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Comment mon physique devint soudainement attractif

Je n’ai jamais eu de succès avec les filles. Trop maigre, trop timide, pas assez beau, je ne les ai jamais intéressées. Je n’étais même pas le second, ou le troisième choix, j’étais le garçon avec lequel elles ne s’imaginaient pas. Ce refoulement, j’en ai souffert, c’est évident. Ce n’est pas facile d’être ignoré, rejeté. Mais je me suis fait une raison, je m’y suis habitué. C’est sûrement pour cela que j’ai eu du mal à m’adapter quand tout a changé.

Tout d’un coup, je suis devenu un sex symbol. Les filles me regardaient dans le métro. À la salle de sport, où je vais tous les jours depuis des années sans avoir réussi à prendre un gramme de muscle, elles ont commencé à me dévisager. Dans un magasin de chaussures, la vendeuse m’a glissé son numéro en me disant que si j’avais envie de la dévorer, elle se laisserait faire avec plaisir.


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Une complice à qui confier mes malheurs avec les femmes

Cela me semble amusant maintenant, mais sur le coup j’étais persuadé que c’était grâce à mes nouvelles lunettes. J’étais étonné, bien sûr, mais c’était la seule explication que je voyais. Il faut croire que le vendeur avait raison quand il disait que c’était un modèle à la mode ! C’est ma meilleure amie, et une collègue de bureau, qui m’a dit à quel point je me trompais.

Avec Alina, on s’est bien entendu dès le début. Elle aussi, elle sait ce que ça fait d’être rejeté. Et pourtant, elle est canon, mais elle a aussi passé la moitié de sa vie seule. Son fardeau à elle, c’est d’être lesbienne. Pas bisexuelle, lesbienne. Elle refuse donc tous les hommes qui viennent à elle, et la plupart de ceux-ci se chargent ensuite de lui faire une mauvaise réputation. Le résultat, c’est que même les filles l’évitent, au risque d’être elles aussi ostracisées.

Quand elle m’a raconté tout ça, j’ai eu du mal à la croire. A l’époque, j’étais convaincu que la tolérance était devenue quelque chose de normale, mais elle m’a ouvert les yeux. Non, je n’étais pas le seul à avoir du mal à vivre en société, juste parce que je ne correspondais pas aux critères.

C’est donc à elle que j’ai fait part du succès de mes nouvelles lunettes, et elle a failli s’étouffer de rire.

La vraie raison de mon succès inattendu auprès des dames

Après avoir réussi à se calmer, elle m’expliqua que si les filles étaient d’un coup devenues sensibles à mes charmes, ce n’était pas à cause de mes lunettes. En réalité, je ressemblai comme deux gouttes d’eau à l’acteur principal d’une série à la mode.

J’eus du mal à comprendre. Pour moi, les acteurs à la mode, ce sont des Clint Eastwood, des George Clooney, des Keanu Reeves, des Brad Pitt… Des hommes masculins, musclés, impressionnants, beaux ! Or, aucun de ces adjectifs ne s’applique à ma description.

C’est vrai que je suis grand, mais je suis un gringalet qui pèse 60 kg tout mouillé, avec le charisme d’une huître et, mis à part ma mère, aucune personne de sexe féminin ne m’a jamais dit que je suis beau. Même pas ma sœur.

Alors un acteur sexy qui me ressemble… J’ai eu du mal à y croire.

Le déclic qui me fit réaliser mon sex-appeal

Puis j’ai découvert que c’était vrai. C’est n’est pas exactement mon sosie, mais la ressemblance est frappante. Il a même copié ma coiffure, qui consiste à juste laisser pousser les cheveux, et à aller chez le coiffeur quand ils tombent devant les yeux, avec l’instruction « un peu plus court s’il vous plait ». Et il porte les mêmes lunettes que moi !

Pendant pas mal de temps, mon humeur a oscillé. D’un côté, j’étais ravi d’être devenu attractif pour la gent féminine, un véritable don du ciel que je n’aurais jamais osé imaginer. Mais j’étais aussi furieux contre toutes ces filles qui m’avaient ignoré auparavant, et me voulaient à présent. Je n’avais pas changé, alors pourquoi elles s’intéressaient à moi d’un coup ? À cause d’un autre ? À présent, vous vous rendez compte que les maigrichons aussi sont sexys ?

C’est une vendeuse de chez Zara qui a tout fait basculer.

J’étais sorti acheter une nouvelle chemise après le travail. Je n’en avais pas vraiment besoin, mais je n’avais pas envie de rentrer directement chez moi. Cela me permettait de me promener un peu, et d’observer l’effet que je faisais désormais auprès des femmes.

Une vendeuse chaude pour un plan sexe dans une cabine d’essayage

Elle me repéra dès mon entrée dans le magasin, et vint immédiatement me conseiller. Je remarquai sa manière de me regarder, je me rendais bien compte qu’elle flirtait avec moi, mais ce n’était pas la première. Quand elle m’a suivi dans la cabine d’essayage, je n’ai pas su quoi dire, alors je me suis tu. Puis elle a commencé à me caresser le torse, sa langue a joué avec mes tétons avant de descendre sur mon ventre.

Lorsqu’elle déboutonna mon pantalon, je bandais déjà comme un âne. Elle baissa mon slip, et mon sexe raide jaillit pour aller buter contre son nez. J’étais incroyablement dur, et cela me gênait qu’elle me voie aussi excité. Mais cela lui plut et, avec un sourire, elle posa ses lèvres sur mon gland. J’étais au paradis. Jamais une fille ne m’avait administré une fellation auparavant.

