Depuis que je bosse sur Paris, j’ai pris l’habitude d’aller manger tous les midis à la pizzeria située à quelques rues du bureau. C’est vrai qu’elle est un peu loin, mais comme ça je suis sûr de ne pas croiser de collègues. J’aime bien manger tranquille, et je n’ai vraiment pas envie de parler boulot. Et puis ça me permet de marcher un peu, c’est bon pour la santé.
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Ce qui est moins bon, c’est de manger des pizzas tous les jours. Je le sais, mon médecin me l’a déjà dit plusieurs fois. Mais à quarante ans passés, franchement, cela ne me stresse plus, même si j’ai pris un peu de bide. À vingt ans j’avais les abdos bétons qui faisaient craquer les filles, mais depuis je me suis rendu compte que le compte en banque est plus important (enfin, c’est ce que je me dis !). Alors je bosse, je gagne bien ma vie, et je me fais plaisir avec les demoiselles.
À force de venir manger ici, j’ai évidemment fait connaissance avec le patron, Dino. Un véritable italien, qui utilise la recette sicilienne de sa grand-mère, comme le dit sa brochure. En réalité il s’appelle Alain et est originaire de Picardie, mais tant que ses pizzas sont bonnes, c’est le plus important. Le reste c’est juste du marketing pour touristes.
Une petite ingénue que j’aimerais dévergonder
Ca m’a toujours fait plaisir que ce soit Dino qui prenne ma commande et me serve, ça fait la différence entre l’habitué que je suis et les autres clients. Mais je dois bien dire que depuis quelques semaines j’aimerais bien que mon ami Dino soit un peu moins présent. Surtout depuis qu’il a engagé une nouvelle serveuse.
C’est une grande rouquine svelte, avec des petits seins et un cul peu rebondi, mais elle m’excite énormément. A chaque fois que je la vois trébucher avec une assiette, ou renverser le verre de vin d’un client en le servant, elle me plaît un peu plus. J’aime bien ce genre de fille maladroite et perdue, qui rêve du prince charmant qui ne viendra jamais. Ce sont des proies faciles pour moi. Il me suffit de les emmener faire un tour en BMW, de leur payer une robe sexy, et elles me mangent dans la main.

Et puis celle-ci n’a pas l’air farouche. Je la vois essayer de draguer tous les mecs seuls qui viennent manger. A vrai dire, je ne sais pas si elle est désespérée pour se trouver un mari, ou si elle bien se taper des mecs, mais je m’en fous un peu. Dans les deux cas, je sais comment l’impressionner.
Le problème c’est qu’elle ne vient jamais me servir, vu que c’est Dino qui le fait. Et même quand je la salue en entrant, elle se contente d’un bonjour timide. Qu’est-ce que cela peut m’exciter ce côté timide ! Je sais que je peux la faire rêver, et obtenir tout ce que je veux d’elle. Je suis sûr qu’elle me laisserait l’enculer.
Oui mais voilà, l’occasion ne se présente pas. Jusqu’à aujourd’hui.
Comment séduire cette fille timide ?
En rentrant dans la pizzeria, je vois Dino assis à une table avec un homme en costume à l’air sérieux. Il me fait un signe de tête pour me dire bonjour, mais ne se lève pas pour me saluer, son attention retournant rapidement aux documents que lui montre l’homme à l’allure de businessman.
La rouquine vient me dire que Dino est occupé avec son comptable, et qu’aujourd’hui c’est elle qui va me servir, si ça ne me dérange pas. Avec mon sourire le plus charmeur, je lui dis que bien au contraire, je serais ravi qu’elle prenne soin de moi.
Je suis rapidement déçu en voyant qu’elle ne me drague pas. Elle drague toujours les hommes seuls, mais pas moi, je ne comprends pas pourquoi. Puis je réalise que je dois l’impressionner. Je suis banquier d’affaires, je connais le patron… Elle ne s’imagine même pas qu’un homme comme moi puisse s’intéresser à elle. Je souris intérieurement, me disant que cela va être encore plus facile que je ne me l’imaginais.
