Je me nomme Hortense, mais je préfère que l’on m’appelle par le pseudo “Maitresse H” durant mon service. Rien ne me différencie d’une femme ordinaire. Je deviens une tout autre personne quand j’exerce ma passion, la domination. Ce n’est pas mon métier, mais une activité dont je fais profiter à quelques hommes régulièrement. Je suis en effet une dominatrice à mi-temps, à mes heures perdues. Cela fait bientôt cinq ans que je m’adonne à cette activité. Depuis, je suis heureuse et épanouie. J’aime les hommes. Je les adore lorsqu’ils se soumettent à moi. L’inverse me déplaît. Hors de question l’idée d’être contrôlée par un homme. C’est un enfer dans lequel j’ai vécu sept ans avant de décider de divorcer.
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Je détiens actuellement deux hommes soumis à mes pratiques de BDSM, William et Marc. Ce sont deux hommes au tempérament un peu différent. William est le plus docile. Marc, quant à lui, me donne plus de travail avec son caractère rebelle et un peu violent. Cela ne me pose aucun problème, je le considère comme un challenge. Je préfère me restreindre à peu de personnes pour bien m’imprégner, afin d’avoir une meilleure emprise psychologique et l’ascendant physique sur eux. Aussi, je ne les reçois jamais simultanément.
Mon univers BDSM
J’ai chez moi un donjon BDSM spécifiquement aménagé pour les occasions. C’est une pièce de taille moyenne. Elle est simple, mais elle dispose du nécessaire. La lumière y est tamisée, et le décor sobre. J’y range tous mes accessoires BDSM, encore incomplets, mais suffisants pour martyriser sexuellement mes hommes. S’y trouve également une cage assez confinée dans laquelle mes soumis m’attendent le temps que je me prépare.
William, homme de la quarantaine, arrive chez moi quand je l’appelle. Je le contacte uniquement vers les débuts de soirée. Les séances ne se déroulent jamais en journée. Il importe qu’il vienne à chaque fois sinon la punition est conséquente à notre prochaine rencontre. Cette nuit-là, il avait répondu à mon appel. Il était arrivé, vêtu d’un large blouson et d’une chemise à carreaux lui donnant un air un peu coincé.
William est un peu timide, et il adore les jeux de domination-soumission. Il sonna à la porte et je lui ouvris habillée d’une tenue ordinaire. Je préfère rester discrète vis-à-vis de mes voisins. Mon invité entra. Je lui avais proposé de s’installer directement dans le donjon. Il s’exécuta. Je lui avais ensuite ordonné de se déshabiller et il accepta.
- « Qu’est-ce qu’un bon chien doit maintenant faire ? », lui demandais-je.
- « Porter sa cage à chasteté et attendre sa maitresse dans la cage d’attente » avait-il répondu.
William enfila la cage à chasteté. Il entra gentiment dans la cage avant de s’assoir sur le tabouret. J’avais ensuite verrouillé la porte, avant d’aller dans ma chambre pour me préparer.

