Cette mystérieuse collègue que je veux séduire

Je m’appelle Patrick, bientôt 28 ans, célibataire endurci qui enchaine les relations qui ne durent pas plus d’un an. Ce n’est pas l’envie de me caser qui manque, mais, jusqu’ici, aucune femme ne m’a semblé être la bonne.

Si je pouvais me décrire en quelques mots, je suis loin des mecs au physique d’athlète des magazines. Grand, mais plutôt élancé, on m’avait toujours dit de me mettre à la musculation pour me rendre un peu plus massif et faire tomber d’amour toutes les jeunes femmes que je croise.


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Beau gosse ? Je ne sais pas trop. Disons que je cache mon charme derrière mes lunettes, à la manière de Clark Kent. Je suis un homme qui mène une vie plutôt calme, sans chercher les problèmes. Je me passe souvent des soirées folles que mon pote, Christophe, le fêtard attitré, organise tous les vendredis soirs. Des fois, je me demande même si je ne suis pas en train de rater ma jeunesse en restant un peu trop sage.

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Une rencontre dans l’ascenseur

Je travaille pour une petite boîte à Paris, avec pratiquement des vieux tout autour de moi. Le seul employé qui soit à peu près de mon âge et qui me comprend bien est Christophe. D’ailleurs, il s’entend avec tout le monde, étant donné que c’est lui qui met de l’ambiance dans le local.

Nos bureaux se trouvent dans un grand immeuble du centre-ville, presque au dernier étage. L’ascenseur manque sérieusement d’entretien, et il arrive que vous vous retrouviez coincé dedans pendant de longues minutes, ou qu’il ne fonctionne pas du tout et que vous deviez parcourir la dizaine d’étages à pied.

Ce matin-là, en me rendant au boulot comme chaque jour, j’étais tombé sur une jeune femme devant la porte de l’ascenseur. Vu que je travaillais dans l’immeuble depuis des années, je connaissais à peu près le visage de chaque employé qui fréquentait l’établissement, et ce beau visage ne m’était pas familier.

Elle décrivait à la perfection le mot « beau ». Son visage était parfait, ses yeux marron clair, ses lèvres, son petit nez tout mignon… bref, il était difficile de lui trouver des défauts. Et je ne vous parle même pas de ses courbes parfaitement dessinées (elle devait sacrément squatter la salle de sport) par le tailleur qu’elle portait. Elle était relativement mince, mais elle avait de belles formes bien féminines.

J'ai bien fait d'établir le lien avec cette collègue bandante dans l'ascenseur

J’ai bien fait d’établir le lien dans l’ascenseur avec cette collègue bandante

Un rêve éveillé ?

Nos regards se sont croisés le temps d’un instant, un moment au cours duquel le temps semblait s’être figé. Puis, la porte de l’ascenseur s’ouvrit. Je ne pouvais que sourire bêtement, l’invitant à entrer en premier, ce qu’elle fit. Je pouvais admirer ses belles fesses se mouvoir avec élégance en direction de l’ascenseur.

Elle m’indiqua l’étage juste en dessous de nos bureaux. Durant la montée, un silence pesant régnait dans l’ascenseur, jusqu’à ce qu’il s’arrête brusquement, puis à vibrer comme si les câbles qui le retenaient allaient lâcher. La belle mystérieuse fit mine de ne pas paniquer, mais je voyais dans ses yeux une certaine détresse.

Je la pris, alors dans mes bras, la rassurant, puis, se sentant en sécurité, elle m’embrassa langoureusement, dirigea ma main vers sa poitrine que je pelotais avec allégresse. Je déboutonnais, ensuite sa chemise, retira son soutien-gorge, pour découvrir ses beaux petits seins tout pointus.

Elle retira sauvagement mon pantalon, s’agenouilla pour saisir mon sexe et le mettre dans sa bouche. J’étais aux anges, complètement submergé par une sensation de plaisir intense et unique.

