Notre voyage de fin d’année s’est déroulé parfaitement pour l’instant. Cela me fait plaisir, c’est moi qui l’ai organisé. Pas toute seule, bien sûr. Je ne peux pas arranger une semaine de vacances pour cinquante étudiants excités sans l’aide de quelques amis, mais c’est moi qui fais office de chef. Comme souvent dans ces cas-là. J’étais la présidente du Bureau des élèves, et c’est naturellement que tout le monde s’est tourné vers moi quand il a fallu décider de notre voyage. Pour célébrer la fin de nos trois ans d’études dans une des écoles de commerce les plus huppées d’Europe, nous voulions quelque chose de différent. Pas question d’aller faire du canoë en Ardèche ou d’arpenter les bar à tapas de Barcelone. Tout le monde le fait.
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Un séjour pour étudiants déchaînés parfaitement organisé
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J’ai choisi l’île de Crête. Dépaysement et beau temps assuré, un prix attractif… Mon idée a fait l’unanimité. Avec une amie, nous avons trouvé un hôtel sur la côte sud qui n’était pas effrayé par une cinquantaine d’étudiants français en vadrouille. Ils nous laissaient une salle de fête à disposition pour nos soirées, et nous proposaient un open bar. La journée, ils organisaient plusieurs activités qui permettaient de justifier de faire 2 000 km en avion pour autre chose qu’une simple beuverie.
C’est ainsi que jusqu’à présent nous avons fait une randonnée dans les canyons, du VTT, et de la plongée avec masque et tuba. Tout le monde est ravi, ça me fait plaisir. J’aime savoir que les gens apprécient mon travail. Et puis moi aussi je m’amuse bien !
Aujourd’hui nous sortons faire de la voile. Et nous devons naviguer le long de la côte sur des catamarans, cela promet d’être une superbe journée.
Se mettre toute nue pour chauffer des mecs
Après quelques heures sur nos voiliers, nous sommes tous enchantés. La météo est superbe, l’eau est chaude, les paysages sont magnifiques… Et les bateaux ont tous un frigidaire qui permet de garder les bières au frais. Que du bonheur.
Sur mon catamaran, nous sommes six filles. Je ne sais pas trop comment cela est arrivé, mais aucun garçon n’est monté avec nous. Maintenant, ils plaisantent tous à ce sujet, nous demandant si nous avons besoin d’un peu de compagnie. Bien entendu, nous leur répondons que l’on se sent bien entre filles. Et puis nous n’avons pas besoin d’hommes, merci.
C’est Adeline qui a l’idée de nous déshabiller pour les rendre dingues. Je suis hésitante au début, mais toutes les autres sont à poil, je n’ai pas le choix. J’enlève mon maillot aussi. C’est vrai qu’au final, avoir un tanga et un top en triangle ou être complètement nue ne fait pas une grande différence. Puis, une fois les premières secondes passées, je me sens bien, nue au soleil !
Ce n’est pas le genre de chose que je ferai à la maison, mais ici c’est différent. Nous sommes en vacances, seules sur un catamaran. Nous sommes loin de la France. Et puis nous avons bu, ça aide à ne pas trop penser.

Les garçons deviennent dingues. Ils veulent nous rejoindre sur notre bateau. Nous les narguons, posant toutes les six avec les seins à l’air. Nous nous amusons bien, la journée est idyllique.
Faire la fête et abuser de la bière, une ambiance propice au sexe entre jeunes
Les bières font leur effet, et ma vessie est sur le point d’exploser. Je me dirige vers les toilettes, mais celles-ci sont déjà occupées. Ma tête tourne, je crois que j’ai le mal de mer. Et j’ai envie de pisser. Ne pouvant plus me retenir, je décide de profiter de l’immense toilette bleue qui nous entoure. Malgré l’alcool qui me monte à la tête, je reste lucide. Je ne vais pas me soulager devant tout le monde.
