Assumer mon côté croqueuse d’hommes : Aucun problème !

Je m’appelle Carla, j’ai 35 ans. Aujourd’hui, je suis au top de ma beauté et je peux dire que tout me réussit. J’habite dans un appartement situé en plein Paris, dans une de ces belles bâtisses en pierre avec les volets hauts et qui donne sur une rue piétonne. Et devinez quoi ? J’en suis propriétaire car j’en ai hérité. Si je le revendais au prix du marché immobilier actuel, je serais millionnaire.

Retour aux histoires candaulistes de femmes coquines

Mon succès, je le dois à ma personnalité. À vrai dire, je suis une femme dominatrice dans tous les domaines. J’ai commencé à comprendre le mécanisme de la vie, de l’argent et des hommes vers 18 ans. J’étais une petite fille et une adolescente timide jusqu’au jour où j’ai rencontré Marcus. Le bel homme ténébreux que j’ai rencontré un soir dans un bar près de mon campus en région parisienne.

Il avait la trentaine, il passait par hasard dans le coin, c’était mon jour de chance. À 18 ans, j’étais encore vierge et n’avais pas encore laissé un garçon s’approcher de façon intime de mon corps. Par contre, j’étais déjà active sexuellement depuis mes 12 ans. En effet, j’ai découvert ce petit triangle qui procure du plaisir à cet âge. J’ai senti mon premier orgasme comme dans un rêve. Et depuis, je me suis masturbée avec des livres érotiques ou des films érotiques que je me procurais en secret.

Marcus, celui qui m’a fait aimer le sexe

Avant de continuer la lecture... Dites-nous si la situation de ces personnes vous plaît.

Le soir où j’ai rencontré Marcus a été comme tous les autres soirs où je voulais boire quelques cocktails pour tuer mon ennui. Les garçons de mon campus ne m’intéressaient guère et pour ne pas mentir, j’ai rêvé secrètement de cette rencontre avec un bel inconnu. Alors, j’étais au bar à siroter mon deuxième verre lorsque Marcus surgit à côté de moi et prit la chaise de bar qui était juste à ma droite. J’ai tourné la tête vers lui et je crois que l’attirance a été immédiate et réciproque.

Après quelques conversations banales, il m’a proposé de faire une balade dans sa voiture de sport. Au fond de moi, j’avais hâte de m’offrir à ce gars. Et plus que tout, j’avais envie de le déshabiller, de l’embrasser, de le mordiller et qu’il ne se fasse pas prier pour me déflorer. Mon excitation était à son comble après quelques kilomètres de la sortie de la ville. Je lui ai dit mot pour mot : « Arrête-toi et baise-moi ! »

Marcus ne s’est pas fait prier, il a pris ma main et l’a déposée sur son engin qui était déjà enflé en dessous de son chino beige. Il a trouvé un endroit dans les bois où nous pouvions nous éclater sans attirer l’attention. Dès qu’il a coupé le moteur, il a mis ses doigts sous ma petite jupe. J’étais déjà humide, tellement humide qu’il grognait des mots incompréhensibles à mon égard. Dans ses yeux, je ne voyais que du désir brûlant et encourageant. Je lui ai demandé de passer à l’arrière de la caisse.

Du sexe sauvage à l’arrière d’une voiture

Je n’ai pas perdu du temps, je commençais à lui retirer sa chemise comme une experte. À aucun moment, je ne lui ai avoué que j’étais encore vierge et sans expérience. J’avais trop de scénarios érotiques dans ma tête, je me suis laissé emporter par les vagues de chaleur qui n’arrêtaient pas de gronder dans mon bas ventre. Marcus est très musclé, le corps typique d’un bel Italien, j’étais comme dans un rêve éveillé en le touchant avec avidité et en l’embrassant langoureusement.

En quelques minutes, nous nous retrouvons dévêtus et pleins de désirs. Chaque caresse qu’il me procurait était à la fois une extase et une douleur d’impatience. Il a commencé à me doigter et moi en réponse à ce geste, j’ai haleté d’excitation jusqu’à en crier. Mais il ne s’est pas arrêté là, il s’est agenouillé devant moi et a écarté mes cuisses pour avoir une vue dégagée sur ma féminité. Il m’a mangé la chatte avec sensualité, tantôt avec sa langue tantôt de sa bouche charnue et experte.

D’un coup, j’ai eu un orgasme intense et incontrôlé. Un de ces orgasmes qui vient des tripes et qui secoue tout le corps. Après que je sois revenue à moi, je le regarde en train de me mettre dans une position plus confortable pour me pénétrer. Je ne sais pas ce qui m’a prise, mais je l’ai basculé et je me suis retrouvée sur lui. En peu de temps, j’ai senti son pénis me pénétrer tout doucement et sans résistance. À vrai dire, j’étais tellement mouillée et excitée que la chose se soit faite toute seule.

Andrew, mon collègue complice

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Marcus n’a jamais su que j’étais encore vierge et il faut croire que le saignement et la douleur des premières fois ne sont que des mythes. Aujourd’hui, je suis une femme épanouie. Je suis associée d’une grosse boîte de communication de renommée internationale sur Paris. Tout comme cette première fois, je sors dans un bar ou dans une boîte de nuit pour me trouver un bon plan cul d’un soir. Cette façon de vivre m’allait très bien, je travaillais beaucoup et seule ma carrière comptait.