Je planais dans mon petit nuage, lorsque la porte de l’ascenseur s’ouvrit et qu’elle quitta les lieux en me souriant… Si seulement l’ascenseur s’était réellement bloqué et que toute cette scène s’était produite… Bref, je devais, alors laisser toute cette imagination débordante de côté et redescendre sur Terre.

En savoir plus sur cette collaboratrice

Trois jours plus tard, je fis de nouveau sa rencontre devant la porte de l’ascenseur. Malheureusement, l’épave était tombée en panne et il fallait se rendre tout en haut en empruntant les escaliers.

Elle se souvint de moi et nous avions décidé de faire le bout de chemin ensemble. Durant notre long périple, nous en avions profité pour discuter, se demander où chacun travaillait, et comment on s’appelait. Son prénom était Éva, Éveline en réalité, mais elle détestait ce nom plus que tout, d’où le diminutif “Éva”.

À ma grande surprise, elle travaillait dans la même boîte que moi. En fait, elle s’était trompée d’étage la fois où nous avions pris l’ascenseur. Ce jour-là, elle avait rendez-vous pour un entretien, et ce fut aujourd’hui qu’elle devait commencer.

Elle avait une façon à la fois élégante et sexy de s’habiller. D’ailleurs, je profitais de la situation pour lui glisser quelques compliments sur son accoutrement qui allait vraiment bien avec son physique.

Une fois arrivés au bureau et que les présentations de toute l’équipe furent achevées, Christophe ne tarda pas à aller me taquiner concernant la belle Éva. Je savais pertinemment qu’il allait jouer les entremetteurs pour essayer de me caser avec la jeune femme.

Toutefois, ce que nous ignorions, c’était qu’Éva était mariée, mais n’avait pas encore d’enfants. Je pouvais clairement distinguer une bague de mariage sur sa main et un homme venait parfois la récupérer au boulot dans une voiture. Je m’étais peut-être fait des illusions à son sujet, peut-être était-elle trop belle pour moi, en tout cas, cette femme me plaisait beaucoup.

Grillé par mon collègue et ami entremetteur

Christophe savait qu’une histoire sérieuse entre Éva et moi était impossible. Cependant, lui et moi avions remarqué qu’il existait une attirance réciproque entre elle et moi. En effet, nos regards venaient à se croiser souvent, l’un perdait un peu ses moyens lorsque l’autre lui adressait subitement la parole, des échanges de petits sourires se faisaient également inconsciemment entre nous deux.

En se basant sur ces hypothèses, Christophe avait décidé de parier sur une relation probable entre elle et moi, ne serait-ce que pour un soir. Il avait, alors, organisé une sortie de groupe à la piscine, suivie d’un barbecue, sous prétexte de renforcer les liens de l’équipe.

Vu qu’elle était encore récente dans le groupe, la belle Éva était partante pour ce genre de programme. Elle me demanda si j’allais participer à cet évènement. Ma réponse fut, évidemment positive avec un certain enthousiasme.

Un canon, en tailleur comme en maillot

Lorsque le jour de l’évènement fut arrivé, les vieux se mirent de leur côté, en train de fumer et de bavarder dans leur coin, tandis que les jeunes, en l’occurrence, Christophe, Éva et moi, nous nous changions pour nager dans la piscine.

Lorsqu’Éva se montra dans son beau maillot de bain, un silence régna pendant un bref instant dans la piscine. Elle était tout simplement magnifique. Elle portait un maillot deux pièces très sexy qui mettait en valeur sa silhouette parfaite.

Je voyais ses tétons à travers le tissu, ce qui était suffisant pour me donner une érection. Je n’avais que ma serviette pour dissimuler mon sexe qui se dessinait sous mon short.

Nous avions profité pour nous amuser comme des gamins, ne nous souciant plus du quotidien le temps de quelques heures. Le sentiment de rapprochement entre Éva et moi sa marqua de plus en plus. Nous étions même devenus inséparables tout au long de la journée.

