Ma baiseuse de femme que j’adore

Avez-vous déjà fait la rencontre d’une personne nymphomane dans votre vie, ne serait-ce qu’une fois ? Figurez-vous que je suis marié à une. Eh oui, je m’appelle Dominique, ou Dom pour les intimes, 25 ans, marié à Véronique, ou Véro, 23 ans. Nous n’avons pas encore d’enfants et l’histoire de notre couple est loin d’être banale. Ma femme représente la salope idéale que tout cocu dans l’âme rêverait d’avoir.

Retour aux chroniques libertines

Comment j’ai fait la rencontre de Véro ?

Pour fêter mes 20 ans, mes meilleurs potes de la fac m’ont organisé une soirée particulière. Ils ont choisi un thème original : “Las Vegas”, et ont commandé champagne, limousine et stripteaseuses. Je vous avoue qu’à l’époque, j’adorais me défouler. Dès qu’il était question de fêtes déjantées et où l’alcool coulait à flots, j’étais présent. Surtout si les filles s’y dénudaient sans qu’on n’ait à leur demander.

Une limousine m’attendait, alors devant ma porte, avec quatre superbes créatures habillées en hôtesses de l’air dans le véhicule, coupe de champagne à la main. Je savais que cette soirée allait être inoubliable. Chacune d’elles, aussi belles les unes que les autres, portait une minijupe qui ne couvrait rien du tout. En haut, une chemise moulante presque entièrement déboutonnée et une sorte de petit chapeau typique des hôtesses.

Une musique sensuelle apportait une ambiance particulière dans la limousine. Les filles dansèrent devant moi, m’embrassaient, se touchaient et se déshabillaient légèrement pour me faire bander comme un malade. Certaines s’asseyaient même sur moi et posaient leur joli petit cul sur mon sexe. Ma queue cherchait à tout prix une chatte bien baveuse à pénétrer.

Malheureusement, notre orgie à cinq fut interrompue lorsque la voiture arriva à l’endroit où nous devions rejoindre mes trois autres amis, Marc, Kevin et Laurent. Lorsque les portes de la limousine s’ouvrirent, je les vis hurler comme des déchainés en me souhaitant un joyeux anniversaire.

Un EVG à Las Vegas en galante compagnie

Tous nous rejoignirent dans le véhicule qui pouvait accueillir toute une équipe de football avec quelques supporters en plus sans se sentir à l’étroit. Nous allions vers le XS, la boîte de nuit la plus branchée de la ville.

En cours de route, les gars ont décidé de s’attribuer une fille chacun, afin d’espérer conclure avec avant la fin de la soirée. Puisque j’étais le roi de la soirée… Ils m’ont laissé choisir le dernier, les enfoirés ! Néanmoins, les stripteaseuses étaient toutes aussi belles et sexy les unes que les autres. Il n’y avait pas vraiment de choix à faire !

Je finis par me tourner vers la rouquine, à la taille fine, poitrine pas très généreuse mais bien ferme, avec de belles fesses et un très beau visage. Elle était particulièrement souriante et bavarde. Il s’agissait de Véro.

Le champagne coula à flots dans la voiture, et chacun se mit à discuter avec son binôme du soir. Entre Véro et moi, le courant passa très vite. Je l’ai complimentée sur son physique de rêve et sa beauté, puis une question m’intrigua : Qu’est-ce qui la pousse à faire ce métier, alors qu’elle semblait si jeune.

Elle m’expliqua qu’en réalité, elle était avec ses trois meilleures copines et qu’elles avaient fait un pari stupide. Si elles osaient jouer les strip-teaseuses durant une soirée, Samantha, la plus riche de leur groupe allait leur payer un voyage aux États-Unis pour le Spring break. Voilà comment les quatre se sont retrouvées dans cette situation, et comment j’ai rencontré Véro pour la première fois.

La soirée d’exception se prépare…

Dès que nous avions franchi l’entrée de la discothèque, une ambiance électrisante a commencé à nous envahir. Tous les huit, nous savions que la soirée n’allait pas se finir de sitôt. Maintenant que l’on se connaissait davantage mutuellement, une certaine confiance régnait au sein du groupe.

Lors d'une soirée torride, nos corps se sont rapprochés pour former notre couple actuel

Lors d’une soirée torride, nos corps se sont rapprochés pour former notre couple actuel

Véro et moi restâmes inséparables toute la soirée. Elle aimait ma compagnie et moi la sienne. Au moment où nous avions décidé de quitter les lieux, mes potes n’avaient pas encore fini de me surprendre… Ils nous avaient réservé quatre chambres dans un hôtel situé non loin de la ville.

