Le mois d’août me déprime toujours. Pour tout le monde l’été est synonyme de vacances à la mer, de fêtes sur la plage, de cocktails en terrasse… Mais la réalité est bien différente dans mon cas. Quand on est une jolie jeune femme comme moi, comment s’amuser en août ? Car le mois d’août, c’est une chaleur caniculaire qui m’empêche de bien dormir. La plupart des petits magasins sont fermés pour congés et je dois aller faire mes courses à l’autre bout de la ville. La majorité de mes amies est en vacances et je n’ai personne avec qui aller boire un verre. La salle de sport passe en horaire d’été et je ne peux plus aller nager quelques longueurs avant d’aller au boulot.
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Comment tromper l’ennui grâce au sexe ?
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Le mois d’août c’est quand la ville se transforme en ville fantôme : les bus sont à moitié vide, les restaurants sont fermés, et les rares personnes qui se promènent dans les rues sont accablées par la chaleur.
Ce mois maudit, c’est une ambiance de fin du monde. J’ai le sentiment d’être l’une des rares survivantes d’une catastrophe ayant éradiqué la moitié de la population et essayant tant bien que mal de continuer une vie normale.
Bien entendu, si je pouvais moi aussi aller en vacances sur la côte et m’amuser comme une folle je verrais les choses différemment. Danser toute la nuit, draguer des beaux surfeurs bronzés, dormir jusqu’à midi, parfaire mon bronzage…
Mais au lieu de ça, je vais au travail et je déprime.
C’est à peine 8h du matin, il fait déjà plus de 30 degrés dehors et dans le bus j’ai l’impression qu’il fait au moins 50 degrés. Je m’aère comme je peux, mais je transpire à grosses gouttes et mes vêtements me collent à la peau. Je me fais de l’air avec mon livre, mais la sensation de fraîcheur ne dure pas bien longtemps. Je change de position sur le siège pour essayer de moins transpirer, mais rien n’y fait, et j’ai encore cinq arrêts à attendre dans cette fournaise !
Passer le temps en faisant bander un homme mature
Nous sommes une dizaine tout au plus dans le bus et je remarque vite ce quinquagénaire qui me regarde fixement. Il me faut cependant quelques instants pour réaliser qu’il ne me dévisage pas, ses yeux sont orientés plus bas, en direction de ma poitrine. Cela m’étonne, je n’ai pas le genre de poitrine qui attire ainsi les hommes : un 85B tout ce qu’il y a de plus normal, rien qui ne sorte de l’ordinaire.
C’est en jetant un coup d’œil moi-même que je comprends pourquoi il me fixe ainsi. La transpiration a imbibé le tissu de ma robe blanche qui, collée à ma peau, est devenue à peu près transparente ! Évidemment qu’avec ces températures je ne porte pas de soutien-gorge et mes tétons se voient comme le nez au milieu de la figure…
Réalisant soudainement que je suis en train de m’exhiber en public je panique et descends précipitamment à l’arrêt suivant. Je finis le trajet à pied, en essayant d’éviter d’attirer l’attention sur moi.
Cet épisode coquin que je n’oublie pas…
Une fois arrivée au travail je profite de la fraîcheur agréable d’un bureau climatisé et je repense à l’incident du matin. Sur le coup, je me suis sentie honteuse et j’ai fui, mais maintenant que j’y repense, je trouve cela plutôt amusant.
Après tout, il ne s’est rien passé de grave et je me dis que j’ai fait un petit plaisir à cet homme, ce qui lui a rendu sa journée un peu meilleure. C’est agréable de rendre les gens heureux. Et puis c’est flatteur de savoir que je plais.