Je ne l'imaginais pas aussi bonne en maillot de bain

Je ne l’imaginais pas aussi bonne en maillot de bain

Pause lascive sur le lieu de travail

Après cette journée mémorable, je savais que quelque chose se tissait entre Éva et moi. Une attirance purement charnelle, ou beaucoup plus fort ? Je l’ignorais, mais en tout cas, nous ne pouvions pas en rester là.

Au cours de la semaine suivante, notre boss était parti en voyage d’affaires aux États-Unis pour deux semaines, ce qui nous libéra un peu de la pression au travail. Le vendredi de cette semaine, Éva entra dans mon bureau, les yeux légèrement en sanglot. Elle me demanda si nous pouvions déjeuner ailleurs qu’à la cafétéria de l’immeuble pour midi.

Je l’ai alors emmené dans un petit fast-food à deux pâtés de maisons de notre bureau. Une fois bien installée, elle commença à me raconter ses problèmes. En réalité, elle et son mari, l’homme qui venait souvent la récupérer en voiture, sont en très mauvais termes depuis bientôt un an.

Il est trop possessif envers elle, et sa jalousie devient parfois maladive, à un tel point qu’il se refusait à la laisser travailler et fréquenter d’autres personnes. Dans un coup de tête, elle s’est obstinée à se faire embaucher pour un travail.

J’ai essayé de la réconforter comme j’ai pu, moi-même n’étant pas un pro de ce genre de situation. Elle s’est confessé et avoua qu’elle trouvait en moi l’attention qui lui faisait du bien. Mais aussi une certaine complicité que son mari ne lui procurait pas. Sur ces mots, nous nous sommes regardés, puis, lentement, nos lèvres se sont rapprochées pour nous embrasser.

De collègue à amant

« Trouvons un endroit et fais-moi l’amour », me murmura-t-elle dans mes bras. « Je n’ai pas connu le plaisir procuré par un homme depuis bien longtemps, je veux le ressentir à nouveau », continua-t-elle. Sur ces mots, j’ai décidé de l’emmener directement à mon appartement qui se trouvait à un quart d’heure en taxi de là où on était.

Une fois sur place, je n’avais même pas eu le temps de l’inviter à se mettre à son aise qu’elle se jeta sur moi. Nous nous sommes embrassés langoureusement, moi, assis sur le canapé et elle, sur moi. Elle m’embrassa le cou, me lécha, puis me mordilla les oreilles, avant de quasiment arracher ma chemise.

Elle retira également sauvagement ses habits, dévoilant son corps de dingue. Enfin, je pouvais tenir fermement ses beaux petits seins dans mes mains, les embrasser et les sucer délicatement. Elle fermait les yeux pour apprécier chaque mouvement de ma langue sur ses tétons.

Suite à cela, elle s’agenouilla ensuite, par terre, puis retira mon pantalon. Elle ne se fit pas prier pour avaler littéralement mon sexe déjà en pleine érection. Je ne pouvais que profiter pleinement de tout son savoir-faire sur ce plan.

Prêt à lui faire oublier son mari, du moins sexuellement

Elle se leva, ensuite, me fit un petit striptease tout en retirant son pantalon, et me jeta sa petite culotte en plein visage, la coquine. Elle se remit sur moi, puis s’assit sur mon sexe. Je la sentais frémir de plaisir dans chaque mouvement qu’elle faisait.

Éva se sentait à nouveau comblée, gémissant sans se soucier de qui pouvait nous entendre, jusqu’à ce qu’elle atteignit l’orgasme. Elle avait même failli s’évanouir de plaisir. Je l’ai, alors allongée sur le canapé, puis nous avions repris notre partie de jambes en l’air de plus belle.

Après près d’une heure de sexe torride, il était temps de se ressaisir et de revenir au bureau. Toutefois, puisque notre boss était absent, nous en avions profité pour nous reposer un peu l’un dans les bras de l’autre.

Éva ne prévoyait pas encore de quitter son mari, mais nous avions décidé d’entretenir une relation secrète. C’est ainsi que je suis devenu l’amant de la belle Éva.

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