Après trente ans de mariage, Martin et moi étions tombés dans une espèce de routine sexuelle. Je ne veux pas dire par là que nous n’avions plus de vie sexuelle, bien au contraire. De nombreux jeunes couples seraient certainement envieux de nos notre rythme, ce n’est pas là le problème.
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Depuis des années, notre intimité est riche en envies coquines
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Je ne dis pas non plus que nos pratiques manquaient de diversité, nous n’étions pas du genre à pratiquer seulement le missionnaire. Sans dire que nous avions essayé toutes les positions du Kama-Sutra, je suis convaincue que peu de positions accessibles aux personnes ayant une souplesse normale nous étaient inconnues.
Nous n’étions pas non plus du genre à le faire seulement dans le lit : Sous la douche, sur la table de la cuisine, contre la porte d’entrée, sur le canapé du salon, sur le tapis du bureau de Martin… Toutes les pièces de la maison y sont passées ! Même les toilettes, sur lesquelles j’ai pratiqué plusieurs fellations tout en faisant ma petite affaire. Une activité bien plus intéressante que de vérifier mes mails sur mon smartphone.
Nous avons aussi essayé le sexe en extérieur, mais cela ne nous a pas trop plu. C’est vrai que cela a un côté excitant absolument indéniable, mais niveau confort ce n’est pas trop ça. La banquette arrière d’une voiture, on peut dire ce qu’on veut, ça ne permet pas de se faire plaisir comme il se doit. En pleine nature, c’est sympa, mais je n’aime pas retrouver grain de sable, brin d’herbe ou fourmis dans ma culotte.
Notre vie sexuelle était active et variée malgré nos cinquante ans bien tassés, et l’attraction physique entre nous n’avait pas diminué d’un iota depuis notre rencontre. Mais tout cela manquait de nouveauté, et nous commencions à nous lasser.
Plan cam : Voir des filles en live nous excite
Un jour que je regardais des vidéos sur l’ordinateur du salon pendant que la langue de Martin s’activait entre mes cuisses, une publicité m’invitant à « voir des salopes en live » attira mon attention. Je cliquais pour découvrir de nombreuses jeunes femmes, toutes plus sexy les unes que les autres, s’offrant en spectacle depuis leur chambre ou leur salon.
J’étais sidérée par ce que je voyais et Martin, ayant probablement remarqué que je n’étais plus aussi réceptive à ses caresses buccales, me demanda ce que je faisais. Je l’invitais à mes côtés pour qu’il puisse voir lui aussi ces filles de tous âges discutant en direct avec les personnes qui les regardaient. Certaines parlaient, certaines écrivaient, certaines se contentaient de se montrer sans rien dire.
Nous avons passé le reste de l’après-midi à observer ces filles, passant de l’une à l’autre selon nos envies. Il y en avait des centaines, des milliers même, et toutes nous proposaient de passer un moment avec elle. C’était enivrant, surprenant, excitant… Et totalement nouveau pour nous.
Nous venions de découvrir le tchat par webcam, et cela allait changer notre vie.
Des premières tentatives qui nous laissent sur notre faim
Nous n’avons pas tardé à nous faire un compte et à mettre quelques crédits afin de commencer à profiter pleinement de notre découverte, mais les débuts n’ont pas été aussi facile que nous le pensions. Certaines filles étaient absolument superbes, mais malheureusement peu intéressantes et n’écoutant pas ce que nous leur disions. D’autres nous promettaient beaucoup, mais il était tellement visible qu’elles ne prenaient aucun plaisir à être avec nous et cela tuait notre désir.
Plusieurs fois, après une rencontre virtuelle décevante, nous avons pensé à effacer notre compte et abandonner, mais l’idée nous paraissait tellement excitante que nous y retournions à chaque fois. Nous étions convaincus que c’était exactement ce qu’il nous fallait pour redonner du piment à notre vie sexuelle, l’étincelle qu’il manquait ces dernières années.
C’est pourquoi nous avons continué pendant plusieurs semaines, à la recherche du modèle qui réussirait à nous offrir ce que nous attendions. Puis nous avons rencontré Karine.
