Moi, Xavier, 45 ans, une vie d’amant libertin

Pour certains, le sexe est un passe-temps, un devoir conjugal ou encore un doux rêve. Pour moi, Xavier, 45 ans, célibataire dans la région de Narbonne, le sexe est une passion. Je voulais vous partager ma vie et mes rencontres libertines, avec les bonheurs et déconvenues qu’elles m’ont apportés.

Retour aux histoires candaulistes d’amants

Le sexe, une idée fixe qui remonte à l’enfance

J’ai toujours voulu avoir des relations sexuelles. Mon premier baiser, je l’ai reçu de Sylvie, dans la cour de récréation de l’école dont ma mère était l’institutrice. J’avais 7 ans et j’étais en CE1. Quelques jours après je me retrouvais nu comme un ver avec Sylvie dans le grenier de l’école (qui était aussi ma maison) à vouloir faire la chose. Mais, ni elle ni moi ne savions comment il fallait s’y prendre. Alors nous avons continué à poser nos lèvres les unes contre les autres et à attendre que quelque chose se passe.

Au bout d’un moment, nous nous sommes rhabillés et nous sommes allés jouer dans la cour de récréation. C’était vraiment plus intéressant. Ceci dit, des années plus tard, grâce à mes lectures de récits dans le magazine « Union », que je volais au bureau de tabac de mon village, je découvris un univers totalement exaltant. Ce magazine était l’ancêtre des sites coquins d’aujourd’hui, car des libertins y racontaient leurs fantasmes ou leurs aventures. Les textes étaient illustrés de dessins ou de croquis suggestifs, mais les mots me suffisaient amplement.

Avant de continuer la lecture... Dites-nous si la situation de ces personnes vous plaît.

Puis, à l’âge où on tombe amoureux, je n’avais qu’une envie, c’était d’enchaîner le plus d’aventures possibles avec le plus grand nombre de filles possible. Un jour, je tombais sur une copine qui était en réalité mon double féminin. Ce qui l’intéressait, c’était de se taper des mecs ! Et c’est elle qui m’amena à mon premier club libertin sur la route de Carcassonne, non loin de Narbonne.

La découverte d’un club libertin

Je me suis senti immédiatement à l’aise dans ce club, l’un des premiers de l’Aude. L’ambiance y était feutrée, la musique était bonne et tout le monde était là pour la même raison que moi. Nathalie connaissait bien les lieux et était ici chez elle. Le patron vint lui faire la bise et nous offrit immédiatement deux verres.

Les clients qui la connaissaient venaient lui dire bonjour. Certains ne portaient qu’une serviette nouée autour du cou et Nathalie ne pouvait s’empêcher de passer la main par en dessous pour dire également un petit bonjour à Paupol.

Les compagnes de ces messieurs me dévisageaient et certaines me firent même des propositions très crues. Nathalie leur expliqua que c’était ma première fois et que je devais m’habituer un peu avant de commencer à me mettre totalement à l’aise. C’est ce jour-là que je compris que, désormais, ce genre de club serait ma drogue, ma seconde maison.

Des habitudes dans tous les clubs de la région

C’est ainsi que je devins un inconditionnel de rencontres libertines. Nathalie m’accompagnait souvent, principalement pour une question de tarif. Un homme seul doit payer plus cher qu’un couple et quand on sort quatre à cinq fois par semaine, le budget est conséquent à la fin du mois.

Au bout de quelques mois, j’étais devenu un client régulier de tous les clubs de la région. Je connaissais les propriétaires, le menu des jours de la semaine et la plupart des clients réguliers. J’étais personnellement invité pour les soirées spéciales, les gang bangs et autres. Bref, j’étais rapidement devenu un personnage incontournable des nuits libertines audoises.

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Quelques règles pour rester physiquement attractif

Les célibataires sont nombreux à chasser dans ces clubs, en quête de rencontres. Pour être sûr de rester dans la course, il faut s’entretenir. Je pratique deux heures de sport en salle par jour auxquelles je rajoute des footings réguliers. Je fais attention à ce que je mange et je vais régulière chez l’esthéticienne pour me faire épiler ou faire des séances d’UV.

Bref, pour être sûr de plaire, il faut s’abstenir à des règles relativement strictes. Mais chaque passion demande des sacrifices n’est-ce pas ? La tenue vestimentaire est importante. Je ne me déshabille rarement directement. J’aime bien passer au bar avant d’aller au vestiaire. C’est encore mieux dans les clubs qui possèdent un restaurant. Je passe là parfois plus d’une heure à siroter quelques boissons et à regarder les va-et-vient.

C’est souvent là que je rencontre les couples avec qui je vais passer une partie de la soirée. J’ai appris à prendre mon temps et à passer un moment à discuter. Avec le temps, on apprend à aller au fond des choses tout en restant discret.

L’importance de connaître la psychologie candauliste

Un célibataire attire forcément les couples candaulistes. J’en ai d’ailleurs fait ma spécialité. J’adore baiser les femmes des autres sous les yeux du mari cocu. J’en tire un sentiment de puissance. Je me sens un peu comme un acteur qui ferait une performance devant un public de connaisseur.

Mais pour être le mâle alpha que le mari va choisir, il faut savoir séduire tant l’homme que la femme. Bien évidemment le physique aide énormément, mais il faut davantage que cela. Cela demande beaucoup de psychologie. Il est important de comprendre dès les premiers échanges ce que recherche le couple.