La limousine nous conduisit vers l’hôtel, le Mandalay Bay, super chic. En chemin, l’alcool avait commencé à faire de l’effet au groupe et les jeux de séduction ainsi que les mains baladeuses commencèrent à s’inviter à la partie. Laurent et sa lolita s’adonnèrent même presque à des préliminaires.

Une fois à l’hôtel, Véro et moi nous précipitâmes dans notre chambre pour nous isoler. J’avais à peine le temps d’arriver dans la grande chambre à coucher qu’elle se jeta quasiment sur moi. Elle avait une telle envie de baiser que je me laissais faire. J’eus raison, car elle se montra très entreprenante.

Un premier tête-à-tête brûlant et fusionnel

Elle arracha littéralement ma chemise et mon jean et me balança sur le lit. Empoignant mon sexe, elle m’embrassa, me lécha le corps, puis suça ma bite allègrement. Pour une fille de son âge, elle se débrouillait vraiment très bien. Je pense même qu’elle était la meilleure suceuse de queue que j’aie jamais connue depuis mon dépucelage. Et je peux vous dire que ma bite en a rencontré des bouches de pipeuses !

Le sexe, Véro en raffole. Nous avions fait l’amour pendant plus de trois quarts d’heure. Exténués et haletants, nous nous sommes écroulés sur le lit. À peine une demi-heure plus tard, Véro recommença à me taquiner, puis à m’exciter en baladant ses mains sur mon corps, plus précisément en direction de mon sexe. Elle me regarda, telle une enfant gâtée et me proposa de remettre cela.

J’étais un peu surpris, mais cette idée me tenta. Nous étions donc repartis pour une autre partie de jambes en l’air qui dura beaucoup plus longtemps. Je la voyais comblée et épanouie pendant que je la pénétrais. On pouvait trouver difficilement une meilleure expression de la joie, du bonheur et du plaisir sur son visage.

J’ai rarement croisé une telle envie de sexe chez une femme

Ce second tour avait duré pas moins d’une heure. J’étais tout en sueur et elle, quasiment au nirvana. Dès que nous en avions fini, nous nous sommes endormis. Déjà, le petit matin pointait le bout de son nez. Au réveil, je la découvris au pied du lit, ne portant rien d’autre que ma chemise de la veille. Elle était magnifique.

Je la vis me sourire, puis elle me salua. Elle monta sur le lit, se déhancha et me fit un beau striptease. Je pouvais enfin découvrir son beau corps en plein jour. Elle avait des courbes plus féminines que jamais. Les bouts pointus de ses tétons se dévoilaient à travers la chemise et cela m’excitait. J’avais beau avoir fait l’amour comme un malade toute la soirée, cela ne pouvait m’empêcher de bander en la voyant bouger au-dessus de moi.

La jeune femme de cette vidéo semble addict à la baise, mais semble aussi désabusée. Heureusement, Véro est dans un tout autre état d’esprit.

Pour me taquiner et m’exciter de plus en plus, elle se positionna quasiment au-dessus de ma tête. J’entre-apercevais sa belle chatte bien rasée entre ses cuisses, sous la chemise. Elle sourit avec un air vicieux, puis s’agenouilla et s’assit complètement sur mon visage. Elle me tint par les cheveux, m’invita à jouer à sa chatte avec ma langue. Je m’exécutais sans demander mon reste.

Nous étions, alors repartis pour une nouvelle partie de sexe, à peine réveillés. En une seule rencontre, elle avait complètement rassasié ma libido. Le simple fait d’avoir ma langue dans sa vulve remit aussitôt mon chibre au garde-à-vous..

Comment Véro devint mon épouse…

Bizarrement, suite à notre folle soirée, je n’avais pas voulu couper le contact avec Véro, et elle semblait ressentir la même chose. Nous avons alors décidé d’échanger nos numéros de téléphone et de nous donner rendez-vous plus tard pour faire plus ample connaissance.

Lors de notre prochaine rencontre, elle me fit quelques confidences. En réalité, elle était passionnée plus que tout par le sexe. C’était comme si faire l’amour était une nécessité pour elle pour continuer à vivre. Le sexe était sa drogue. Elle en avait pris conscience récemment, d’après ses dires.

En passant, elle complimenta mon endurance. J’étais le sixième homme avec qui elle avait couché et, d’après elle, j’étais celui qui arrivait le mieux à assouvir son désir. Cela tombait bien : J’aime faire l’amour, et le challenge ne me fait pas peur.

