Cela fait trois mois que je suis célibataire, trois mois jour pour jour que j’ai dit à François que je ne voulais plus le voir, mettant ainsi fin à une relation nauséabonde de plusieurs années. J’aurais dû le faire bien avant, je le sais, mais je n’ai jamais eu le courage. On peut dire ce qu’on veut, ce n’est pas facile de mettre fin à une histoire d’amour, surtout quand il faut compenser le manque sexuellement.
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Pourtant dès le début c’était évident qu’il n’était pas pour moi, toutes mes amies me l’ont dit, mais je ne voulais pas ouvrir les yeux. Je lui trouvais toujours des excuses, j’acceptais l’inacceptable, je faisais des sacrifices immenses pour lui… Mais en retour je ne recevais rien, ou si peu.
Plusieurs fois j’ai voulu le quitter, mais à chaque fois il me prenait dans ses bras, me promettait de changer et immanquablement nous terminions au lit, et je tombais de nouveau sous son charme. Or, il faut dire que même s’il avait tous les défauts du monde comme petit copain, c’était l’amant parfait : endurant et bien équipé, mais surtout attentif à tous mes désirs et toutes mes envies. Avec lui, c’était l’orgasme assuré, à promis à tous les coups !
Et voilà, de nouveau je pense à nos ébats et je suis prise de nostalgie. François ne me manque pas du tout, je suis bien plus heureuse sans lui. J’ai repris goût à la vie, je vois de nouveau mes amies, ça va mieux au boulot, je me suis remis à l’escalade et au yoga : je suis de nouveau moi-même et ça fait du bien. Mais niveau sexe, forcément, c’est plus la même chose.
Compenser la solitude par l’onanisme
J’ai passé mes premières semaines de célibat à me masturber. Je savais que les orgasmes allaient me manquer, et pour ne pas retomber entre ses bras j’avais décidé de me satisfaire à volonté. Je me masturbais au réveil, au travail je prenais deux ou trois pauses pour me faire plaisir seule dans les toilettes, je me masturbais de nouveau à peine rentrée chez moi. Et puis encore le soir avant de m’endormir. Ma technique a bien fonctionné : avec cinq ou six orgasmes par jour, je n’avais pas envie de François dans mon lit.

Par contre, je n’avais jamais imaginé que cela pouvait être dangereux pour ma santé. Par conséquent, je suis allée voir le médecin dès que j’ai commencé à avoir mal, et il m’a confirmé ce que je craignais : luxation du poignet, repos complet obligatoire. Au bout de deux jours, je pensais de nouveau à François.
Bien décidée à ne pas craquer, je cherchais une alternative et épluchait les forums internet et les sites spécialisés à la recherche du jouet idéal. Cela peut sembler étonnant mais je n’avais jamais utilisé de sextoy auparavant, je n’en avais jamais eu besoin, et je découvrais un monde nouveau. Moi qui pensais que les godes étaient tous des espèces de bâton en plastique vibrant plus ou moins, je fus surprise.
Être heureuse dans le célibat : Un bon sextoy aide vraiment
Souhaitant ce qu’il existe de mieux je me décidais pour Lelo, une marque unanimement reconnue par tous les internautes pour la qualité de ses produits, et commandais un stimulateur de clitoris Sona. Les trois jours d’attente ont été longs, mais lorsqu’il est arrivé à la maison ça a été un festival ! Au début j’avais juste voulu l’essayer pour voir comment il fonctionne, mais j’y pris vite goût et je ne m’arrêtais qu’au bout de deux heures lorsque j’avais vidé la batterie et que je dus le mettre à charger. J’avais eu une bonne dizaine d’orgasmes et j’étais lessivée.
Depuis que Sona est avec moi, je commence à penser que je peux être heureuse en étant célibataire. Toujours prêt pour une partie de plaisir, me faisant jouir comme jamais, capable de tenir deux heures : combien d’hommes peuvent en dire autant ?