Je me dirige donc vers l’arrière du voilier (la poupe ou la proue… je ne sais jamais !) et me jette à l’eau à l’abri des regards. Les filles sont sur le pont à montrer leurs fesses, et bien évidemment elles attirent l’attention de toute la troupe. Je peux me vider dans la mer en toute tranquillité.
Petit coup de mou : Fragilisée par un excès d’alcool
C’est agréable d’être nue dans cette eau à 27 degrés. Je scrute l’horizon, émerveillée par cette immensité bleue. Ce serait bien de me trouver un travail dans une ville près de la mer. Je pourrai profiter de cette vue tous les jours. Ca me plairait.
Même si la météo est clémente, il y a une houle et les vagues commencent à me donner la nausée. Je n’aurais pas du boire autant. Je me sens mal. Le contenu de mon estomac ressort soudainement, et je me retrouve à nager au milieu de mon vomi. Ma tête tourne, je ne me sens pas bien… Je devrais remonter sur le voilier pour me reposer un peu.
En me retournant pour attraper l’échelle, je reste incrédule. Mon voilier n’est plus là !
Il est déjà à plus de cent mètres, et il continue à s’éloigner. J’appelle pour avertir mes amies, mais elles ne m’entendent pas. J’essaie de nager, mais je fatigue. Je crie de toutes mes forces, je leur fais de grands signes, mais c’est inutile. J’ai du mal à me maintenir à la surface, je fatigue. Une vague m’emporte et je bois la tasse. J’abandonne. Tout devient noir.
Apercevoir deux hommes sexe à découvert en érection : Un mirage ?
Je me réveille étendue sur une plage. Les souvenirs me reviennent immédiatement. L’accident, la noyade. Comment ai-je pu survivre ? C’est un véritable miracle que je sois encore en vie.
Je me relève, et je me sens beaucoup mieux. Reposée. Je meurs de faim. Combien de temps ai-je dérivé ? C’est impossible de le savoir. Je regarde autour de moi, mais ne vois rien qui puisse m’aider. La mer, une plage, des rochers, des arbres… Je n’ai aucun moyen de savoir où je suis.
Maintenant que je pense de nouveau clairement, je ne perds pas de temps à me plaindre de mon sort. Je suis en vie, et je compte bien le rester. Mentalement, je fais une liste de ce dont j’ai besoin. Il me faut de l’eau et de la nourriture, c’est vital. S’il y a des arbres, il doit y avoir une source d’eau douce. Et je vais bien réussir à trouver quelques baies à manger. Dans le pire des cas, je peux pêcher un poisson. Ou ramasser des coquillages.
Ensuite, il va falloir que je trouve un moyen de communiquer. Je dois pouvoir signaler ma présence, afin que l’on vienne me chercher. Il faudrait que je puisse faire un feu sur un endroit élevé. La fumée se verrait de loin, quelqu’un viendrait.
Je regarde autour de moi, à la recherche d’une butte élevée, quand j’aperçois deux hommes sur la plage qui s’approchent. Ils sont grands, ils sont noirs et ils sont nus. Où est-ce que j’ai atterri ? Les courants ont du m’emmener jusqu’en Afrique. Ces hommes doivent être des locaux. Ils peuvent m’aider à rentrer chez moi, mais comment communiquer avec eux… Espérons qu’ils parlent anglais.
Soulager ces hommes pour calmer leurs pulsions masculines et les apaiser
Ils s’approchent de moi lentement, me dévisageant d’un air curieux. J’ai l’impression qu’ils n’ont jamais dû voir de femme blanche de leur vie, je dois leur sembler étrange. Lorsqu’ils ne sont plus qu’à quelques mètres de moi, je remarque que l’un d’eux est en érection. D’où qu’ils soient, tous les hommes sont les mêmes. En un instant, je réalise que c’est ma porte de sortie de cet enfer.
Un homme reste un homme. Si je m’occupe d’eux, ils prendront soin de moi. Ils me donneront à boire et à manger, et j’arriverai à leur faire comprendre que je dois entrer en contact avec la civilisation. Leur nudité m’impressionne. Je ne pensais pas que ce séjour et les plages de la mer Égée m’offriraient autant de surprises.
