Chaudes pages de mon journal intime (jeunesse d’une salope)

Je m’appelle Manon, mère épanouie de 2 beaux petits monstres, Thomas et Kevin, et mariée avec mon prince charmant, Steeve. A priori, je ne peux rêver mieux en ce qui concerne ma vie familiale et professionnelle. Un jour, en fouillant dans mes vieux cartons, j’ai découvert mon vieux journal intime, un véritable ouvrage qui relate mes expériences passées durant ma vingtaine. On peut dire qu’à l’époque, j’étais une fille coquette, coquine et qui ne se souciait que d’une chose : M’éclater et profiter de ma jeunesse.

En feuilletant chaque page de mon journal, je me remémore de toutes mes expériences passées, dans les moindres détails, au point d’en frémir d’excitation. Je vais vous lire quelques passages de mon journal intime qui ont le plus marqué ma jeunesse et ma vie avant de me marier.

Retour aux histoires de femmes coquines

Ma bonne copine pour m’initier à la débauche

Ma première expérience sexuelle s’est déroulée durant mes 16 ans. À l’époque, j’avais passé toutes mes grandes vacances dans un pensionnat pour filles en guise de punition de la part de mes parents, pour mon comportement de jeune ado en pleine crise de puberté.

Avant de continuer la lecture... Dites-nous si la situation de ces personnes vous plaît.

Stéphanie, ma camarade de chambre, avait une réputation de lesbienne. Au départ, j’avais peur d’elle et de ce qu’elle pouvait me faire. Néanmoins, en apprenant à la connaître, j’ai fini par comprendre qu’elle était une fille qui aimait se défouler, mais qui ne ferait pas de mal à une mouche.

Une Youtubeuse qui parle elle aussi de ses secrets enfouis dans son carnet intime… Premiers émois et situations coquines…

Son étiquette de broute-minou, elle l’avait obtenue en se faisant surprendre en train d’embrasser langoureusement une autre fille du pensionnat, peu avant mon arrivée. D’ailleurs cette fille avait fini par quitter l’établissement par précipitation, puisqu’elle ne supportait pas les ragots qui se disaient dans son dos.

Stéphanie n’était plus pucelle. Elle m’expliquait qu’elle l’avait fait pour la première fois avec un garçon, et que cela avait fait vachement mal. Sachant que j’étais encore vierge, elle me proposa alors de me dépuceler, tout en me promettant que ça se passerait pour le mieux.

J’étais à la fois dubitative et curieuse, et également toute excitée à l’idée de perdre ma virginité. Surtout que presque toutes les filles du pensionnat se vantaient de l’avoir déjà fait, au moins, une fois ! J’étais donc partante pour cette expérience inédite à laquelle on allait s’adonner, Stéphanie et moi.

Un gode dans ma chatte pour la première fois

Le soir suivant notre discussion, après avoir pris mon bain, Stéphanie est venue se glisser sous ma couette. Je savais qu’elle allait passer à l’acte suite à notre échange de la journée. D’ailleurs, elle n’était pas venue seule. Elle tenait un gode bleu en silicone dans sa main, tout en se faufilant sous mon drap.

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Elle me murmurait à l’oreille de me détendre. Chacun de ses mots me faisait frémir d’excitation. Elle commença par m’embrasser la nuque, puis à glisser sa main sous le haut de mon pyjama. J’adorais : Elle jouait avec mes tétons qui durcissaient sous l’effet des caresses.

La miss finit par retirer entièrement mon haut, puis à lécher et à sucer mes seins. La coquine me jeta quelques regards pervers de temps à autre pour scruter ma réaction. J’étais simplement aux anges.

Elle balada ensuite sa main à l’intérieur de mon mini-short. Elle commença à caresser mon entre-jambe, ce qui provoqua chez moi de petits cris de plaisir. Après avoir retiré mon bas, elle n’hésita pas à me lécher allègrement la chatte. J’aimais tellement cela que je pouvais la supplier de continuer jusqu’au matin.

Stéphanie savait y faire avec son gode, j'ai adoré cette expérience !

Stéphanie savait y faire avec son gode, j’ai adoré cette expérience !