Je repris mon rythme de célibataire, me masturbant au réveil, au coucher, au bureau… J’ai acheté une batterie portable pour pouvoir le charger discrètement dans mon sac : si mes collègues aperçoivent mon nouvel ami en train de charger sur mon bureau, ils risquent de se poser des questions lorsqu’ils me voient aller aux toilettes.
Un joujou qui fait la différence quand on est seule
Discret et efficace, mon Sona m’a permis de remplir plusieurs fantasmes. J’ai toujours eu des envies exhibitionnistes sans jamais oser essayer, mais maintenant c’était si facile de me faire plaisir en public. La première fois, c’était au cinéma : j’étais encore timide, c’était plus simple dans le noir. Il m’a suffi de glisser discrètement ma main dans ma culotte, de poser mon jouet magique entre mes cuisses… et je n’étais plus concentrée sur le film !
Prenant confiance en moi, je me lançais de nouveaux défis chaque semaine et c’est comme ça que j’ai joui dans la cabine d’essayage d’un magasin de fringues, dans le bus, au restaurant, en réunion, dans le sauna de la salle d’escalade… je collectionnais les orgasmes à longueur de journée et n’aurais changé cela pour rien au monde. Coucher avec un homme ? Pourquoi faire ?
Ce jouet de plaisir pour adulte, devenu indispensable
J’étais constamment comblée, en toute circonstance.
Le bus était bondé, et bien entendu cela m’avait donné encore plus envie de me faire plaisir en cachette. Après avoir joui, entourée de visages tristes et fatigués, j’avais remis mon petit ami dans mon sac à main. Ou en tout cas, je pensais l’avoir mis dans mon sac à main, mais lorsque j’ai voulu l’utiliser au travail, il n’y était pas. Je ne sais pas comment je me suis débrouillée, mais j’ai dû le ranger à côté du sac, et il se balade probablement sur le plancher de l’autobus depuis.
Frustrée et énervée, je décidais de ne pas annuler ma séance de plaisir solitaire aux toilettes et de me rappeler aux bons souvenirs de ma main. Mais mon poignet était toujours douloureux, et mes doigts me semblaient maintenant inefficaces. Mon Sona me manquait !
J’hésitais à en commander un nouveau sur internet, mais j’étais au boulot et je n’avais pas vraiment envie que les gars du service informatique découvrent que je m’achetais des jouets pour adulte en ligne. Et puis je ne voulais pas attendre à nouveau trois jours avant de le recevoir. De toute façon, même si j’avais voulu, je n’aurais pas pu résister trois jours sans orgasmes : c’était un coup à faire des conneries, comme passer un coup de fil à François pour passer un moment ensemble en souvenir du bon vieux temps.
Découvrir seule un sexshop, une aventure
Bien décidée à ne pas retomber sous le charme de cet idiot et gâcher tous les efforts faits pour reconstruire ma vie, je décidais de passer dans un sexshop à la sortie du travail. Une rapide recherche sur mon téléphone m’appris qu’il y en avait un à quelques pâtés de maison, je pouvais y être en moins de dix minutes.
La journée au bureau me parut interminable.
Je m’étais préparée mentalement à découvrir un sexshop à l’ambiance glauque, plein de recoins sombres illuminés par des néons rouges qui grésillent. Je m’imaginais chercher un nouveau vibromasseur sous les regards scabreux d’hommes à l’hygiène douteuse, conseillée par une vendeuse ressemblant à une accro à l’héroïne, et les doutes commencèrent à m’assaillir en chemin.
Lorsque j’arrivais à la porte du magasin, j’étais convaincue que si je rentrais dans ce lieu de perdition je risquais d’être kidnappée par la mafia chinoise et envoyée par container dans un bordel à Macao, obligée de faire des passes pour pouvoir récupérer mon passeport. Oui… les préjugés… J’vous jure ! Alors que j’allais rebrousser chemin lorsque la porte du sexshop s’ouvrit et un couple en sortit en rigolant, un sac noir à la main.