Trouver la bonne camgirl pour des nudes et des shows récurrents
Au milieu de toutes les grandes blondes aux seins siliconés, nous avons trouvé cette petite brune à la poitrine menue et aux fesses rebondies.
Parmi toutes ces filles incapables de tenir une conversation intéressante, nous avons rencontré cette fille avec laquelle nous partagions de nombreux atomes crochus malgré la différence d’âge.
Après avoir vu tellement de modèles mimant l’orgasme d’une manière horriblement fausse, les jouissances à répétition de Karine nous envoyaient au septième ciel.

Nous venions la voir presque tous les soirs, et nous passions une ou deux heures tous les trois. Parfois nous ne faisions que discuter, mais la plupart du temps nos conversations prenaient une tournure de plus en plus excitante et il était difficile de résister. Karine tapait sur son clavier tout en dégrafant son soutien-gorge et je lui répondais, tandis que la main de Martin se glissait entre mes cuisses. Elle se caressait devant nous pendant que je prenais le sexe de Martin en bouche. La température montait vite avec Karine.
Le sexe par webcam, aussi excitant qu’en vrai
Ce qui me plaisait le plus, c’est lorsqu’elle utilisait ses jouets pour se faire plaisir. Cela m’excitait tellement. Je me penchais alors sur le bureau et Martin me prenait par derrière pendant que j’observais tous les faits et gestes de Karine. Ses orgasmes étaient tellement puissants, son plaisir était tellement réel, cela me rendait dingue.
Lorsqu’elle approchait son visage de la caméra, que je rapprochais mon visage de l’écran, je me sentais tellement près d’elle, j’avais l’impression de presque pouvoir la toucher. Je ne résistais jamais bien longtemps, et mes cris de plaisir accompagnaient les siens.
Martin n’était évidemment pas en reste et Karine avait pris l’habitude de lui dire où elle souhaitait qu’il termine. Elle aimait bien qu’il éjacule sur ma poitrine, son sperme coulant sur mes seins l’excitait. Elle nous offrait alors souvent le spectacle d’un ou deux orgasmes supplémentaires.
Une amitié coquine virtuelle mais forte
À force de passer autant de temps ensemble, nous avons fini par avoir une certaine complicité et au bout de quelques mois elle en savait plus sur notre vie que la plupart de nos amis. Notre vraie vie, pas celle que nous nous efforcions d’afficher en public. Il était devenu évident que nous préférions passer notre temps avec elle plutôt que de sortir en ville, car nous pouvions être nous-mêmes avec elle.
Nous ne sommes pas stupides, et nous nous rendions bien compte que nous devions payer pour ces moments, mais cela ne nous gênait pas. Comme disait Martin, on paie bien pour aller manger au restaurant, alors je ne vois pas où est le problème si on doit payer pour passer un moment en compagnie d’une jeune femme belle, intelligente et excitante.
Camgirl : Un job humain permettant de sociabiliser
C’est pourquoi nous sommes restés sans voix lorsque Karine nous a avoué son secret. Nous lui avions demandé plusieurs fois comment elle avait débuté en tant que camgirl, mais à chaque fois elle esquivait la question. Ne souhaitant pas être malpolis, nous n’insistions jamais, mais nous étions curieux. Lorsqu’elle nous avoua que c’était pour elle le seul moyen de gagner sa vie et de rencontrer des gens, nous nous sommes imaginé les pires choses, conditionnés notamment par les images colportées par la télévision affichant les mafias exploitant les jeunes filles.
Ce n’était pas son cas. Karine était agoraphobe, et ne pouvait sortir de chez elle. Elle l’avait toujours été, mais la maladie était restée contrôlable jusqu’à sa majorité. Puis les symptômes se sont aggravés et elle n’a plus pu sortir de chez elle. Ses amies venaient la voir au début, puis de moins en moins, puis plus du tout. N’ayant pas terminé ses études et ne pouvant évidemment pas se rendre à un entretien d’embauche, et encore moins travailler dans un bureau ou un lieu public, le monde du travail lui était fermé.