Avec son regard elle me dit merci pour tout ce sperme giclé dans sa bouche
Avec son regard elle me dit merci pour tout ce sperme giclé dans sa bouche

Il me serait impossible de dire ce qui me plut le plus : Voir mon sexe disparaître sans sa bouche, ou sentir sa langue sur mon frein. Je ne pus résister longtemps, et j’éjaculais entre ses lèvres. J’avais peur qu’elle m’en veuille, qu’elle me demande comment je pouvais me permettre de lui faire ça, qu’elle m’accuse de la considérer comme une moins que rien… Mais rien de tout ça. Elle se contenta de tout avaler, et sortit de la cabine, me laissant essayer la chemise qu’elle m’avait conseillé.

Transformé en forniqueur de compétition

Cette rencontre furtive me changea complètement. Je décidai alors de profiter de l’opportunité qui m’avait été donnée. Pendant trop longtemps, j’avais été mis de côté. Tellement de plaisirs m’avaient été refusés sans motif valable, il était l’heure de me rattraper.

Je savais bien que ce n’était pas vraiment moi que les filles désiraient, mais cela ne me dérangeait plus. Au final, ce n’est pas non plus d’elles que j’avais envie. Ce que je voulais, c’était m’amuser, me faire plaisir. J’avais décidé de baiser autant que je peux, pour me venger de toutes celles qui m’avaient plu par le passé, mais m’avaient ignoré.

À peine rentré chez moi, je retrouvai le numéro de téléphone d’une autre vendeuse qui m’avait envoyé des regards intéressés, et suggéré de la contacter pour du sexe. Avant de trop réfléchir et de changer d’avis, je l’appelai et l’invitai à venir chez moi le soir même. Elle ne se fit pas prier, et arriva moins d’une demi-heure plus tard. Elle aussi parut ravie que je termine dans sa bouche. Moi qui n’avais jamais été sucé en près de 30 ans de vie, je venais de gicler entre les lèvres de deux filles différentes en quelques heures. J’y pris goût.

Grisé par mon expérience, je décidai de continuer à profiter. Je me lançai un défi : Trouver une fille différente chaque jour, et terminer dans sa bouche. Ce fut beaucoup plus simple que je n’aurais cru. C’était incroyablement facile. Elles savaient toutes que je n’étais pas l’acteur sur lequel elles fantasmaient, mais je leur permettais de vivre leur rêve.

Pratiquer enfin mes fantasmes hard sans retenue

Elles étaient ravies. Je me comportais comme un sagouin avec elles, mais cela ne les dérangeait pas. Je n’avais aucune raison d’arrêter.

Mon visage plaît maintenant beaucoup aux belles femmes, alors j'en profite
Mon visage plaît maintenant beaucoup aux belles femmes, alors j’en profite

Bien entendu, nombre d’entre elles souhaitaient autre chose qu’une simple fellation. Alors je leur faisais plaisir. Rapidement, je me suis rendu compte que le missionnaire ne me plaisait pas. C’était bien trop intime pour moi. Mais la levrette… Je les pénétrais en me régalant du spectacle de leur fesses, et je m’imaginais que j’étais en train de baiser avec les fantasmes de ma jeunesse. Celles qui m’avaient refusé au lycée, puis à la fac.

Quand l’une d’entre elles me dit qu’elle en voulait encore plus, je ne compris pas tout de suite le message. Puis elle commença à hurler « Encule-moi, putain ! », et je m’exécutai. Ce fut incroyable, et cela devint ma nouvelle passion.

Le rituel s’installa rapidement. Je trouvais une fille, la séduisais en quelques minutes, puis nous trouvions un endroit tranquille où elle me suçait. Ensuite nous allions chez moi, et je la prenais en levrette. Puis, je pressai mon gland contre son petit trou, et m’introduisais. Certaines me recevaient facilement, d’autres étaient plus serrées et avaient besoin de temps pour se détendre. Quelques-unes me demandèrent de ressortir, car cela leur faisait mal. Mais aucune ne me refusa.

La routine des plans cul sans lendemain finit par lasser

J’avais commencé à m’ennuyer de cette routine. En quelques mois, j’avais baisé tellement que je ne ressentais plus rien. J’en venais à regretter l’époque où ma main droite était ma seule compagne au lit. Et je recevais de plus en plus de messages. Celles avec qui j’avais été, leurs amies, leurs collègues… Elles s’étaient refilé le plan cul que j’étais. Vraiment je n’en pouvais plus, je ne voulais plus être un sex symbol.

Alors je décidai de passer un mois seul, sans sexe. Je voulais que cela me manque, pour pouvoir en profiter comme au début. Au bout de seulement trois jours, je reçus un e-mail.

C’était mon amour de jeunesse. Celle sur laquelle j’avais fantasmé pendant mes deux premières années de fac. Nous étions amis à l’époque. Jusqu’à ce que je prenne mon courage à deux mains, et que je lui avoue que j’avais envie d’elle. Elle me répondit qu’elle ne sortirait jamais avec un garçon comme moi, et nous n’avons plus échangé un seul mot depuis.

Jusqu’à ce mail. Elle avait retrouvé quelques vieilles photos de la fac, avait pensé à moi, et avait retrouvé mon adresse e-mail. Elle me demandait comment j’allais et voulait savoir si on pourrait se retrouver autour d’un café comme au bon vieux temps.

J’hésitai un instant, avant de lui proposer de nous voir le jour suivant. On pourrait se trouver un endroit tranquille pour discuter, et éventuellement passer boire un verre chez moi un peu plus tard. Elle avait toujours eu un faible pour les acteurs, et ma nouvelle routine commençait déjà à me manquer.

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