Oser demander un sextoy pour femme
« J’ai trop hâte de l’essayer ! » fut la seule phrase que j’entendis de leur conversation tellement j’étais absorbée par mes pensées. Ils devaient avoir une trentaine d’années, il portait un costume et elle un tailleur : ils ressemblaient au couple de jeune cadre dynamiques que l’on voit en train de siroter un Frappuccino au Starbucks du coin. Où étaient passés les pervers nus sous leur gabardine et les yakuzas sensés me chloroformer ?

Je décidai donc d’être courageuse et ouvris la porte pour découvrir un grand espace lumineux, propre et bien rangé, avec le Boléro de Ravel en musique de fond. Je me promenais entre les rayons, émerveillée par la quantité invraisemblable de vêtements, jouets, livres, gadgets… Cela me paraissait absolument incroyable, comment avais-je pu me tromper autant ? Pourquoi personne ne m’avait-il parlé de cette merveilleuse caverne d’Ali Baba.
J’errais dans le magasin lorsqu’une vendeuse s’approcha de moi, souriante. En la regardant, je vis qu’elle était tatouée, mais ne ressemblait pas du tout à la junkie que je m’étais imaginée.
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« Est-ce que je peux vous aider madame ?
- Euh, oui. Je cherche un jouet. J’ai perdu le mien.
- Bien sûr quel genre de sextoy voulez-vous ? Stimulation du clitoris, vaginal, anal ? Rechargeable ou à pile ? Avec télécommande ? Avec ou sans fil ? Vous préférez silicone, verre ou métal ? »
Elle m’avait perdu avec toutes ses questions ! Je voulais juste un gode qui me fasse jouir. Décidant d’être honnête, je lui expliquai que je n’y connaissais rien, que j’avais perdu mon Sona et que je voulais quelque chose du même style.
« Vous dites que vous n’y connaissez rien, mais je vois que vous avez déjà choisi l’excellence : Lelo, la Rolls du sextoy ! Nous avons bien évidemment le Sona, mais si vous avez un peu de temps, laissez-moi vous présenter les autres produits de la gamme.»
Étant donné que j’avais un peu de temps, je passais l’heure suivante à écouter Aline, qui était étudiante en droit et ne se droguait pas, m’expliquer tout ce qu’il y a à savoir sur les différents sextoys. J’avais envie de tous les acheter, mais je n’avais pas le budget. Suivant les conseils de ma nouvelle amie vendeuse, je me décidais pour le Soraya, qui promettait de stimuler mon clitoris et mon point G en même temps.
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Après avoir payé, Aline me demanda si je souhaitais passer dans la cabine d’essayage. Je la regardais surprise, et elle m’expliqua en clignant de l’œil : « T’es pas la première à mourir d’envie d’essayer ton nouveau jouet. Auparavant, les clientes faisaient ça en cachette entre les rayons, alors on a décidé de mettre à disposition une cabine. Tu peux être tranquille : elle est propre et personne ne te voit. Par contre elle n’est pas insonorisée, mais ça, ça dépend de toi ! »

Frustrée par une journée sans orgasmes, ou presque, et excitée par la perspective d’une double orgasme clitoridien et vaginal, j’acceptais l’invitation sans hésiter et me retrouvais dans une petite cabine propre, avec serviettes et désinfectants à disposition. C’était bien plus propre ici que dans les toilettes du bureau.
Franchement, je ne sais pas trop combien de temps je suis restée à m’amuser seule, mais ce que je sais c’est que mon nouveau Soraya tenait toutes ses promesses ! Après un bon moment, je sortis de la cabine épuisée mais ravie. Les autres clients me souriaient, amusés, et je ne comprenais pas pourquoi. Aline aussi me regardait avec un grand sourire et me lança en riant : « Je t’avais prévenu que la cabine n’est pas insonorisée ! Mais ça me fait plaisir d’entendre que ton achat te satisfait ! »
Je sortis du magasin en rougissant. Vraiment ? J’avais crié si fort que ça ?
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