La découverte du tchat coquin a donc été une opportunité incroyable pour elle. Non seulement elle pouvait subvenir à ses besoins sans l’aide de ses parents, mais elle pouvait aussi avoir la vie sociale qui lui manquait tant. Et puis, être payée à se faire plaisir, qui pouvait refuser ?
Une visite aussi inattendue qu’agréable
C’est arrivé le jour de mon anniversaire.
Nous avions pris l’habitude d’aller au restaurant, mais cette fois-ci Martin m’a annoncé que nous resterions à la maison, qu’il s’occupait du dîner. L’idée de changer nos habitudes me plaisait, et je m’habillais d’un petit déshabillé sexy en attendant que mon mari rentre. Il m’avait prévenu qu’il rentrerait un peu tard, car il devait aller chercher mon cadeau. Je supposais qu’il en profiterait pour passer chez un traiteur. Je ne m’étais pas trompé, mais je n’y fis pas attention en voyant le cadeau qu’il m’avait apporté.
Karine l’accompagnait.
En la voyant, je la pris dans mes bras et l’embrassais comme si nous nous connaissions depuis l’enfance. J’étais tellement heureuse de la voir ! Elle me raconta comment Martin lui avait proposé d’aller la chercher et comment elle avait accepté sans hésiter. Je comprenais maintenant pourquoi mon mari m’avait prévenu qu’il rentrerait tard : il avait dû faire plus de 1500 km dans la journée !
J’étais ravie de voir Karine à la maison, et la soirée se déroula comme à notre habitude. Nous avons discuté autour du repas, puis la conversation a pris une tournure plus coquine à l’approche du dessert. Mais cette fois-ci, il n’y avait plus rien de virtuel.
Quel plaisir de passer du virtuel au réel avec Karine
Je pouvais aider Karine à dégrafer son soutien-gorge, et ses mains étaient libres pour en faire de même avec le mien.
Lorsque je pris Martin en bouche, Karine se joignit à moi et c’est ensemble que nous léchions le sexe tendu de mon mari.
Puis elle s’allongea sur le lit, et elle n’eut pas à se caresser seule. Quatre mains s’occupaient d’elle, parcourant sa peau douce, effleurant ses petits seins et, bien évidemment, explorant avidement son intimité.

Les orgasmes de Karine étaient encore plus excitants en vrai et je ne pouvais détacher mon regard de son corps luisant de transpiration. Sa cyprine coulait sur mes doigts, et je continuais à la masturber, me régalant de sa jouissance.
Quand Martin me prit en levrette, plus aucun écran ne me séparait de Karine et je sentis ses lèvres sur les miennes, ses mains caressant mon visage avec douceur. Mes cris de jouissance ne semblaient jamais s’arrêter.
Puis Karine me demanda la permission de faire jouir Martin sur mes seins. J’acquiesçais, et elle commença à le masturber vigoureusement, le faisant rapidement gicler sur ma poitrine qu’elle entreprit de lécher goulûment avant de m’embrasser et de se pelotonner contre moi. Elle dormit entre nous cette nuit-là.
Une nouvelle vie à trois : Vers le polyamour ?
Karine n’est jamais repartie. Cela s’est fait naturellement. Elle est restée un jour de plus, puis un autre jour, puis un autre… Au bout d’une semaine elle nous a demandé si cela nous dérangerait qu’elle travaille la journée, lorsque nous étions au bureau et nous lui avons proposé d’aménager la chambre d’ami pour elle. Martin fit un nouvel aller-retour pour ramener toutes ses affaires, et Karine s’installa définitivement.
Au final, rien n’a changé. Karine est toujours agoraphobe, ne peut pas sortir de chez elle, et elle passe ses journées à travailler comme camgirl. Mais elle ne vit plus seule.
Pour nous aussi, la vie continue comme avant. Nous allons au travail la journée, et le soir nous passons quelques heures avec Karine. Parfois, nous ne faisons que discuter.
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