En partant, je lui laisse un pourboire de cinquante euros et ma carte de visite, sur laquelle j’ai écrit « Hésite pas à m’appeler si tu as besoin de moi ».
Vais-je la baiser dès le premier soir ?
Je ne suis pas encore arrivé au bureau quand je reçois un message : « Salut, c’est Sylvia, de la pizzeria. On peut se voir ce soir ? »
J’hésite à la faire attendre un peu, histoire qu’elle me désire de plus en plus, mais elle est tellement timide et peu sûre d’elle qu’elle risque au contraire de prendre peur et de fuir. Et puis il faut bien dire ce qu’il est : Après plusieurs semaines à m’imaginer ce que je pourrais lui faire, j’ai du mal à refuser cette opportunité de la baiser dès ce soir.
Je lui écris donc rapidement, d’un message affirmatif, mais bref. Je veux lui donner la sensation que je suis occupé. Sa réponse ne tarde pas : « OK, on se retrouve à 20h. Je t’envoie l’adresse. »

Quelques minutes plus tard je reçois l’adresse d’un bar que je ne connais pas, mais qui n’est pas très loin de chez moi. Parfait, tout se déroule encore mieux que prévu !
Rencontre dans un bar avec une femme très bandante
Le soir même, je me présente à l’adresse indiquée à vingt heures tapantes. La ponctualité, c’est la marque des vrais gentlemen, les filles n’y résistent jamais.
En rentrant dans le bar, je la remarque immédiatement et je reste bouche bée. Perchée sur des talons d’au moins douze centimètres, ses longues jambes fines semblent interminables. Elle porte une jupe bleu électrique incroyablement courte, qui virevolte lorsqu’elle se retourne, me laissant entrevoir ses fesses. Je n’ai pas le temps de me demander si elle porte une culotte, mon cerveau reste bloqué sur le reste de sa tenue. Vais-je réussir à lui plaire ?
Son haut est transparent. Je ne parle pas d’un haut blanc à travers lequel on distingue ses formes, ni d’un tissu fin qui laisse entrevoir ce qu’il y a dessous. Non, son haut est fait d’une maille noire me rappelant les bas résille, qui ne laisse absolument aucune place à l’imagination. On est dans du concret ! Ses petits seins menus me font face, et je ne peux m’empêcher de remarquer qu’ils pointent.
Elle vient vers moi et m’embrasse. Elle se colle contre moi, et ses lèvres trouvent sans hésitation les miennes, sa langue se faufile à l’intérieur de ma bouche et, sans même y penser, mes mains se posent sur ses fesses. Après un long baiser, elle me regarde d’un air narquois et me glisse à l’oreille : « Je vois que tu bandes déjà… Mais attends un peu, je dois voir une amie. Tu m’offres un verre ? »
Un plan cul organisé rapidement avec cette délicieuse jeune femme
Je suis surpris par la situation, mais je reprends mes esprits et l’invite à une coupe de champagne. Nous sommes au bar, et de nombreuses personnes, hommes et femmes, viennent la saluer. Pas de doutes, c’est une habituée du lieu. Il semblerait que la petite serveuse timide ait une vie sociale bien plus intéressante que je ne me l’imaginais.
Son amie arrive et elle s’excuse un instant pour aller discuter avec elle. Je n’ai aucune idée de ce qu’elles se racontent, mais la discussion semble animée. Puis toutes les deux éclatent de rire, se prennent dans les bras, et se séparent en s’envoyant des bisous. Sylvia revient alors vers moi et me surprend de nouveau en me disant : « Bon, on monte chez moi pour baiser ? C’est à côté. »
Devant mon silence stupéfié, elle rajoute : « Quoi, il y a un problème ? C’est pas pour ça que tu m’as laissé ton numéro ? J’en ai envie, t’en as envie… Ça sert à rien de perdre du temps ! »
J’avais vraiment mal jugé cette petite serveuse maladroite et timide !
