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Comment mes efforts pendant le confinement réussissent à notre couple

Cette histoire de rester chez soi va me rendre dingue. Cela déjà plus d’un mois, et je me sens comme un lion en cage. Je ne suis pas du genre à passer ma vie à courir en forêt, ou à sortir tous les jours avec ma bande de potes, mais j’ai une vie active. Je vais au bureau, je croise des collègues, je vais travailler les biceps à la salle de sport, je sors voir un match de temps en temps… Bref, j’ai une vie ! Mais désormais celle-ci se résume à rester cloîtré avec ma femme toute la journée.

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Avec le confinement, obligé de côtoyer ma femme en continu dans un 2 pièces

Maintenant que je suis obligé de rester toute la journée dans notre deux-pièces à Lyon, je tourne en rond. Le pire, c’est quand j’entends les gens me dire que j’ai de la chance parce que je peux bosser de chez moi. Super, je peux essayer de travailler sur le portable posé sur la table de la cuisine, entre le bruit du lave-linge et les odeurs de poulet au curry de la veille.

Enfin, quand Internet et les différentes applis marchent comme il faut, parce que le reste du temps je me contente de discuter au téléphone avec notre service informatique, qui n’arrête pas de me dire que « normalement, tout devrait marcher ». Oui, merci. Je sais que ça devrait marcher, mais ce n’est pas le cas, c’est pour ça que j’appelle !

Non, en réalité, le plus dur pour moi, c’est de devoir passer toute la journée avec ma femme. Après vingt ans de mariage, ce n’est pas que nous ne nous aimons plus, mais disons que la flamme du début s’est éteinte depuis longtemps. On s’entend bien, on fait notre vie ensemble, mais de là à passer 24 heures sur 24 coincés tous les deux dans 47 mètres carrés… C’est difficile.

Supporter mon conjoint toute la journée n’est pas facile

Avec cette histoire de pandémie, je dois travailler de la maison, et ce n’est pas pratique du tout. En théorie, je n’ai effectivement pas besoin d’aller au siège, je peux tout faire à distance, et si j’avais un bureau chez moi, cela ne me poserait pas de problème. Oui, mais je vis dans un 2 pièces en plein Lyon avec mon mari, et je n’ai pas le luxe d’avoir un bureau pour moi toute seule !

J’ai de la chance, il s’est dévoué pour travailler depuis la cuisine, me laissant le salon. Je ne sais pas comment il fait, entre l’ordinateur qui tient à peine sur la table et les odeurs de nourriture, moi je n’y arriverais pas. Sur la table basse, j’ai réussi à me faire un espace de travail acceptable. Ce n’est pas pratique, mais j’arrive à me débrouiller.

Passer nos journées à nous croiser sans rien nous dire devient pesant
Passer nos journées à nous croiser sans rien nous dire devient pesant

Pour ne pas perdre le rythme, j’ai décidé de continuer à m’habiller comme si je rendais visite à mes clients. Maquillage parfait, jupe au-dessus des genoux, chemisier… Cela peut sembler futile, mais cela m’aide à travailler dans de meilleures conditions. Et quand je vois Bernard qui traîne toute la journée en pyjama, je me dis que j’ai raison.

Redécouvrir la beauté de sa femme pendant le confinement

J’ai craqué. Je ne peux pas bosser dans ces conditions, je passe mes journées à m’énerver, les informaticiens m’ignorent, rien ne marche. J’ai abandonné ces conneries de télétravail, je me suis au chômage technique. Catherine, elle, arrive à bosser depuis le salon. Elle m’impressionne.

Comment ne pas déranger ma femme pendant qu’elle travaille ?

Non seulement elle travaille, mais en plus elle s’habille comme une directrice. Sérieuse, mais sexy à la fois. Je me dis que pas mal de ses collègues doivent jeter un coup d’œil à son décolleté quand elle est au bureau. C’est vrai que sa poitrine est superbe, mais personnellement ce sont ses jambes qui m’ont toujours plus.

Pour ne pas la déranger, j’ai décidé de rester dans la cuisine la plupart de la journée. Je ne suis plus un lion en cage, je me sens comme un poisson rouge dans un bocal. Mais je ne peux rien y faire, alors j’ai décidé de m’occuper, et je me suis mis à cuisiner. Hier, j’ai fait des lasagnes. Elles n’étaient pas très bonnes, mais je me suis senti fier de moi. Et puis ma femme était contente de trouver le repas du soir tout fait, elle m’a embrassé dans le cou pour me remercier !

La cuisine maison réunit avec brio les amoureux

Aujourd’hui, j’ai fait une tourte aux champignons. J’ai suivi la recette au pied de la lettre, et je crois bien que ça va réussir. En tout cas, les odeurs qui viennent du four sont agréables. Je me fais un petit café en attendant que la cuisson finisse, et je me demande ce que je pourrais faire après. J’observe ma femme qui est absorbée par un fichier Excel, et décide d’essayer de faire une tarte au citron meringuée. C’est son dessert favori, quand nous étions jeunes je l’emmenais souvent à la brasserie du coin pour en manger une.

Ces souvenirs me font sourire. Qu’est-ce qu’elle était belle à l’époque… Elle a pris de l’âge, son corps n’est plus aussi mince, et son visage est marqué par les soucis, mais elle a gardé ses beaux yeux noisettes. Et puis ses jambes sont toujours aussi fines. Je ne peux m’empêcher de regarder ses mollets nus, et je me demande si la jupe d’aujourd’hui n’est pas plus courte que celle d’hier. Il me semble bien apercevoir un peu plus de ses belles cuisses… Ma femme est toujours aussi bandante.