Elle me fit sucer son doigt, puis je sentis ce dernier s’enfoncer lentement en moi. La sensation était nullement désagréable, mais à la fois indescriptible. Vint enfin le moment où elle me pénétra avec son bidule bleu. Bizarrement, je n’ai presque rien ressenti. Une petite douleur, mais tout s’est bien passé.

Elle accentua ses va-et-vient tout en me léchant la chatte jusqu’à ce que je jouisse. Cette soirée était tout simplement inoubliable.

Comment préparer un plan à trois ?

Stéphanie et moi sommes restées de très bonnes copines après le pensionnat pour jeunes filles. Deux ans après cet évènement, nous nous sommes rencontrées par hasard dans un centre commercial. Elle était accompagnée de son petit ami, François, un bel italien au look mal rasé et au regard qui auquel succomberait même une nonne.

Il était beaucoup plus âgé que Stéphanie et moi. Il dépassait sûrement la trentaine, alors qu’on avait à peine 18 ans. J’avais remarqué que François ne cessait de fixer mes seins. Quand je le surprenais la main dans le sac, il me souriait avec un air mélangeant insolence et drague. J’étais à peu près sûre que Stéphanie sortait avec lui uniquement pour le sexe.

Effectivement, dans la même semaine, Stéphanie me contacta pour me proposer un nouveau plan loufoque. En fait, elle et François fantasmaient sur un plan à trois, et j’étais la candidate idéale aux yeux de ma chère copine. « Quitte à fourrer ma langue dans une chatte, autant que ce soit dans la tienne », me dit-elle tout en rigolant.

Ma nature curieuse a, une fois de plus, pris le dessus, et je lui ai dit que j’étais d’accord pour sa partie de jambes en l’air à trois. Nous nous sommes donné rendez-vous chez François, étant donné qu’il était le seul à disposer de son propre appartement.

Baisée dans tous les sens par ce couple pervers

Le jour du rendez-vous venu, le couple m’attendaient déjà dans l’appartement. Une ambiance romantique et électrique régnait dans le salon. Un fond sonore de musique latino détendait l’atmosphère.

Nous avions commencé par un apéro, le temps d’évacuer les tensions. Avec l’alcool qui commençait à faire effet, je me mettais à l’aise peu à peu. Sans savoir pourquoi, mes mains se sont posées sur la cuisse de l’italien. Son sourire ravageur me dit de continuer, ce que je fis. Ainsi, je remontai doucement ma main jusqu’à son entre-jambe. J’étais un poil stupéfaite par la taille de l’engin que frôlait ma main.

Stéphanie se mit alors à m’embrasser langoureusement. Puis nous nous sommes caressé le corps tout en nous déshabillant devant François. Ce dernier empoigna son sexe et se masturba tout en nous fixa d’un regard de vicelard.

Pendant que Stéphanie jouait avec le sexe de l’italien dans sa bouche, j’en profitais pour m’asseoir sur le visage du beau gosse et le laisser dévorer ma chatte, toute trempée par l’excitation. Il se positionna alors pour chevaucher à tour de rôle, et à nous faire valser dans les quatre coins de son appartement, allant du salon à la cuisine, sans oublier la salle de bain. Il nous a vraiment bien défoncé nos petites chattes…

Après cette partie de sexe torride, j’avais une certitude sur la réputation des Italiens concernant le sexe : Ils se débrouillent comme des dieux. Je ne pouvais qu’en redemander à ce couple plus qu’insolite.

Quand un étalon en cache un autre…

Quelques mois après notre partie de triolisme, Stéphanie m’a de nouveau recontactée. Dès que j’ai vu son nom apparaître sur l’écran de mon téléphone, je savais qu’il allait se passer à nouveau des choses cochonnes et déjantées.

Cette fois-ci, le frère de François, Matteo, était de visite en France. Vu qu’il ne souhaitait pas trop tenir la chandelle à son frère et à Stéphanie durant son séjour, et puisque je raffolais des bites italiennes, Stéphanie a tout de suite pensé à moi pour jouer la petite copine de secours à Matteo. Comme toujours, je ne pouvais rien refuser dès qu’il s’agissait de sexe.