La serveuse sexy donne le ton de la soirée : Baise libérée entre deux amants
Nous n’avons pas le temps d’arriver chez elle.
Dans l’ascenseur qui nous emmène au sixième étage où elle habite, elle me baisse mon pantalon et entreprend de me tailler une pipe. Elle est douée la petite, et elle réussit à me faire gicler vite fait dans sa bouche.
« Comme ça, tu te sens un peu plus détendu pour la suite. J’ai pas envie qu’on commence à baiser et que tu termines en deux minutes, me laissant sur ma faim. »
Elle ouvre la porte de son appartement, et m’invite à entrer chez elle. Son appart est tout à fait normal. Plutôt petit, meublé Ikéa, avec quelques livres sur les étagères et un ordinateur portable sur la table basse du salon. Je ne savais pas trop à quoi m’attendre après tout ceci, et je suis un peu déçu. Mon hôte continue à me parler et à me chauffer…
Des mots crus et directs qui me décontenanceraient presque
« Tu veux une bière avant qu’on s’y mette ? J’ai du Viagra si tu veux. Oui, je sais, les hommes ont pas besoin de ça, mais si jamais t’as plus d’énergie pour remettre le couvert, un peu d’aide ça fait pas de mal. Et puis de toute façon, ça reste entre nous. »
Et l’audacieuse, de continuer :
« Ah, et au fait, si tu veux me la mettre dans le cul, y a pas de problème. Mais juste, après je te suce plus. Ou alors tu change de capote. Désolée, mais les trucs scato, c’est pas pour moi. » Elle parlait de ces choses avec beaucoup de facilité, de détachement.
Je n’ai pas envie de bière, j’ai envie de la baiser comme elle le mérite. Et je n’ai pas besoin de Viagra pour ça. Je vais lui montrer ce qu’est un vrai homme. Il semblerait que la pauvre petite n’ait pas eu de chance jusqu’à présent, mais elle va voir ce qu’elle va voir.
Je la plaque contre le canapé, relève sa jupe et glisse ma langue dans sa fente humide et chaude.
De fille réservée à grosse salope : la vraie raison de ce virement de comportement
Quelques heures, et deux pilules bleues, plus tard, je gis lessivé sur la moquette du salon. Nos vêtements sont répartis un peu partout dans son appart’. Les livres sont tombés de l’étagère lorsque je l’ai prise contre celle-ci. Il y a de la chantilly partout sur le canapé, reste de nos jeux coquins.
« Elle te fait envie maintenant, cette bière ? Moi j’ai soif. »
J’acquiesce en silence, incapable d’articuler un mot. Elle va jusqu’au réfrigérateur et sort deux canettes, qu’elle apporte au salon. Elle m’en offre une, et ouvre la sienne, s’asseyant sur la moquette à côté de moi.
Après quelques gorgées, j’ai repris ma respiration et je peux lui demander ce qui me turlupine depuis quelques temps :
« Sylvia, je comprends pas. Pourquoi tu m’as toujours évité au resto, si t’avais envie de moi ? »
Elle se retourne vers moi, surprise, et me lance :
« C’est pas évident ? T’es pote avec papa, je voulais pas que t’aies de problèmes ! Si il sait qu’on baise, il te coupe les couilles ! C’est pour ça que je suis pas venu te voir avant. C’est lui qui te servait à chaque fois. Après, quand tu m’as laissé ton numéro, j’ai compris que ça te dérangeait pas et j’ai dit banco. »
Cette mystérieuse collègue que je veux séduire

Tromper avec mon amie black ma petite copine qui vit trop loin

Coucher avec son beau-frère, est-ce moralement répréhensible ?
