Veuve éplorée cherche amant

Je m’appelle Corinne, 33 ans, professeur de sociologie à la Sorbonne à Paris. J’ai perdu mon mari, Patrick, il y a tout juste 1 mois. Il avait 60 ans lorsqu’une crise cardiaque l’a terrassé. Pourtant il avait une grande forme. Il faisait du sport et était vraiment dynamique, malgré son âge. Mais le destin avant frappé sans prévenir. Aujourd’hui, je me sens tellement seule. Heureusement mes cours accaparent pratiquement tout mon temps. Et ça fait maintenant quelques jours que je remarque les regards très appuyés de l’un de mes étudiants, Kévin, tout juste 22 ans ! Ça survient si vite après le départ de mon cher Patrick. Mais les yeux perçants de ce jeune homme m’émoustillent, je dois bien l’avouer. Tellement que j’attends toujours avec impatience mes cours avec la classe des 5ème année ! S’il fait ne serait-ce qu’un pas vers, je ne résisterai certainement pas !

Retour aux histoires de femmes coquines

Ma rencontre avec Patrick, fringuant sexagénaire

Il y a six mois encore, j’avais une vie de couple particulièrement vivante. Mon mari était un homme bien plus âgé que moi. Mais il était d’une coquinerie qui dépasse l’entendement !

Il était le doyen de l’université de la Sorbonne lorsque je l’ai rencontré. J’étais encore une jeune femme ingénue et timide. Il m’avait fait passer un entretien. C’était il y a 10 ans déjà. J’avais 23 ans. Lui en avant 50. Il était tellement séduisant dans son costume super chic. Sans doute un Armani. Enfin, je n’en savais rien. Mais il avait un sex appeal qui ne me laissait pas indifférente. Et pourtant… j’étais encore vierge à l’époque. Eh oui ! J’avais été l’archétype même de l’étudiante modèle. Tellement absorbée par mes études en sociologie que je n’étais jamais sortie avec personne.

Un professeur intimidant

Avant de continuer la lecture... Dites-nous si la situation de ces personnes vous plaît.

Le jour de l’entretien, j’avais débarqué avec ma jupe plissée qui descendait au-dessous des genoux. Cette entrevue fut inoubliable :

  • Bonjour jeune demoiselle. Alors, comme ça, vous voulez devenir prof ici ?
  • Oui monsieur (J’étais vraiment gênée, je ne savais où me mettre, cet homme au charisme fou m’intimidait)
  • Mademoiselle ?
  • Corinne PINSON
  • Quel joli prénom et quel nom ! Corinne, les étudiants vont faire une seule bouchée de vous, si vous êtes si timide. Avec votre look digne d’une nonne, vous allez inspirer des commentaires… qui risquent de vous mettre mal à l’aise !
  • Je suis ici pour enseigner monsieur. Je suis qualifiée et je possède un diplôme de…
  • Suffit mademoiselle ! Je n’ai aucun doute sur vos capacités. Vous avez l’air tellement innocente. Je n’ai pas envie de vous jeter dans la cage aux loups !
  • Mais…
  • Regardez votre chemise fermée jusqu’au cou, vous n’étouffez pas ?
  • Non non monsieur
  • Allez, ouvrez-moi ça s’il vous plaît. C’est si dommage de cacher votre peau si laiteuse. Et ôtez moi aussi ce cardigan. Jaune !
  • Euh, monsieur, est-ce que j’ai une chance pour le poste ?
  • Oui ma chère, vous êtes prise. Avant même que vous n’entriez ici. Je savais que vous seriez la candidate idéale. Par contre, je pensais que vous seriez celle qui allait dompter les fauves. Pas le contraire.
  • Dompter ? Les fauves ? Disais-je, hésitante. Sont-ils si terribles ?
  • Ma chère, ils sont à peine plus âgés que vous ! Ils vont vous faire des misères ! Allez, enlevez-moi tout ça, je vous dis !
  • (Il avait haussé le ton… je m’exécutais alors, retirant mon foulard fleuri et déboutonnant mon chemisier, puis je fourrais mon cardigan dans mon gros sac) C’est bon maintenant ?
  • Non, détachez-moi aussi ces cheveux !
  • (Sans poser de questions, je m’exécutais de nouveau)
  • Voilà ma toute belle.

