La déesse de mes soirées branlette

La fenêtre de la salle de bains donnait sur sa chambre, et je ne pouvais résister à la tentation. Je savais que je ne devais pas l’observer, que c’était mal et que je risquais d’avoir des problèmes. Mais je ne pouvais pas résister à la tentation. Qui aurait pu dans ces conditions ? J’étais jeune à l’époque, et le tourbillon d’hormones qui se déchaînait dans mon corps ne me laissait aucun répit. J’étais obnubilé par le sexe, j’y pensais tout le temps. Même lorsque j’essayais de songer à autre chose, la testostérone intervenait et mon esprit était inondé d’images salaces. J’avais l’impression d’être constamment en érection, même si je me soulageais plusieurs fois par jour.

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Être ado et vouloir constamment cracher la purée

Je ne savais pas trop ce qu’il m’arrivait. C’était un sujet tabou à l’époque, tout du moins dans ma famille. Jamais je n’aurais osé aller voir mon père pour lui demander si c’était normal que je bande tout le temps. Je me serais sûrement pris une tarte. En parler à ma mère n’était même pas une possibilité qui m’aurait traversé l’esprit. C’était ma mère, oui, mais c’était une femme. Jamais au grand jamais je n’aurais pu aborder le sujet avec une femme.

Internet n’existait pas. Si j’avais eu accès à la toile, j’aurais pu m’informer, j’aurais pu en discuter sur les forums. Cela aurait été tellement simple de partager mon expérience avec d’autres adolescents qui traversaient la même épreuve. Peut-être que j’aurais pu me confier à un adulte bienveillant et compréhensif, quelqu’un qui aurait su me guider.

Puis si j’avais eu Internet, cela aurait été tellement facile de voir du porno… Cela m’aurait peut-être aidé à relâcher un peu la pression ! À mon époque, il était impossible de voir un film pornographique, et j’avais trop honte pour aller acheter un magazine chez le libraire. Je n’avais aucun moyen de me soulager, mis à part mon imagination.

Alors quand je l’ai vue depuis la salle de bains, je n’ai pas eu le choix. J’ai craqué.

Fantasmer sur sa tenue de fitness

La première fois, je l’ai surprise pendant qu’elle faisait une séance d’aérobic. C’était la grande mode à l’époque, toutes les filles faisaient cela pour se maintenir en forme. Je les avais vues dans les films, avec leurs pantalons moulants…

Mais là, c’était en vrai. Je la voyais à quelques mètres de moi. Son pantalon en stretch bleu fluo lui collait à la peau, dessinant le contour de ses fesses. Elle faisait ses exercices sous mes yeux, et je ne pouvais détacher mon regard.

Cela peut sembler ridicule aujourd’hui, quand n’importe quelle chanteuse twerke dans ses vidéoclips et que les réseaux sociaux sont remplis de photos de filles en string. Mais pour moi, c’était le summum de l’érotisme. Mes rêves les plus fous se réalisaient. Mon sexe était plus raide que jamais.

Son fessier moulé dans ce pantalon bleu fluo s’agitait sous mes yeux, et je me masturbais frénétiquement. Je ne pensais à rien d’autre. Mais si j’ai explosé si rapidement, c’est parce que je n’ai pu résister quand elle s’est retournée. Elle faisait son sport en soutien-gorge.

Penser en permanence à son corps et l’envie d’en jouir

Ces visions ont hanté mes nuits pendant plusieurs semaines.

Je passais de plus en plus de temps dans la salle de bain à l’observer, mais elle ne faisait plus rien d’intéressant. Peut-être que sa passion pour l’aérobic avait disparu, ou elle s’entrainait quand je n’étais pas là. Une fois, j’ai presque réussi à la voir se changer, mais je suis arrivé un peu tard. Elle agrafait déjà son soutien-gorge et enfila rapidement un T-shirt par-dessus.

Ceci fut suffisant pour moi, et je pus me masturber en repensant à la brève vision de son dos nu, et à sa lourde poitrine qui tendait le T-shirt quand elle l’enfilait. C’était incroyablement innocent et naturel, mais cela m’excitait au plus haut point. J’étais en manque, j’étais obsédé par le corps féminin, et elle était la seule que je pouvais mater librement. Elle était devenue mon fantasme, sans que je m’en aperçoive.

Puis tout a basculé. Je m’étais levé avec une envie pressante, que j’étais venu soulager aux toilettes. Il devait être minuit environ, et j’étais à moitié endormi. Je ne pensais pas à elle, mais seulement à mon lit. Je faisais de grands efforts de concentration pour bien viser la cuvette des WC, quand je l’aperçus du coin de l’œil. Et d’un coup, j’étais totalement réveillé.

Obnubilé par cette beauté en train de se masturber

Elle était étendue sur son lit, entièrement nue. Sa poitrine s’offrait à ma vue, et je découvrais ses petits tétons pointus, son aréole d’un brun marqué. Je remarquai un grain de beauté exactement là où ses deux seins se rejoignaient. Il ne m’en fallut pas plus pour déclencher une érection, qui ruina tous mes efforts pour garder intacte la lunette des toilettes. Je n’y fis même pas attention.

Mon regard ne s’attarda pas sur sa poitrine, pourtant si appétissante. Mes yeux étaient inexorablement attirés un peu plus bas, entre ses jambes grandes ouvertes, où sa main s’agitait frénétiquement. Elle se masturbait sous mes yeux ! Et elle le faisait d’une manière si naturelle, si intime… Elle n’avait aucune idée que je la regardais, que je partageais ce moment avec elle.