Je passe la journée à revivre l’incident, m’imaginant ce qu’il aurait pu se passer si je n’étais pas descendue aussi vite. Est-ce qu’il serait venu me parler ? Et si je lui en avais montré un peu plus, qu’aurait-il fait ? Plus j’y pense, plus les scénarios dans ma tête deviennent extravagants et excitants. Lorsque je rentre finalement chez moi, je m’avoue enfin ce qu’il était évident depuis plusieurs heures : cet incident m’a excité et j’ai envie de revivre cette situation, mais en y étant préparée cette fois.
Je suis aussi bonne qu’une ado, rien à leur envier
Dès le lendemain j’enfile une petite robe jaune au tissu très fin qui laisse entrevoir mes formes, même lorsqu’elle n’est pas mouillée. Je m’admire dans ma glace rêvant déjà des regards approbateurs de mon admirateur ; je m’imagine jouer sagement avec l’élastique de mon décolleté, le laisser entrevoir un peu plus qu’il ne devrait…
Le temps passe, et je me rends compte que je suis en retard. Je cours pour prendre mon bus, mais malgré tous mes efforts je n’y arrive pas et je le vois partir, emmenant celui qui devait se délecter devant le spectacle de mon décolleté transparent. Déçue, essoufflée, et énervée par les vingt minutes d’attente avant que ne vienne le prochain bus, je m’écroule sur le banc et sors mon téléphone pour me distraire.
Mais je n’arrive pas à me concentrer sur ma partie de Clash of Clans (on s’amuse comme on peut), constamment dérangée par les gloussements stupides de deux adolescentes attardées à mes côtés. Je les regarde et me rends compte qu’en réalité elles ont dépassé la vingtaine et doivent avoir presque mon âge. Pourquoi est-ce qu’elles rigolent ainsi en me regardant ?
Je m’aperçois alors que je me suis affalée sur le banc comme si c’était mon canapé : jambes écartées et robe relevée, ma culotte bien en évidence pour ceux qui souhaitent y jeter un coup d’œil. Embarrassée, je tire sur ma robe pour couvrir mes cuisses et croise les jambes en baissant la tête pour que personne ne me voit rougir.
Envahie par le besoin de chauffer des mecs
Ce n’est qu’une fois dans le bus que je me rends compte que je n’ai pas réagi du tout comme je le souhaitais. À ma décharge, je m’étais préparée pour qu’un homme se fasse plaisir en admirant mon décolleté, pas pour que des filles se moquent de ma culotte ! Mais finalement, c’est tout aussi excitant, et je décide donc de faire profiter les passagers du bus de ma petite culotte et écarte les jambes tout en me penchant vers l’arrière du fauteuil.

De nouveau, nous sommes peu nombreux dans cet autobus, mais j’observe avec plaisir que ma position ne passe pas inaperçue. Je remarque que ce cadre dynamique en costume ne pianote plus sur son téléphone, et bien qu’il fasse semblant de regarder l’écran, je vois ses yeux tournés résolument vers mon entrejambe. Je vois que cela lui plaît, la bosse de son pantalon ne ment pas. Cela me plait aussi, je sens bien que je suis toute mouillée.
Est-ce que ma culotte est mouillée ? Est-ce qu’il s’en est aperçu ?
Perdue dans mes fantaisies, je loupe mon arrêt et doit descendre en courant à l’arrêt suivant. Déjà que j’avais raté mon bus, maintenant mon arrêt… j’arrive avec un sacré retard au boulot.
Recroiser cet homme que j’excite fortement
Dès le lendemain, je décide de ne plus porter de culotte. C’est un grand pas pour moi, jamais avant je n’aurais osé faire ça : bien trop peur que quelqu’un s’en rende compte. Mais en seulement deux jours je me suis découverte une passion pour l’exhibitionnisme.
Cette fois, j’arrive à l’heure pour prendre mon bus et comme prévu je croise mon premier admirateur. Il n’est pas spécialement beau, et je n’ai jamais eu cette attraction qu’ont la plupart des autres filles pour les hommes plus âgés, mais je ressens une certaine tendresse pour lui. Après tout, c’est grâce à lui que j’ai commencé à en montrer plus que ce qu’une femme respectable ne devrait.