Ma rêverie est interrompue par la sonnerie du four. Je retourne à ma tourte, il est hors de question de la rater. Elle sent trop bon.

Évolution dans les rapports avec mon mari – Le désir renaît

Il s’est passé quelque chose de bizarre aujourd’hui.

Bernard a arrêté l’expérience du télétravail. Le pauvre, le wi-fi passe super mal dans la cuisine, et il passait ses journées à essayer de faire fonctionner ses différents programmes. Je sais que cela l’énerve de ne pas pouvoir travailler, ce n’est pas le genre tire-au-flanc : Il aime se sentir utile.

La vie heureuse à deux pendant le confinement, tout simplement
La vie heureuse à deux pendant le confinement, tout simplement

La preuve, il s’est mis à cuisiner. Depuis que je le connais, je ne l’ai jamais vu faire quelque chose de plus compliqué que son fameux Knacki – purée mousseline, et hier il nous a sorti des lasagnes ! Je ne sais pas d’où ça lui est venu, mais il ne s’en est pas mal tiré du tout. Un peu trop salées, un peu trop cuites, mais bien meilleures que n’importe quel plat congelé !

Ce matin, après le petit-déjeuner, il s’est de nouveau mis aux casseroles. Je ne sais pas ce qu’il prépare, mais ça sent bon. Au bout de plusieurs heures, il est sorti sur le pas de la porte pour boire son café. J’étais plongé dans mon rapport mensuel, je n’ai pas trop fait attention à lui, c’est pour cela que je ne suis pas sûre de moi.

Mais il me semble bien avoir aperçu quelque chose du coin de l’œil. Cela me semble étrange, mais je suis convaincue qu’une bosse déformait son pantalon de pyjama.

Au petits soins pour ravir autant que possible mon épouse

Ma tourte a été un succès ! La tarte au citron meringuée, beaucoup moins, mais comme a dit Catherine : « Elle ne ressemble pas à grand-chose, mais elle a bon goût ! »

Renforcement de notre couple assuré avec mes efforts

Cela m’a fait plaisir, et j’ai eu droit à d’autres baisers dans le cou. Et le soir, dans notre lit, elle est venue se pelotonner contre moi. Cela faisait si longtemps que je n’avais pas senti la chaleur de son corps. La douceur de sa peau, l’odeur de ses cheveux… cela me manquait. Des idées ont commencé à me traverser l’esprit, et je lui ai caressé doucement le dos. Mais j’ai remarqué comme sa respiration avait changé de rythme.

Ma femme s’était endormie entre mes bras, et je ne voulais pas la réveiller. Elle bosse plus de douze par jour en ce moment, c’est normal qu’elle soit fatiguée.

Ce matin, au petit déjeuner, je lui ai demandé ce qu’elle souhaitait manger, et elle m’a dit de la surprendre. J’ai cherché des idées sur internet, mais tout est bien trop compliqué et moderne. Au final, rien de tel que la simplicité du terroir. Alors je me lance dans un filet mignon de porc à la moutarde, accompagné d’un gratin dauphinois.

Épreuve du confinement transformée en réussite

De nouveau, je suis la recette à la lettre. J’ai envie d’innover (je suis convaincu que cette sauce moutarde serait bien meilleure avec un peu d’estragon), mais je veux être certain de faire plaisir à mon épouse. J’aurais bien le temps de faire des expériences culinaires, aujourd’hui mon but c’est de lui préparer un bon petit plat bien de chez nous.

C’est plus de boulot que ce que je pensais de faire un gratin dauphinois. Cela me stresse un peu, j’ai peur de ne pas bien m’organiser et de faire un filet mignon trop cuit, ou d’avoir des pommes de terre encore trop dures…

Je n’ai même pas pu boire le café avec ma femme, c’est dommage. Quand elle a fait une pause pour me rejoindre dans la cuisine, j’ai à peine eu le temps de lui préparer son breuvage comme elle l’aime (pas de lait, pas de sucre, mais un peu de cannelle) avant de retourner à mes patates. Je sens bien qu’elle était déçue, mais bon, c’est comme ça.

Ce soir, peut être que je lui ferai un massage pour me faire pardonner.

Résolue à baiser comme une furie avec mon homme

J’ai du mal à me concentrer sur mon travail aujourd’hui.

Depuis que j’ai pris ma pause-café avec mon mari, je ne pense qu’à lui. Je sirotais mon café, assise à la table miniature de notre cuisine, tout en l’admirant s’affairer aux fourneaux, et depuis j’ai cette image gravée en tête.

Il fait assez chaud, et avec le four en marche il doit faire au moins 35 degrés : Il a enlevé son haut de pyjama et cuisine torse nu. Ses muscles ont un peu fondu. Et ses abdominaux se dissimulent sous un peu de graisse. Certes, mais il se maintient en forme pour un homme de 45 ans. Je le vois concentré sur sa découpe de filet de porc, je le vois lutter avec l’éplucheur à patate, et je me rends compte qu’il n’y a rien de plus sexy qu’un homme qui cuisine.

Sans le vouloir, je vérifie son pantalon, mais je n’observe aucune bosse. C’est dommage. Je me demande ce qu’il aurait fait si j’avais glissé ma main sous son élastique…

Ce soir je veux que mon mari me baise à fond
Ce soir je veux que mon mari me baise à fond

Voilà pourquoi je ne peux travailler aujourd’hui, je n’arrête pas de penser à mon Bertrand ! Cela ne sert à rien d’essayer de me mentir, je sens bien que ma culotte est humide. Voir mon mari cuisiner m’excite, qu’est ce que je peux y faire ?

Je ne vois qu’une seule solution. Je décide de terminer ma journée plus tôt, histoire d’avoir un peu de temps pour m’occuper de mon mari ce soir.

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