Nous avions commencé à passer plus de temps ensemble et faire l’amour était sans doute notre passe-temps favori. Dès que j’en avais l’occasion, soit je passais chez elle, soit c’était l’inverse et nous passions des soirées folles en prenant notre pied au lit.

Une addiction de l’un à l’autre, surtout grâce à la baise

Avec le temps, Véro était devenu ma drogue et moi la sienne. On avait du mal à passer toute une  semaine sans se voir, bien que cela fût fréquent à cause de nos études. Quelques mois après notre rencontre, j’ai proposé à Véro de nous installer dans mon appartement. Cela afin d’être disponible à toute heure pour satisfaire nos caprices pervers réciproques.

Nous nous sommes alors installés ensemble et pour marquer l’évènement, elle me prépara une belle surprise. Véro avait commandé des jouets pour adultes, sextoys, menottes, cravaches et tenues en cuir afin qu’on s’amuse durant nos soirées de jambes en l’air.

Elle prépara notre chambre en y installant des bougies un peu partout, y versa quelques pétales de rose, enfila son soutien-gorge, son string en cuir, ses cuissardes ainsi qu’un masque, et patienta jusqu’à mon arrivée.

Aussitôt arrivé, je restai bouche-bée en voyant ce scénario digne d’un porno. Toutefois, l’idée de m’initier aux jeux de soumission ne me dégoutait nullement. Je décidai donc de jouer le jeu.

Véro était particulièrement bandante dans sa tenue légère en cuir. Elle se mettait très bien dans la peau d’une dominante et se servait à merveille des accessoires fournis dans le kit D/S. Nous pouvions nous amuser différemment toute la soirée en inversant les rôles et en faisant varier les accessoires.

Des jeux sexuels déviants assumés qui pimentent notre vie maritale

Il arrivait également que nous décidions de réaliser des sextapes de nos ébats sexuels afin de les visionner quelques semaines plus tard. Avec Véro, aucune limite sur le plan sexuel ne s’imposait, et ne s’impose jusqu’à aujourd’hui. Nous réalisons tout ce qui passe par notre imagination.

Quand je lui fis ma demande en mariage dans un beau restaurant de la périphérie, elle était tellement contente que nous avions fait l’amour directement sur le parking de l’établissement après le dessert. Puis trois fois lorsque nous étions arrivés chez nous.

Je ne vous parlerai même pas des détails de notre nuit de noces et de notre lune de miel aux Philippines. Nous avions baisé comme des affamés sur une plage où cela était interdit. Nous nous sommes fait surprendre et nous avions passé une nuit entière dans un poste de police où nous avions encore fait l’amour dans la cellule.

Depuis notre rencontre jusqu’à aujourd’hui, notre libido se porte à merveille et nous ne sommes par près de changer nos habitudes. Véro et moi varions au maximum les plaisirs afin de ne jamais nous lasser l’un de l’autre. J’ignore si cette envie insatiable de sexe pourrait s’estomper du jour au lendemain chez elle. Pour l’instant, nous nous amusons bien et nous savons en profiter. Espérons que cela soit le cas le plus longtemps possible, au moins jusqu’à ce que nous ayons des enfants.

Initiée au glory hole par mon chéri

Initiée au glory hole par mon chéri
J’ai commencé sur le tard – j’avais 19 ans lorsque j’ai perdu ma virginité avec le cousin de mon copain de l’époque – mais le sexe et moi, ça a été le grand amour dès le début. Je ne savais pas à quoi m’attendre, j’avais lu et entendu tellement d’opinions différentes… Mais ce jour-là, un...

Les plaisirs transexuels de notre couple

Les plaisirs transexuels de notre couple
Les gens en général aiment mettre leur entourage dans des cases. Avec ma femme, nous ne sommes pas comme ça. Chacun possède sa propre personnalité, et sa propre sexualité. La nôtre tend à explorer de nouvelles possibilités, qui étonneraient la plupart de nos amis. En effet, ma femme aime dominer, et moi, j'aime les relations...

Une maîtresse discrète qui assume la situation

Une maîtresse discrète qui assume la situation
Je m’appelle Maeva, 23 ans et célibataire. Récemment j'ai un emploi après mes études en restauration. Je vous avoue que mon boulot actuel n’a rien à voir avec mon cursus, vu que je travaille comme assistante en ressources humaines dans une petite boîte à 2 heures de chez moi. Comment j’ai eu ce job ?...