Une cage d’attente inconfortable pour bien faire gémir le soumis
Un soumis des plus exemplaires
Les supplications sont intolérables. William ne devait en aucun cas se plaindre, peu importe le temps que je pusse prendre pour me préparer. Facile à gérer, lui imposer des règles était un jeu d’enfant, contrairement à Marc. J’avais rejoint William trois quarts d’heure après, habillée d’un pantalon noir moulant en latex et d’un petit haut. Une couleur rouge vif et brillante habillait mes lèvres. Mon maquillage m’apportait du caractère.
Je le libérais de sa cage avant de menotter ses mains dans le dos puis lui avais ordonné de se mettre à genoux. Je m’étais ensuite dirigée vers mon trône dans le coin de la pièce pour m’installer confortablement. J’avais ordonné à William de me rejoindre en se déplaçant à genoux. Je lui avais formellement interdit de marcher. Il s’exécuta.
Je prenais un certain plaisir à le regarder avancer en souffrant légèrement. Une fois arrivé, il devait lécher mes pieds et chacun de mes orteils. Je l’avais laissé savourer quelques instants avant de retirer mon pantalon pour qu’il me caresse les cuisses avec sa langue. En cet instant, je le fixais du regard en train de me satisfaire du mieux qu’il pouvait. Je sentais qu’il voulait se défaire de ses menottes, mais c’était impossible.
Je n’avais pas porté de sous-vêtements cette nuit-là et cela plaisait à William qui montait pour me lécher les entrailles. Il le fit avec une telle ardeur que je le récompensais en caressant légèrement sa tête. Je m’étais levé de mon trône quelque temps après pour lui défaire de ses menottes. Je l’avais attaché de nouveau à une corde suspendue. Il avait les bras levés cette fois-ci.
William, facile à dompter
L’heure de le fouetter était arrivée. J’avais pris la cravache posée avec les autres accessoires BDSM sur une table. Je commençais à le frapper. Il lui était interdit de se plaindre. Seuls des remerciements devaient sortir de sa bouche. Il devait même me supplier de continuer. Je lui flagellais le dos et les cuisses. Quelques coups de lanière atterrissaient sur son sexe encore encagé. Il criait dans ces moments-là. Il était tenté de se plaindre, mais il craignait les coups de fouet devenant plus vifs en me suppliant d’arrêter.

Bien attaché, mon sujet prend le fouet sur ses fesses qui rougissent
Je m’étais ensuite accroupie devant son sexe pour retirer la cage à chasteté. Je lui fis après une fellation intense. Pour tout dire, je n’avais pas eu à le masturber longtemps pour sentir qu’il était sur le point d’éjaculer et j’arrêtai d’un coup. Je sentais sa frustration l’envahir, tellement il prenait plaisir alors que j’avais préféré me retirer. Je l’avais giflé pour le calmer et pour m’imposer. « Ici, c’est moi la maitresse et toi le soumis. On obéit à mes ordres et à mes envies. » lui disais-je.