(…)

Mon futur mari, mon premier amant

Cette première rencontre semble si lointaine. Nous nous étions mariés à peine 6 mois après. Il aura fallu seulement 3 semaines pour qu’il me prenne ma virginité et qu’il me transporte dans un univers de volupté dont j’ignorais totalement l’existence !

Ça s’était passé un vendredi soir alors que j’étais harassée après une journée de cours interminable, avec des étudiants qui semblaient s’être ligués pour me mener la vie dure ! Dès le premier jour, Patrick m’avait fait la cour et m’avait emmenée au restaurant. Il a suffi d’une soirée pour qu’il m’embrasse déjà. De deux soirées, pour qu’il commence à promener ses mains baladeuses partout sur mon corps, insistant dans mon entrejambe lorsque nous étions dans sa voiture.

Nous étions donc un vendredi soir et il m’avait promis une soirée inoubliable. Comme d’habitude depuis que je suis devenue prof à la Sorbonne, il me récupérait tous les soirs dans sa belle Mercedes, follement classe.

Je le rejoignais devant, avec un entrain qui me caractérisait désormais depuis que je le connaissais. J’avais également adopté des tenues plus coquines. Des jupes plus courtes et des hauts plus décolletés. Et bien sûr, j’avais totalement renouvelé ma lingerie, abandonnant les culottes de grand-mère que je trouvais si confortables alors.

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Alors que je m’installais, il me caressa la cuisse avec une grande tendresse qui me causait directement une moiteur au niveau de ma chatte. Je ne comprenais pas encore où cela pouvait mener, mais c’était tellement agréable.

Un logement impressionnant où envisager une étreinte passionnée

Je lui demandais alors où il m’emmenait. Il m’avoua qu’on allait chez lui. C’était la toute première fois. Je lui dis alors que j’étais affamée. Il me demanda de ne pas m’inquiéter et qu’il avait tout prévu ! Il continuait à caresser ma cuisse en douceur…

Une fois arrivée chez lui, j’étais tout simplement en extase. Il habitait dans un immeuble parisien très cossu. Il occupait le dernier étage d’une bâtisse ancienne. C’était tellement opulent. Ce qui me frappa encore plus, c’était la profusion de nourriture qui nous attendait. Sans étonnement, je vis des fraises, du champagne, du chocolat, des huîtres… Il avait tout prévu.

Dès que nous étions arrivés, il m’embrassa à peine bouche en me prenant les deux fesses entre les mains. Il me disait qu’il avait tellement envie de moi. Je lui avais déjà fait comprendre auparavant que j’étais toujours vierge… C’était probablement pour cette raison qu’il se montrait si doux.

Il continua ensuite en me donnant de belles fraises et un peu de champagne. Il me fit goûter à différentes nourritures en me précisant que celles-ci avaient toutes des vertus aphrodisiaques. En réalité, je n’en avais pas besoin pour être tout excitée…

J’avais tellement envie de lui. En tout cas, j’avais envie et besoin de quelque chose que je ne pouvais pas décrire. Ma chatte palpitait au même rythme que mon cœur. J’étais affamée… non plus de nourriture, mais de lui.

Au moment fatidique, il m’emmena vers un large canapé où il me demanda de m’asseoir et d’écarter mes cuisses…

Quand on se retrouve seuls à la fac, je mouille d'envie que cet étudiant me prenne virilement

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Une première fois inoubliable

Il me déshabilla complètement, en prenant toujours son temps. J’étais tellement impatiente. Alors que j’étais toute nue et un peu gênée, il s’attela à me lécher goulument la chatte. Je sentais que mon entrejambe dégoulinait littéralement. Et surtout, une tension commençait à monter encore et encore.

Sans savoir ce qui m’arrivait, je sentais une explosion retentir en moi ! Je me tortillai sous ses lèvres et sous ses coups de langue. Alors que je pensais que c’était terminé, il glissa un doigt en moi. C’était légèrement brûlant, mais un plaisir encore plus intense m’envahit presque aussitôt. Je ne pouvais plus me retenir de crier, tellement c’était délicieux. Un délice dont je ne serai jamais sans doute rassasiée !

Une deuxième fois, mon corps fut pris de soubresauts ! Patrick me rendait folle. Mais je sentais au fond de moi que tout cela n’était encore rien. Mon chéri m’invita ensuite à m’allonger sur le canapé qui était sûrement imprégné mes sécrétions intimes !