Je lui offre un spectacle de premier choix, attirant d’abord son regard vers ma poitrine en caressant nonchalamment du bout des doigts le fin tissu qui la recouvre, puis en décroisant mes jambes innocemment. Elles ne sont pas largement écartées comme hier, mais suffisamment pour qu’il puisse profiter d’un petit spectacle privé.
Ses yeux pétillants n’en perdent pas une miette et cela m’excite de le voir réfréner son désir de venir vers moi, m’écarter les cuisses et plonger sa langue dans mon intimité humide. Mais mon arrêt approche et je dois mettre fin à notre petite session de voyeurisme : pas question que j’arrive de nouveau en retard au bureau, je risque de me prendre un avertissement.

Il me dévisage lorsque je me lève, et je lui fais un clin d’œil alors que je descends du bus.
Quartier libre pour faire la chaudasse
C’est samedi aujourd’hui, et je suis rattrapée par ce satané mois d’août : pas de travail où passer ma journée, et surtout je n’ai aucun motif pour aller prendre le bus aujourd’hui. Cette histoire d’exhibitionnisme commençait vraiment à me plaire et je me sentais frustrée de ne pas pouvoir aller en ville.
Mais qu’est-ce qui m’empêche d’aller en ville exactement ? J’ai toute la journée de libre devant moi, et une nouvelle passion… Pourquoi ne pas en profiter ? En plus, je peux m’habiller comme je veux, je ne vais pas au bureau !
Je me décide rapidement pour une mini-jupe flottante facile à relever si le besoin s’en fait sentir, mais pour le haut j’hésite. J’ai un débardeur à mailles larges de toutes beauté, mais il me semble un peu trop osé : sans soutien-gorge, mes seins sont clairement visibles… J’enfile donc un débardeur blanc assez simple, mais suffisamment court pour laisser mon nombril à la vue de tous.
J’attire de nouveau les regards d’un homme seul dans le bus, mais cela ne m’excite pas autant que les jours précédents, j’ai commencé à m’y habituer. Frustrée, je me dis qu’il est temps de passer à la vitesse supérieure une fois en ville.
Exhibition dans la cabine d’essayage
Je n’ai aucune idée de ce que je souhaite faire, alors je me promène dans le centre en quête d’idées. Les têtes se tournent à mon passage, et je sais que plusieurs hommes se font plaisir à regarder sous ma jupe lorsque je prends les escalators des grands magasins. Cela me plaît, bien entendu, mais j’ai envie de plus, j’ai envie de quelque chose de spécial.
C’est en passant devant un magasin de vêtements pour femme que me vient l’idée. Je le vois, la trentaine, plutôt beau gosse, et s’ennuyant à mourir pendant que sa compagne essaie plusieurs dizaines de tenues. Ni une ni deux, je rentre dans le magasin et sans surprise il me remarque. Je file alors vers les cabines d’essayage, et m’installe dans la cabine voisine de celle de sa compagne.
Il remarque que je ne ferme pas le rideau, et se déplace légèrement pour mieux me voir. Sans le regarder, je m’assois sur la chaise, relève ma jupe et commence à me masturber frénétiquement. Je suis déjà mouillée, et savoir qu’il m’observe est tellement excitant… je n’ai besoin que de quelques dizaines de secondes pour me donner un orgasme sous ses yeux.
Je remets ma jupe et sors tranquillement de la cabine, fière de moi. Alors que je passe à ses côtés, je me tourne vers lui pour lui faire un clin d’œil. Il me sourit et d’un signe de tête discret me montre le mur derrière moi. C’est alors que je vois la pancarte avertissant que pour la propre sécurité des clients, toutes les cabines d’essayage sont sous vidéo-surveillance.
Chaudes pages de mon journal intime (jeunesse d’une salope)

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