Évidemment, je la rejoignis. Je tenais déjà mon sexe en main, et commençais à le caresser tandis que je l’observais. Je voulais y aller doucement, faire durer le plaisir, mais c’était impossible. J’en avais trop envie. J’avais trop peur qu’elle termine. Je voulais en profiter.

Je jouis bien avant elle, et elle continuait à se toucher quand je retournais dans ma chambre. Il est probable que je me sois endormi avant qu’elle n’atteigne l’orgasme.

Un rituel quotidien terriblement sensuel

Il me fallut peu de temps pour me rendre compte qu’elle le faisait tous les soirs, ou presque. Je pense qu’elle aussi avait des besoins à remplir, et, comme moi, la masturbation était le meilleur moyen de les satisfaire.

Elle avait sa routine, que je ne tardai pas à apprendre. Je calquai la mienne sur la sienne. Vers 23h, elle finissait sa journée et se mettait au lit. Et tous les soirs, à 23h sonnantes, je m’enfermais dans la salle de bains pour la désirer du regard.

Elle se déshabillait et s’allongeait sur le drap de son lit. Après elle commençait toujours à se caresser les seins du bout des doigts. Elle parcourait leur rondeur, jouait avec ses tétons jusqu’à ce que ceux-ci durcissent. Puis elle les serrait alors entre son pouce et son index. Je la regardais faire, imaginant tenir sa poitrine entre mes mains. J’aurais tout donné pour que ce soient mes lèvres qui serrent ses tétons durcis.

Le plus souvent, j’éjaculais avant qu’elle n’aille plus loin. Mais je ne retournais plus dans ma chambre. Je continuais à l’observer. Comme je ne voulais rien perdre du spectacle ! Je ne voulais pas la laisser terminer seule.

Ce spectacle qui me mettait dans tous mes états

Immanquablement, elle glissait sa main droite entre les cuisses. Toujours la main droite, jamais la gauche. Au début, elle se caressait doucement, sans trop ouvrir les jambes. Mais, au fur et à mesure que les caresses se faisaient plus insistantes, elle s’ouvrait. Après quelques minutes, ses cuisses étaient largement écartées, et moi, j’étais dur à nouveau.

Cet ange à la poitrine de rêve se trouve à ma portée - Si seulement j'osais me rapprocher d'elle
Cet ange à la poitrine de rêve se trouve à ma portée – Si seulement j’osais me rapprocher d’elle

Nous nous masturbions ensemble. Je m’astiquais le manche pendant qu’elle se doigtait. Je faisais de grands efforts pour terminer en même temps qu’elle, et parfois j’y arrivais. C’étaient de grands moments, je me sentais heureux. Un orgasme partagé, c’est ce qu’il y a de mieux.

Mais la plupart du temps, je craquais avant de voir son corps secoué par les spasmes de l’orgasme. J’étais déçu, bien conscient que je n’assurais pas, mais je ne me stressais pas à cause de ça. J’avais le temps d’apprendre à m’améliorer. Chaque jour était un nouveau défi. J’étais devenu un véritable gentleman, et je ne la laissais plus finir seule. Je l’attendais, même si la fatigue grandissait en moi et que j’avais envie d’aller me coucher. Je me sentais plus proche d’elle si je pouvais vivre son orgasme avec elle.

Mon show sensuel perturbé par un trouble fête

Tout se déroulait parfaitement jusqu’à l’arrivée de ce grand blond musclé dont elle s’enticha. Il était grand, il était beau, il sentait bon le sable chaud… Et il ruina notre relation.

Elle ne se masturbait plus le soir, elle se contentait de rêvasser seule sur son lit. Je l’observais, nue sur ses draps. Sa poitrine était toujours aussi belle, mais ses tétons n’étaient plus tendus. Son petit buisson semblait toujours aussi appétissant, mais ses cuisses ne s’entrouvraient plus. Je me masturbais seul, elle ne souhaitait plus partager ces moments de plaisir avec moi.

Puis un jour, son surfer vint la rejoindre dans sa chambre. Ce n’était pas la première fois, je les avais déjà surpris, mais ce jour-là fut spécial. Alors qu’ils avaient toujours gardé leurs vêtements et se contentaient de baisers et de caresses, cet après-midi ils se retrouvèrent complètement nus.

Séance de voyeurisme qui laisse un goût amer

Bien entendu, je les observais depuis ma salle de bains. Je pouvais voir que, malgré ses airs de surfer machos, il n’était pas plus homme que moi. Au contraire, mon sexe était plus long et plus large !

Mais c’est le sien qu’elle tenait entre les mains, et je sentis une pique de jalousie. Pourquoi n’avais-je pas le droit de sentir ses doigts caresser doucement mon membre tendu ? Pourquoi devais-je le faire seul, tandis qu’elle s’occupait de lui. Le désir se mélangeant à la colère, je commençais à me masturber de plus en plus frénétiquement, de peur de perdre mon érection. Cela aurait été un comble, qu’il soit plus performant que moi !

Il pose ses sales pattes sur celle que j'admire, ça me rend fou de jalousie
Il pose ses sales pattes sur celle que j’admire, ça me rend fou de jalousie

Je savais ce qui allait se passer. Je l’avais vu glisser sa main derrière sa nuque, j’avais observé comment elle approchait son visage comme pour voir de plus près ce sexe qu’elle caressait maintenant des deux mains. Quand le bout de sa langue toucha son gland, je fus pris d’une sensation bizarre, comme une nausée. Alors que l’érection du grand blond disparaissait petit à petit entre les lèvres de ma sœur, la mienne perdait toute sa puissance. Plus elle le suçait, plus je ramollissais.

Je pouvais deviner la suite des évènements, et je n’avais aucune envie d’y assister. J’étais dégouté, et honteux. Je ne pouvais me résoudre à espionner ma sœur perdre sa virginité.

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