Il se plaça ensuite au-dessus de moi et me susurra des mots doux, m’assurant que ça allait bien se passer. Il écarta mes jambes en douceur puis je sentis quelque chose de dur à l’entrée de ma chatte. Ça avait l’air assez imposant, je ne pus m’empêcher de glisser une main entre nous deux pour prendre son membre dur entre les doigts.

Il était énorme ! Il retira ma main en douceur et entreprit de me pénétrer. Mon corps opposait toutefois une résistance. Alors que j’étais au bord de la panique, il m’embrassa sauvagement tout en me pénétrant millimètre par millimètre.

Une queue de dominant que ma chatte a tolérée

Une brûlure intense me frappa alors, j’étais tentée de me débattre, mais ses douces caresses m’encourageaient à me détendre. La douleur commençait alors à s’adoucir et je le sentais désormais s’imbriquer plus confortablement en moi.

Il se mit alors à faire des va-et-vient tout en me chuchotant sans arrêt des mots doux et même des mots d’amour à l’oreille. C’était toujours peu agréable, mais ses caresses rendaient la chose plus sensuelle. Il continuait toujours à bouger en moi, mais ça faisait toujours un peu mal. Puis, il se mit à se crisper sur moi tout en disant qu’il m’aimait ! Et je sentais un liquide chaud s’écouler hors de ma féminité ! C’était donc terminé ?

À peine eussé-je le temps de réfléchir qu’il descendit vers ma chatte. Après m’avoir essuyé avec une serviette qui était déjà à portée de main, il se mit de nouveau à me lécher mon vagin dégoulinant. Avec encore plus de douceur que précédemment. Et encore, une fois, un orgasme me frappe de plein fouet ! Mais cette fois-ci, je ressentais une envie folle qu’il me pénètre de nouveau.

Je fus alors plus entreprenante je m’allongeais de nouveau sur le sofa et je le dirigeais sur moi, lui faisant comprendre que je voulais qu’il entre en moi. Il me dit alors que j’avais de la chance d’être bandante, car il était de nouveau dur. J’avais un peu peur de la douleur, mais étonnamment, il glissa littéralement en moi. Et un plaisir indicible m’envahit tout entière ! Et je fis l’expérience d’un orgasme encore plus intense. J’étais tout simplement comblée et heureuse…

Kévin, ma tentation

Ma vie trépidante avec Patrick semble déjà si lointaine. Et chaque fois que j’entrais en cours, je cherchais toujours Kévin des yeux. Aujourd’hui, j’ai même fait exprès de ne pas porter de culotte. Je ne sais pas du tout ce que la journée me réserve. J’avais un peu peur que Kévin me fasse des avances, mais le sexe me manque tellement qu’il est probable que je sois celle qui allait faire le premier pas vers lui !

Nous étions donc en cours et… contre toute attente, Kévin vint s’installer au premier rang ! C’était parfait. Je m’assis juste en face de lui, les jambes écartées, laissant clairement entrevoir ma chatte bien épilée. Il profitait d’une magnifique vue depuis sa place ! Il ne manqua pas de le constater et me regarda en se léchant les lèvres. Ce qui acheva de me déconcentrer totalement. J’annonçais directement à mes étudiants que les cours sont annulés, car j’avais une urgence à régler. C’était tellement peu professionnel… Mais voilà, je voulais Kévin. Ici et maintenant. Enfin maintenant, c’est sûr.

5 à 7 coquins avec mon étudiant favori

Les étudiants sortaient alors allègrement de la salle. Je ne fus pas surprise de constater que Kévin était resté dans la salle. Une fois que tout le monde était sorti, je me dirigeais à mon tour vers la porte, suivi de près par mon étudiant. Dont je pris la main et la dirigeait vers ma chatte. Puis je lui donnais rendez-vous dans le parking. Bien évidemment, nous n’allions pas faire les coquins dans la salle de cours. J’allais l’emmener chez moi. Et je n’avais même pas pris de lui demander la permission !

Arrivée au parking, j’avais quand même un peu peur qu’il me fasse faux bond… mais il était bien là. Nous entrions dans la voiture… moi au volant, lui sur le siège passage. Il mit directement sa main dans mon entrejambe déjà inondé. Direction mon appartement où nous allions passer des moments sûrement intenses !

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