Beurette à Paris – Découverte du gangbang avec mon patron

J’ai connu le délicieux Alain lors de mon entretien d’embauche. J’avais 26 ans à l’époque, et je venais de m’installer sur Paris. Comme la plupart des provinciales, j’étais venue avec des rêves plein la tête, l’envie de me taper plein de mecs, et j’étais certaine de me trouver un boulot bien payé rapidement. Avec mes qualifications et mon envie de travailler, il ne pouvait pas en être autrement. Pourtant, j’avais beau envoyer des CV et écrire des lettres de motivation, personne ne me convoquait pour un entretien.

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Jeune beurette qui veut s’intégrer à tout prix

La vie à Paris me plaisait : les bars, les concerts, les hommes… Je me sentais bien ici, mais mes économies fondaient comme neige au soleil et si je ne trouvais pas de boulot rapidement j’allais devoir rentrer chez mes parents à Marseille la tête basse. Je m’imaginais déjà affronter le regard de mon père, cachant sa tristesse et sa déception pour ne pas me blesser. Et ça, sans se rendre compte que c’était de savoir que je l’avais déçu qui me faisait mal, et pas le fait d’avoir échoué.

Non, je ne voulais pas rentrer et m’avouer vaincue. Même si je devais trouver un petit boulot au MacDo, ça me permettrait de payer mon loyer, en attendant de trouver mieux.

En discutant au téléphone avec une amie, elle me dit qu’elle avait eu le même problème au début, et qu’elle avait trouvé la solution.

« Amira, on est en France… Tu crois vraiment que les mecs des RH vont appeler la ptite Amira des quartiers Nord de Marseille ? Ils en ont rien à faire de tes études médicales, ils voient juste une jeune beurette qu’ils convoqueront au mieux juste pour essayer de la baiser ! Change ton nom ma grande, tu verras comme les entretiens vont pleuvoir ! »

J’avais des doutes, et étais dégoûtée de ce système, mais je n’avais rien à perdre. Je changeais mon nom en Amélie Sielard, originaire de Dijon, et envoyait trois candidatures. Dès le lendemain, on m’appelait pour un poste d’assistante dans un cabinet dentaire.

Un patron compréhensif et séduisant

L’homme qui m’accueillit avait une quarantaine d’années, les cheveux grisonnants et une petite bedaine, mais il restait séduisant. Il avait ce coté charismatique des hommes mûrs qui ne cherchent plus à impressionner les filles, mais qui prennent encore soin d’eux. Alain m’a plu dès le premier regard.

Les hommes ne résistent pas à la brune incandescente que je suis. Alain va succomber à l'envie de me baiser, j'en suis sure
Les hommes ne résistent pas à la brune incandescente que je suis. Alain va succomber à l’envie de me baiser, j’en suis sure

Malgré les conseils de mon amie, je ne souhaitais pas commencer un nouveau boulot à l’aide d’un faux CV, alors j’expliquais dès le début de l’entretien pourquoi j’avais menti sur mon nom. Alain me regarda avec un sourire en coin que je n’arrivais pas à interpréter, avant d’expliquer :

« Je sais ce que c’est d’avoir un prénom difficile à porter. Mes parents ont eu la bonne idée de m’appeler Adolphe, comme mon grand-père. Je vous laisse imaginer l’adolescence que j’ai eue. J’ai changé mon prénom nom dès que j’ai eu 18 ans. »

La suite de l’entretien se déroula parfaitement, et je ressortais avec une proposition de contrat. J’avais dit que j’avais besoin de quelques jours pour me décider, mais je savais déjà que j’allais accepter : le boulot était intéressant, et j’avais envie de travailler avec Alain.

Besoin de me faire baiser par mon boss

Les choses ont commencé doucement entre nous. Il me plaisait de plus en plus, mais ne semblait pas sensible à mes charmes ce qui me laissait supposer qu’il était soit gay, soit marié. Les hommes ne me résistaient pas d’habitude, ils succombaient tous à mon décolleté ravageur. Mais surtout, ils adoraient mes fesses rebondies (j’ai toujours appliqué ces petits exercices pour avoir un cul bombé et du succès auprès des hommes). Sinon pour devenir méga bonne, il faut aller à la salle de sport et être persévérante. Mais avec Alain même lorsque j’oubliais de mettre une culotte, ce qui arrive très souvent, rien ne se passait.