Les deux blacks se sont arrêtés à quelques mètres de moi, et je ne leur laisse pas le temps de réfléchir. Je réduis la distance qui nous sépare en quelques pas et m’agenouille face à eux. Mes lèvres s’ouvrent pour avaler l’énorme érection du premier. Sous mes caresses, la verge du second durcit elle aussi. Les hommes veulent tous la même chose.
Enfin un échangé basé sur autre chose que du sexe
Une fois que les deux ont terminé dans ma bouche, je ne veux pas perdre de temps. Je dois profiter de cet instant, alors qu’ils sont heureux et détendus. Ils seront bien plus réceptifs. Je m’adresse à eux d’une voix forte et lente, en essayant de me faire comprendre par des gestes :
“Je… m’appelle… Marie. » en me pointant du doigt.
Manger, manger ! » en caressant mon ventre”
Les deux hommes me regardent sans comprendre. L’incrédulité est évidente sur leur visage. Communiquer risque d’être plus difficile que je ne le pensais. J’essaie de trouver une autre façon de leur expliquer ma situation quand mes pensées sont interrompues.
« Excusez-moi, mais vous allez bien ? »
C’est à mon tour d’être totalement incrédule. Ces mecs parlent français ?
« Vous êtes OK, mademoiselle ? Pourquoi vous parlez comme ça ? demande le premier.
- Elle ne doit pas être Française, répond le second.
- Alors pourquoi elle parle pas en anglais ? Pourquoi elle parle comme une attardée ?
- Je suis pas attardée ! Je suis naufragée ! »
Comment j’ai pu sucer deux mecs gratuitement ?
Les deux hommes se regardent, puis éclatent de rire. Je suis perdue, j’ai survécu miraculeusement, et ces deux idiots rigolent ? Les hommes sont bien tous les mêmes, une fois qu’ils se sont vidés, ce sont des crétins sans aucune éducation. Je m’apprête à leur crier dessus, lorsque le second m’interrompt :
« C’est donc vous la fille que tout le monde cherche depuis hier ? L’étudiante qui est tombée du bateau ? Suivez-nous jusqu’à l’hôtel, vos amis viendront vous chercher.
- L’hôtel ? Quel hôtel ? je demande. Et comment mes amis peuvent ils venir me chercher jusqu’ici ?
- Je parle de l’hôtel naturiste. Là, vous êtes sur la plage privée de l’hôtel, m’informe le premier.
- Et je suppose que vos amis peuvent venir en voiture, ajoute le second. Allez, suivez-nous. Vous aurez à boire et à manger. »

À son sourire, je sens bien qu’ils se moquent de moi. Une fois arrivée à l’hôtel, qui est à moins de 200 mètres, derrière les rochers, je comprends pourquoi.
Rassurée, j’apprécie mieux ce taillage de pipe que je me suis imposé
En tout et pour tout, mon calvaire a duré moins de deux heures. Mes amies ont vite remarqué que je n’étais plus là et elles ont fait demi-tour pour avertir la police, qui a immédiatement lancé des recherches. De mon côté, j’ai dérivé pendant moins d’un kilomètre, échouant sur la plage de cet hôtel naturiste qui est à moins de dix minutes en voiture de là ou je loge.
Adrien et Sylvain – mes supposés étrangers – sont deux avocats du Barreau de Lille, venus en vacances ici avec leurs femmes. Sur la plage d’un hôtel naturiste, ils n’ont pas été surpris de voir une fille nue, seule sur la plage. Cela ne les a pas étonnés non plus que je les suce sans même leur dire un mot. Comme le dit Adrien :
« Une fille qui me taille une pipe, moi, je pose pas de questions. Je profite, et puis c’est tout ».
Plan cul avec un ami d’enfance

La déesse de mes soirées branlette

Essayer un sauna libertin un dimanche pluvieux
