes. En sortant, mon mari était déjà assis en terrasse avec deux cafés sur la table, et je suis allée le rejoindre sans y penser. Puis nous sommes repartis comme si de rien n’était. Nous faisons toujours le plein dès que nous arrivons, et c’était dans notre habitude de reprendre la route dès que nous finissions notre pause-café.

Malheureusement pour moi, je ne m’en suis pas rendue compte tout de suite. J’aurais pu m’arrêter vite fait à l’une des stations suivantes. J’aurais perdu un peu de temps, mais cela n’aurait pas été bien grave. Mais j’étais trop absorbée par la route, et je n’ai pas vérifié mon niveau d’essence. Lorsque ma moto a commencé à ralentir, j’ai d’abord cru à un incident mécanique. Puis j’ai vu le niveau de la jauge, et j’ai compris…

Rencontre avec un motard bienfaiteur

Cela faisait un quart d’heure que j’étais arrêtée en bordure d’autoroute sans savoir quoi faire. Mon mari était devant, et il allait m’attendre à l’endroit prévu, mais je n’avais aucun moyen de le contacter. Pour la première fois, je me dis que c’était une erreur de partir dans nos voyages sans téléphone. Nous aimions être coupés du monde, mais pour le coup nous étions coupés l’un de l’autre.

Je commençai à me faire à l’idée que j’allais devoir abandonner ma moto ici et marcher jusqu’au prochain poste de secours pour demander de l’aide quand un autre motard se gara sur la bande d’arrêt d’urgence à quelques mètres de moi. Je ne l’avais pas vu venir, et je sursautai lorsqu’il m’interpelle.

Il n’était pas Français. Je ne reconnaissais pas sa plaque d’immatriculation non plus. Il ne semblait pas être d’un pays européen. J’essayais de lui expliquer mon problème en anglais, mais il devint vite évident qu’il ne parlait pas un mot de la langue de Shakespeare. Heureusement, la situation était assez simple et avec seulement quelques gestes et sourires je parvins à lui expliquer que je n’avais plus d’essence.

Sans hésiter, il décida de siphonner quelques litres de son réservoir et me les offrit. Ce n’était pas beaucoup, mais cela suffisait pour atteindre la station d’essence suivante.

Tailler une pipe au motard pour lui dire merci

Je sais bien pourquoi j’ai fait ce que j’ai fait. Je ne me mens pas. S’il avait parlé français, s’il avait compris l’anglais, rien de tout ça ne se serait passé. Mais il ne comprenait rien à ce que je disais, et j’étais frustrée de ne pouvoir le remercier.

Il m’avait sortie d’une situation difficile, m’avait évité de sacrés problèmes et tout en moi me disait que je devais lui exprimer ma reconnaissance. Je suis vieux jeu, c’est comme cela que j’ai été éduquée.

Ne pouvant lui faire part de ma gratitude à travers mes mots, je décidai de le faire d’une autre manière. Nous étions sur le bord de l’autoroute, les conditions n’étaient pas les meilleures, mais je pus m’agenouiller devant lui, à moitié cachée de la vue des automobilistes par ma moto. Je le remerciai de tout ce qu’il avait fait pour moi d’une manière universelle. Même si je ne comprenais rien à tout ce qu’il me disait alors que je m’exécutais, je n’ai aucun doute qu’il a apprécié.

Sans faire la salope, sucer un autre mec que mon mari ne m'a pas déplu
Sans faire la salope, sucer un autre mec que mon mari ne m’a pas déplu

Ne pas évoquer cette fellation qui rendrait mon mari jaloux

Mon mari était inquiet lorsque je le retrouvai à l’endroit prévu. Cela faisait plus d’une heure qu’il m’attendait, et il avait peur que j’ai eu un accident.

C’est normal, moi aussi je me serais fait du souci à sa place.

Je lui racontai ma mésaventure, mais décidai de ne pas mentionner la manière dont s’était terminée ma brève rencontre avec mon sauveur mystérieux. Je n’avais pas honte de mes actes, mais je n’avais rien à y gagner en en parlant à mon mari. Peut-être qu’il aurait compris, peut-être pas. Avec les hommes, on ne sait jamais. Et je n’avais aucune envie de gâcher notre semaine de vacances.

C’est notre moment à nous, une tradition qui dure depuis des années, cela n’aurait servi à rien de tout risquer à cause d’une petite pipe de rien du tout, administrée par politesse.

Une parenthèse coquine dans une vie bien rangée

Dans un film, j’aurais retrouvé mon motard inconnu lors du Grand Prix. Si cela avait été une comédie romantique, nous serions tombés amoureux et je serais repartie avec lui vers un pays que je ne connaissais pas. Mais si cela avait été un drame, mon mari aurait découvert mon aventure et m’aurait quittée. Ou bien, si cela avait été une histoire tirée d’un réseau social, nous aurions terminé tous les trois au lit et j’aurais eu 50 orgasmes.

Mais c’était la vie réelle. Je ne l’ai jamais recroisé, et je ne sais toujours pas de quel pays il venait. Je n’ai même pas cherché à identifier les lettres sur sa plaque d’immatriculation. Cela ne m’intéresse pas. Ce n’était pas une aventure, je souhaitais juste remercier quelqu’un qui m’avait aidé. Je ne suis pas une salope, loin de là.

Et cela n’est sûrement pas un motif pour tout remettre en cause dans ma vie. Je sais que celle-ci peut paraître ennuyeuse, entre mon mari, mon travail et mes enfants, mais c’est la mienne et je ne l’échangerai pour rien au monde.

Mon mari, mon esclave sexuel

Mon mari, mon esclave sexuel
Cela fait 2 ans que Tony et moi sommes mariés. Nous nous sommes rencontrés dans une soirée organisée à la fac. Ce fut immédiatement le coup de foudre. Depuis, nous voilà unis à jamais par les liens sacrés du mariage. Au début, aucun de nous n’imaginait que j’aimais dominer les hommes comme s’ils étaient des...

Le fantasme qui comblera ma gourmandise

Le fantasme qui comblera ma gourmandise
J’en rêve depuis tellement longtemps… Je ne saurais dire à quel moment l’idée m’est venue pour la première fois, mais j’étais encore jeune. Pendant mes études à la faculté de droit, j’y ai souvent pensé. Je me rappelle d’un week-end durant lequel je m’étais décidée à me lancer, mais au dernier moment j’ai reculé. Je...

Comment j’ai craqué facilement pour un pilote de ligne

Comment j’ai craqué facilement pour un pilote de ligne
Je prends souvent l’avion. À vrai dire, je passe un peu ma vie entre les aéroports et les hôtels. Je suis à mon bureau seulement 2 ou 3 jours par mois, et cela fait des lustres que je n’ai pas dormi plus de 3 nuits de suite dans mon lit. Je me dis souvent que...