Andrew est un des associés de la boîte, il a flashé sur moi dès notre première rencontre. Je lui signifiais ouvertement que je n’étais pas intéressée, non pas qu’il n’était pas canon, mais je le trouvais un peu coincé. Avec les relations de travail, nous nous rencontrions plus souvent que je ne le pensais. Je crois qu’il a décelé ma vraie nature, une femme dominante qui aime être aux commandes des personnes qui l’entourent et même des hommes qui entrent dans son lit.

Dirigiste, je nique avec tous les mecs qui m’excitent

Il faut croire que je parlais du sexe comme d’un dossier à finaliser. Andrew commençait à connaître mes plans cul d’un soir et comment je faisais tout pour que le gars ne sache rien de moi. Oui, je change de prénom, je ne donne pas de numéro, je mets des perruques parfois et surtout je m’habille sexy pour attirer la proie que je choisis et valide. Je les fais monter dans une chambre de location et je fais en sorte de profiter au maximum de ces quelques heures pour satisfaire tous mes désirs sexuels.

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Je ne sais pas encore maintenant pourquoi je sors avec le même homme depuis 6 mois. Andrew est calme et sensuel. Il n’était pas comme je l’imaginais au lit, il a su me retenir par son talent à me donner des orgasmes multiples. À vrai dire, nous ne parlons pas de notre relation comme une relation amoureuse ordinaire, mais plutôt comme une compatibilité sexuelle. Après un coït, nous nous reposons tout en parlant de notre prochain ébat sexuel.

Je tiens les rênes pendant mes plans baise

Andrew et moi, c’est la folie au pieu. Il accepte la plupart du temps d’être mon jouet sexuel. Je ne m’embarrasse pas des convenances et les petits moments sexe en plein jour dans mon bureau sont trop exaltants. En fait, il est juste heureux d’être avec moi et de me baiser quand l’envie me vient. Nos soirées commencent par un petit verre ou par un dîner. Nous parlons ouvertement de sexe, nous imaginons ensemble des scénarios de baise que nous allions réaliser plus tard.

Il faut dire que je suis créative pas seulement dans mon travail, mais aussi dans mes histoires de cul. L’autre soir, j’avais titillé son désir en le trainant dans le dernier métro de la ville. Il y avait juste deux personnes dans le wagon et tant mieux, car leur présence décuplait mon désir. A la fin de ce trajet, je n’ai pas pu me retenir de crier de désir. J’étais assise sur Andrew en arrivant au terminus, une position sexuelle que j’affectionne tout particulièrement.

J’aime quand je mène la danse, j’adore regarder mon homme impuissant au moment fatidique. J’aime m’empaler de son pénis tout gorgé de sang, il aime me sentir tout excitée et surtout mouillée à chaque fois. Et pardessus tout ça, j’adore quand son engin me pénètre profondément et me remplit totalement. À chaque fois, c’est la volupté même si les préliminaires et les scénarios changent. Nous avons une telle facilité de compréhension et de communication en matière de sexe.

J’impose mon envie de plan à trois

Ces derniers temps, j’ai commencé à discuter avec Andrew de mon fantasme de me faire peloter par deux gars (et je sais qu’ils adorent tripoter). Il arrive même que j’entrevoie le scénario dans mes rêves. De jour en jour, ce besoin devient urgent et j’ai demandé ouvertement à Andrew s’il était partant pour un plan à trois. Au début, il n’était pas à l’aise à l’idée de me regarder faire l’amour avec un autre homme. Il a même proposé un plan à trois avec une fille qu’il connaissait.

Toutefois j’ai été tenace, je rêve de deux corps de mâles qui se fondent avec le mien. Je n’arrivais plus à étouffer ce désir grandissant en moi. J’imaginais même au boulot les sensations que procureraient quatre mains et deux bouches sur mon corps. Alors, un soir, j’ai décidé de mettre en marche un plan que j’ai maintes fois révisé dans ma tête. Je me suis dit que si cela ne marchera pas, au moins j’aurai fait un pas de plus dans la réalisation de ce fantasme.

Au final, Andrew était récalcitrant à l’idée d’un plan à trois avec un autre homme. Il n’était pas catégorique, mais il essayait de changer de sujet à chaque fois que j’en parle c’est-à-dire tous les jours. Un soir, je l’ai emmené dans un bar de mon choix, un bar où il ne manque pas de beau gars qui serait prêt pour une aventure d’un soir. En quelques minutes, j’ai repéré ma proie, grand et beau brun d’une trentaine d’années.

Prendre les devants, comme une vraie hotwife

Je me suis levée pour aller aux toilettes au moment où mon beau brun était parti aussi dans cette direction. Je l’ai attendu dans le couloir. Dès qu’il est sorti, je l’ai plaqué sur le mur et lui embrassait la bouche, le cou tandis que ma main errait sur son pantalon. Il n’avait exprimé aucune résistance, nous nous sommes un peu chauffés dans la salle avec des petits regards furtifs. Je lui ai murmuré dans l’oreille : « ça te dit un plan à trois avec mon homme ? », sa queue était bien dure à ce moment.

Il a repris son souffle et m’a regardée droit dans les yeux en répliquant : « c’est quand tu veux ma belle, j’ai bien envie de te défoncer la chatte et te faire jouir ». Je lui ai demandé de nous attendre à la sortie, il fallait que je prépare Andrew pour cette belle soirée qui nous attendait. En tout cas, j’espérais qu’il ne refuserait pas l’occasion de réaliser un de mes fantasmes. D’ailleurs, j’ai décidé que j’allais lui imposer cette décision, il ne pourra pas refuser puisque j’avais déjà trouvé le mec !

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