Au fil des années, j’ai développé un certain talent à ce jeu-là. Je dois dire que je me suis même abonné à un magazine de psychologie pour approfondir mes connaissances. Et cela m’a bien aidé. Grâce à cela j’ai pu être le cocufieur de riches et vieux maris qui m’offraient leur jeune épouse sur un plateau. Être un amant adepte des rencontres libertines offre parfois des cadeaux originaux.

Sur un voilier avec un trouple

Ainsi, lors d’une soirée dans un club du Cap, je suis tombé sur de riches candaulistes en vacances sur leur luxueux voilier. Il était là pour quelques jours et en profitait pour visiter les environs. Mais je ne l’appris que plus tard. Ils étaient en fait à la recherche de l’amant idéal pour partir avec eux sur leur voilier pour une traversée de la Méditerranée.

Et je fus l’heureux élu ! Je m’entendis immédiatement avec le mari. Nous avions des tas de points communs et le courant passa rapidement. Mais c’est surtout avec sa femme que les choses ont véritablement matché.  Après une soirée extraordinaire, je partis faire un check-up médical et préparer mes affaires. J’allais passer au moins deux semaines (et plus si affinités) sur un voilier luxueux en très bonnes compagnie.

Mes attribut de mâle alpha ont convaincu le mari de Véronique de me choisir

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Et ces deux semaines se transformèrent en deux mois. Durant ces 60 jours de mer (avec quelques escales – Corse, Italie, Sardaigne, Tunisie, Maroc, Espagne), nous avons baisé comme jamais je n’avais cru qu’il était possible de baiser.

Le mari était en fait en couple avec… deux sœurs, chacune présent à bord ! Et ils pratiquaient donc une relation candauliste à trois assez originales.  Pour mon plus grand plaisir.

Quatuor décadent voué au sexe extrême

Il faut donc être préparé à beaucoup de choses. Je ne suis ni homo ni bisexuel, mais je m’adapte. Ainsi, sur le voilier, le mari voulait se faire sodomiser de temps en temps et je me soumettais à ses désirs. Après tout, quand on est en mer et qu’il y a une forte tempête, on ne regarde pas dans quel port on doit entrer…

Le mari aimait à se déguiser en femme (il avait d’ailleurs sa propre garde-robe sur le bateau) et sa femme le sodomisait également avec un gode-ceinture pendant qu’il baisait sa sœur. Bref, cet étrange trio pratiquait également le BDSM. Et là, on ne me fait pas prier. Je suis le premier à jouer avec tous ces objets de torture et mon imagination est débordante.

Nous avions donc eu le loisir de laisser libre cours à notre imagination et je crois que nous avions fini par perdre totalement pied sur ce bateau. Nous vivions nus ou seulement couverts d’un paréo ou d’un t-shirt, et nous baisions dès que l’envie nous prenait, partout où elle nous prenait. Cette traversée fut une orgie monumentale.

Je baisais tour à tour le cocu et l'une des deux soeurs

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Et la baise laissa place aux sentiments

Le plus difficile dans une vie d’amant, ce sont les sentiments. Le cul c’est une chose, mais le cœur, c’en est une autre. Et parfois, le second prend le dessus sur le premier et on n’y peut rien. Sur le bateau, je suis petit à petit tombé amoureux de la sœur de l’épouse du vieux pervers. Et les sentiments étaient réciproques. Et là, attention danger. Je n’ai jamais envisagé la possibilité de me caser, mais les deux mois que j’ai passés en mer allaient me changer.

Ainsi donc, nous avons rapidement senti qu’en plus de la baise, il y avait autre chose. Cette autre chose donnait au sexe une tout autre dimension et je n’avais qu’une envie, c’était de me retrouver à ses côtés. Or, cela n’était pas prévu au contrat et nous le savions. Nous avons donc tout fait pour tenter d’être discrets et ne pas montrer aux autres que nous avions quelque chose l’un pour l’autre.

Certes, personne ne fut dupe, mais tant que je respectais mes engagements, il n’y avait pas de problème. Ainsi la fin de cette virée méditerranéenne me rendit triste à l’idée de devoir quitter celle pour qui mon cœur battait désormais.

Le cœur ou le cul, il faut choisir

De retour dans ma ville natale, je repris mes virées aux clubs et mes maîtresses ne cessaient de me demander. Mais mon esprit était ailleurs. Il voguait sur les flots bleus en compagnie de Véronique. Nous nous étions échangé nos 06, mais elle habite à l’autre bout de la France. Mon esprit ne pouvait pas l’oublier et lorsque je trombine une daronne sous le regard lubrique de son cocu de mari, c’est à Véronique que je fais l’amour.

Puis Véronique m’avoua un jour que cette relation n’aboutirait à rien et elle décida d’y mettre un terme. Nous nous étions revus une fois dans l’hiver, mais elle avait raison, il fallait cesser ce jeu. Elle n’avait aucune intention de quitter sa sœur et le luxe dans lequel elle vivait grâce sa situation de belle-sœur aimante et amante.

Alors j’ai appliqué le même principe qui veut qu’après une soirée trop arrosée, on se soigne par le mal en buvant un peu d’alcool. Je me suis plongé dans le sexe, prenant même par moment des pilules bleues pour faire fonctionner la mécanique épuisée. Mais quelque chose est cassé et je sens que je perds pied petit à petit. Je ne peux cesser de penser à elle. Alors, juste un petit conseil amis amants, ne faites pas comme moi. La baise, oui, mais les sentiments, tentez de rester le plus loin possible… Si vous le pouvez !

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