Il faut savoir faire monter son excitation avant de la couper net
Jeux de pénétration avec cet homme asservi
William s’était ressaisi, mais je sentais qu’il voulait me pénétrer. Ce n’était cependant pas encore le moment. Je lui avais fait porter un collier à laisse avant de le promener dans le donjon, comme un gentil toutou. Il s’exécuta avant de monter sur le lit, encore en position à quatre pattes. Je prévoyais de le sodomiser avec un plug anal.
Mon soumis adorait particulièrement cette activité. J’ajoutais un peu de lubrifiant pour qu’il n’ait pas trop mal aux fesses le lendemain. Durant la pénétration, je me masturbais de mon côté. Nous étions deux à nous épanouir avant que je ne l’ordonne de prendre le tabouret dans la cage d’attente. J’avais envie de qu’il me pénètre dessus. Il s’installa et je m’assis sur lui avant de mettre son sexe dans le mien. Nous avons terminé la séance dans ces circonstances. William avoua être lessivé, mais je ne lui permis de rester plus longtemps.
Comme j’aime cet être apprivoisé !
Je maintiens les hommes qui me sont soumis par un contrat BDSM stipulant tous les règlements. En général je n’hésite pas à en dénoncer un si quelqu’un vient à les enfreindre, hormis le cas de Marc. Je trouve le jeu de la domination-soumission exceptionnelle avec lui. Son caractère révoltant, rebelle et difficile apporte du peps à chaque séance. Lui et moi avons le même âge. C’est un point qui le différencie des autres personnes qui sont venues profiter de mes services. Les autres étaient tous plus âgés.
Il avait obtenu mon numéro grâce à un ancien soumis. Il disait vouloir simplement essayer la pratique BDSM, par simple curiosité. Cela fait bientôt un an qu’il est sous mon joug. Il n’est plus arrivé à se défaire de moi, de ma domination. Marc est un légionnaire. Je le pensais à l’époque facile à commander, étant donné son métier, mais il me montra le contraire.
Marc vient occasionnellement chez moi, et plus précisément lorsqu’il obtient une permission. Une nuit, je l’avais appelé, car il disait être de passage en ville. Il sonna à la porte et je lui ouvris. Je jouais sans attendre mon rôle de dominatrice, dès qu’il franchissait le seuil de ma maison. J’avais hâte de l’apprivoiser et de découvrir les surprises qu’il allait me faire vivre.
Savoir le faire mijoter un bon moment
- « Directement tu montes et tu te déshabilles », lui avais-je ordonné.
- « Oui Maitresse H », avait-il répondu, avec un sourire au coin des lèvres.
Je le suivais monter les escaliers, en admirant ses fesses. J’imaginais les jeux auxquelles nous pouvions nous adonner. Il s’était déshabillé. Je lui avais demandé de s’assoir dans la cage d’attente, avant de menotter ses mains dans le dos. J’avais également attaché ses pieds et je lui avais fait porter un collier relié au dossier de sa chaise. Il était quasiment immobile dans cette position. Comme d’habitude, je lui avais ordonné de patienter sagement jusqu’à mon retour. Je savais qu’il allait faire le contraire.
J’étais allée me préparer et au bout d’une dizaine de minutes, j’entendais Marc se plaindre. Impatient et difficile à dompter, il m’appelait, il criait et il lançait des insultes. Cela m’excitait. Il connaissait les ordres, mais il aimait les enfreindre. Il savait qu’il allait être puni par des coups de fouet intenses. Au fond de moi je prenais plaisir à le voir se rebeller.
Je l’avais fait patienter une bonne trentaine de minutes malgré la circonstance et ses gémissements. Je suis sadique, je savais pertinemment qu’il se fatiguait dans cette position insupportable. Il ne pouvait même pas se gratter si besoin. Je prenais mon temps à me faire sexy, avec mes lingeries et mes talons hauts. Je l’avais rejoint confiante et excitée.
Le faire osciller entre inconfort et satisfaction
- « Tu as été vilain à mon absence Marc », lui avais-je dit en souriant.
- « Détache-moi vite ! », avait-il crié.
J’étais habitué à ce genre de scénario avec lui. J’ouvris la porte en toute tranquillité. Je le détachais de ses menottes et j’avais également retiré sa laisse. Je lui avais ordonné de s’assoir sur une chaise installée au milieu de la pièce. Cela m’importait peu qu’il soit fatigué de rester en position assise. J’étais la maitresse et lui le dominé. Je faisais ce dont il me plaisait. Seule ma satisfaction comptait.

Un bon chien-chien qui nettoie les talons de sa Maitresse
Je lui avais de nouveau attaché les mains et les pieds avant de réaliser une ligature du sexe et des testicules. J’attachais son torse au dossier du siège. J’avais commencé à le fouetter tandis qu’il criait d’arrêter. Plus il m’insultait, plus je le frappais plus fort. J’adorais voir sa résistance à la douleur. Les marques sur son corps se multipliaient et il aimait cela.
Son sexe était bien raide et je m’étais mise à le masturber rigoureusement après avoir retiré les ligatures. Marc ne pouvait s’empêcher de fermer de plaisir ses yeux pour profiter de l’instant. J’avais arrêté en sentant son orgasme proche. Il était arrivé à un point de non-retour. Il était frustré en me voyant m’arrêter, et il me supplia de le détacher. Plusieurs autres scénarios devaient se passer, mais j’avais envie de lui.
Laisser le captif profiter du corps de sa Domina
Je l’avais donc détaché avant de l’attirer sur le lit grâce à la laisse. Toute nue, j’étais allongée et Marc me caressait intensément la chatte avec la langue. C’était un tourbillon de plaisir qui se mélangeait en moi. D’un geste, je l’avais poussé pour pouvoir le redresser. Je lui avais ordonné de se mettre sur le dos pour que je puisse m’offrir à lui.
Je sentis son sexe bien dur me pénétrer pendant quelques instants avant qu’il se redresse pour me prendre par-derrière. Mon soumis profitait de ma sensibilité pour essayer des positions dont il en avait envie. Je me laissais faire, dans ces moments d’impuissance.
Je me souviendrai de ma visite chez Daniel

Mon amant dominant derrière la webcam

Balade nocturne mouvementée