Rapidement, j’ai donc fait la connaissance de Matteo, un bel homme. Plus musclé et plus grand que son frère, il était tout aussi charmeur et audacieux que ce dernier. Le courant est très vite passé entre nous. Dès notre troisième rencontre, Matteo et moi avions déjà baisé comme des morts de faim dans une chambre d’hôtel. La nature avait vraiment gâté ces deux jeunes hommes, et le frérot me faisait l’amour comme personne ne savait le faire.

Avant que Matteo ne retourne en Italie, on avait prévu de passer une soirée à quatre à l’appartement de François. Bien sûr, Stéphanie et moi savions que ce serait soirée baise, et même échangisme au menu. Elle m’avait fait part qu’elle souhaitait également gouter au petit frère beau gosse, au physique athlétique.

Une soirée d’orgie qui s’annonce

L’après-midi avant la soirée, Stéphanie et moi nous sommes préparées et faites belles : Épilation, nouvelles lingeries ultra sexy, parfum envoûtant et robes ras-les-fesses… Nous étions prêtes pour nous faire prendre le cul jusqu’au petit matin.

Toutefois, au moment de nous rendre à l’appartement, Stéphanie a reçu un appel urgent de sa famille. Celui-ci la contraignait à se rendre immédiatement au chevet de sa grand-mère, qui était tombée malade. Pour ne pas gâcher la soirée, elle m’a dit de partir rejoindre les deux jeunes hommes.

« Ce serait pour toi une occasion unique de me faire défoncer comme pas possible », me dit Stéphanie tout en appelant François du changement de programme. Elle conclut son appel par un « Prenez bien soin d’elle » qui n’annonçait rien de reposant pour mon entre-jambe. J’étais persuadée que François n’allait pas regarder tranquillement la télé pendant que Matteo et moi baiserions sauvagement dans la chambre.

Me replonger à l'âge de mes premières expériences sexuelles me fait mouiller grave

Me replonger à l’âge de mes premières expériences sexuelles me fait mouiller grave

Je me suis donc rendue à l’appartement de François. Après avoir frappé à la porte, Matteo et son beau sourire me reçurent. Je saluai son frère qui était assis tranquillement dans le canapé, un verre de whisky à la main. Les deux jeunes hommes étaient trop beaux. Matteo sortait à peine de la douche, et ne portait qu’une serviette pour cacher le minimum syndical.

Je les voyais tout décontractés et détendus. J’étais assise au milieu des deux gaillards, comme une proie qui n’attendait plus que son heure soit venue.

Trio HHF pour la salope que je suis 😊

« Qu’allons-nous, donc faire pour passer la soirée ? », demanda François qui se retrouvait sans copine. « Je suis du genre à partager mon butin », répondit Matteo tout en riant et en me taquinant.

Sur ces mots, je sentis ma culotte mouiller davantage à cause de l’excitation. Je me suis alors levée puis j’ai tiré les deux hommes par leur T-shirt pour les traîner jusqu’à la chambre à coucher. Je commençai alors à embrasser l’un, puis l’autre, et retour au premier. J’étais un peu débordée, mais les deux s’occupaient de mon cas à la perfection.

L’un me caressait le corps, pendant que l’autre me déshabillait. Pendant de Matteo s’affairait à me brouter la chatte, François me léchait le corps, puis m’embrassait de temps en temps. J’étais à deux doigts de m’évanouir de plaisir.

Les deux beaux Italiens me firent l’amour toute la soirée jusqu’au petit matin, enfonçant chacun leur membre surdimensionné en moi et me défonçant le minou. À mon réveil, je sentais le sperme séché sur ma peau, à de nombreux endroits… Mais quelle quantité de foutre ils ont éjaculé sur moi ! N’étaient-ils réellement que deux ? Je pense que je ne ressentirai jamais plus un tel plaisir lorsque je ferai l’amour dans le futur.

Voilà quelques pages de mon journal intime. Ces années semblent bien lointaines et j’ai définitivement tiré un trait sur ces folies de la vingtaine. Toutefois, je pense que je dissimulerai ce journal dans un coin tranquille pour pouvoir le feuilleter à nouveau à mes heures perdues.

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