Alors je satisfaisais mes besoins avec d’autres hommes, mais c’est à lui que je pensais à chaque fois que je me faisais prendre par un inconnu rencontré dans un bar ou que je suçais l’un de mes ex.

Un vendredi soir, alors que nous rangions le cabinet avant de fermer, il me demanda quels étaient mes plans pour le week end. Saisissant l’occasion, je lui dis que je n’avais rien de prévu et lui demandais quels étaient les siens.

« Tu sais Amira, à mon âge les bars et les clubs ça ne me fait plus trop envie. Et les soirées auxquelles j’ai envie d’aller me sont maintenant inaccessibles. »

Sa réponse mystérieuse excita ma curiosité et je lui demandais plus de détails. Il me confia alors sa passion pour le libertinage, et m’avoua que depuis le décès de sa femme trois auparavant il n’avait plus personne avec qui aller en soirée. Il ne souhaitait pas rencontrer une nouvelle femme, mais adorerait faire la connaissance d’une partenaire avec laquelle passer du bon temps.

Un aveu qui m’excite terriblement

Abasourdie par ces révélations, je ne saisissais pas la perche tendue et rentrais seule chez moi.

Les hommes de Paris vont délaisser leur femme pour mon joli cul de beurette
Les hommes de Paris vont délaisser leur femme pour mon joli cul de beurette

Dès le lendemain, je fus saisie de regrets et commençais à m’informer sur le libertinage, les clubs, les saunas, etc. Je me rendais rapidement compte que toutes mes idées préconçues étaient fausses : Au lieu de vieux pervers et de filles à l’hygiène douteuse, je découvrais un monde raffiné de personnes éduquées qui recherchaient le plaisir sans aucun tabou. Comment avais-je pu ne pas découvrir ce monde auparavant ? Au lieu de perdre mon temps avec des imbéciles dans les bars dont la plupart n’avaient aucune idée de comment faire jouir une femme, je pouvais passer mes soirées avec quantités d’hommes expérimentés à la recherche de jouissance mutuelle !

Je décidais de faire d’une pierre deux coups, et trouvais une soirée gangbang organisée par l’un des clubs libertins les plus connus de la capitale avant d’envoyer un message d’invitation à Alain.

« Soirée Lady’s Pleasure en ville ce soir. Tu veux m’accompagner ? »

Sa réponse ne se fit pas attendre :

« Moi, évidemment ! Mais toi, tu es sûre ? »

Je souriais en lisant son message. Il pensait vraiment que j’étais le genre de filles à refuser de me faire plaisir ? C’est vrai que ces dernières semaines, en dehors de mes tenues provocatrices je n’avais pas vraiment montré mon côté sexuel… Après tout, c’était mon patron et on ne s’était croisés qu’au travail. Il allait voir ce qu’il allait voir.

« Sûre et certaine. Tu passes me prendre avant ? »

Je m’amusais en l’imaginant lire et relire le message ambigu, ne sachant que répondre. Il tarda une bonne dizaine de minutes avant de m’écrire.

« Ce sera un plaisir de passer te prendre chez toi avant de sortir. Quelle heure ? »

Découverte d’un club échangiste avec mon complice

Nous sommes arrivés au club vers 23h. J’étais déjà comblée par les trois orgasmes qu’Alain m’avait procuré avant de venir et je me demandais si j’allais trouver la force de me faire plaisir lors de cette soirée, mais mes doutes s’évanouirent dès que nous sommes entrés.

L’atmosphère était lubrique et distinguée, les hommes en costume côtoyant des femmes superbes aux tenue des plus sexy. Je me rendis rapidement compte que Alain était connu ici, nombre d’hommes et de femmes venant le saluer. Tous lui disaient à quel point ils étaient ravis de le revoir ici et le complimentaient pour la magnifique femme qui l’accompagnait.

Ce soir, je sens que ma bouche va être remplie par de bonnes grosses queues
Ce soir, je sens que ma bouche va être remplie par de bonnes grosses queues

Les compliments me ravissaient, bien entendu, et sans que je m’aperçoive de quoi que ce soit je me retrouvais assise à une table avec Alain et trois de ses amis. Aucun d’entre eux n’était aussi attractif que lui, mais ils avaient tous ce charme des hommes sûrs d’eux qui me plaît tant.

Lorsqu’ils m’interrogèrent sur mon expérience libertine et que je leur dis que c’était ma première fois dans un club, ils semblèrent surpris. L’un d’eux me demanda :

« Et tu es sûre que pour une première fois c’est raisonnable d’aller en soirée gangbang ? »

J’appréciais le fait qu’ils ne me forcent pas et qu’ils pensent à mon bien-être, mais je ne souhaitais pas leur laisser l’impression d’une fille mijorée. Non je n’avais pas d’expérience libertine, mais j’avais une longue liste d’amants derrière moi et je n’avais pas froid aux yeux.

Des pipes à la chaîne qui remplissent ma bouche de plusieurs spermes

En guise de réponse, je posais ma main sur la bosse de son pantalon et embrassait l’homme directement à ma droite tout en écartant les jambes, invitant les autres à participer. Ils m’enlevèrent rapidement ma robe, et je sentais leurs mains parcourant mon corps, tandis que je déboutonnais leurs pantalons à tour de rôle, libérant leurs sexes en érection.

Je les pris dans ma bouche un par un, bien décidée à les faire jouir tous dans ma bouche. Leurs caresses m’excitaient et je les suçais avec avidité. L’un d’eux ne tarda pas à jouir entre mes lèvres et je goutais son sperme sur ma langue avant de l’avaler et de passer à la seconde verge qui m’attendait.

J’étais à quatre pattes sur le canapé, la tête occupée entre les jambes d’un des amis d’Alain, sentant les mains de ses autres amis sur ma poitrine, mon dos, mes fesses, mes jambes, et je me délectais de toutes ses sensations lorsque je sentis un doigt se faire pressant entre mes fesses. L’un d’eux me testait, et je me cambrais un peu plus, l’invitant à aller plus loin.

Alors que ce doigt se frayait lentement un chemin en moi, ma bouche se remplit soudainement de sperme que j’avalais goulument. Deux hommes satisfaits, je passais donc au troisième ami d’Alain, le mieux doté d’entre tous.

Ma bouche ne désemplit pas de ces queues bien raides

Je léchais sa belle et longue érection des testicules jusqu’au bout du gland lorsque le doigt investigateur repris sa place entre mes fesses et me pénétra doucement mais sûrement. Je sentais mon anus se détendre sous ses caresses et s’ouvrir pour lui. C’était loin d’être la première fois que je prenais du plaisir par derrière, mais ce doigt savait ce qu’il faisait, me caressant et me pénétrant d’une manière qui me rendait dingue.

Bientôt, j’étais tellement obnubilée par le plaisir que je sentais que je ne pouvais plus me concentrer sur la pipe que j’essayais de tailler, me contentant de garder ce sexe énorme entre mes lèvres pendant que je profitais de cette incroyable caresse anale. Je sentais l’orgasme monter en moi, les muscles se contracter, les fourmillements dans mon bas-ventre… La tension grimpait, grimpait…

Lorsqu’un deuxième doigt rejoint le premier entre mes fesses je ne pus résister et je jouis avec un long cri de plaisir à peine étouffé par le sexe qui remplissait ma bouche. Mon plaisir eut d’ailleurs de l’effet sur celui-ci, car de nouveau ma bouche se remplissait de sperme chaud et mes cris de jouissance se transformèrent en gargouillis tandis que le liquide chaud et visqueux me coulait dans la gorge.

Il me fallut quelques instants pour me remettre de mes émotions et me retourner pour voir le visage souriant d’Alain, ses doigts toujours profondément en moi.

Un équilibre libertin trouvé avec mon amant

La suite de la soirée fut plaisante, et je fis la connaissance de la plupart des amis d’Alain. Je les revois souvent, presque tous les week-ends, et à chaque fois nous passons une excellente soirée.

Alain et moi ne sommes pas ensemble : il ne souhaite pas une nouvelle femme, et je ne suis pas prête pour une relation sérieuse.

On couche rarement ensemble au cabinet, mais ça nous arrive de temps en temps. Par contre, tous les samedis soir nous sortons, arpentant la scène libertine parisienne selon nos envies. Je comprends maintenant ce que voulait dire Alain : Maintenant que j’ai découvert le monde libertin, moi non plus, les bars et les clubs ça ne me fait plus trop envie.

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