L’Île des plaisirs

Je sens le sable chaud sur ma joue, et je me réveille en sursautant. Tout me revient à l’esprit. La tempête, le naufrage… Je pensais mourir au milieu du Pacifique, mais Dieu en a décidé autrement. Je ne suis pas croyant, mais les faits sont là. J’ai été sauvé d’une mort certaine, et je suis convaincu qu’il y a un motif pour cela. Il ne me reste plus qu’à trouver lequel, et accomplir la mission qui m’a été confiée.

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À la découverte d’un lieu inconnu et mystérieux

Ayant vu de nombreuses émissions de survie en pleine nature, je sais que je dois trouver de l’eau. Je me dirige donc vers le nord, où il me semble apercevoir une petite rivière qui traverse le sable. Après seulement quelques pas, je sens une démangeaison au niveau des cuisses, et réalise que je suis plein de sable de partout.

Je suis entièrement nu. Tous mes vêtements ont dû être arrachés par les terribles vagues qui ont fait chavirer le bateau. Je me jette dans l’eau chaude de l’océan pour me nettoyer avant de reprendre ma marche vers le ruisseau que je suis maintenant certain d’apercevoir.

Quand j’y parviens, je remarque vite les nombreuses traces de pas. Cette île n’est pas inhabitée, c’est une excellente nouvelle. Cela signifie que la vie est possible ici. Il doit y avoir suffisamment de nourriture, je vais pouvoir m’en sortir.

J’observe les traces au bord du ruisseau quand tout d’un coup ma cervelle résonne dans mon crâne et tout devient noir autour de moi.

Une réalité entre l’excitation et la peur

Je sens le sable chaud sous mon dos, et j’essaie instinctivement de me relever. J’en suis empêché par des cordes qui me lient les bras et les jambes. J’ouvre les yeux, et je découvre que je suis effectivement attaché sur la plage, bras et jambes écartés. L’ennemi a utilisé des lianes qui paraissent solides, et les nœuds sont résistants, je ne peux rien faire.

Un cri me fait sursauter et je tourne la tête dans la direction d’où il provient. Une dizaine de femmes se tient à quelques mètres de moi. Elles m’observent en chuchotant. Les beautés ont toutes la poitrine à l’air, et leurs fesses sont à peine recouvertes d’un pagne qui semble fait en feuilles de palmiers. Elles sont jeunes et seraient sexys, si elles n’avaient pas une lance à la main et un arc en bandoulière.

Serais-je le captif d’une tribu d’Amazones ?

Cela en a tout l’air.

Elles s’agitent et la discussion entre elles semble de plus en plus animée. Elles me pointent du doigt, et je sais qu’elles parlent de moi. Je me rends alors compte qu’elles désignent un endroit bien particulier de mon anatomie. En vérifiant d’un regard, je réalise que mon sexe a commencé à se redresser. Vont-elles me punir ?

Déjà l’une d’entre elles s’avance vers moi, les yeux rivés sur mon sexe qui, à mon grand dam, continue à se redresser. Elle s’agenouille à côté de moi, ne prêtant aucune attention à mon visage, ses yeux tournés seulement vers mon sexe. Elle le prend alors en main, et commence à le masturber. Ébahi, je la vois alors se pencher vers moi et je sens ses lèvres se poser autour de mon gland.

Violé collectivement par des femmes

Je ne sais pas ce qu’il m’arrive, mais je ne peux rien faire, attaché comme je suis, alors je décide de fermer les yeux.

Ces délicieuses créatures sauvages ont décidé d'abuser de mon corps
Ces délicieuses créatures sauvages ont décidé d’abuser de mon corps

Je sens que je suis dur comme de la pierre, mon sexe dressé vers le ciel, et l’Amazone décide alors de cesser la fellation, de me chevaucher, et de s’empaler profondément. Les mouvements de son bassin s’accélèrent, et elle crie de plus en plus fort, jusqu’à exploser dans un hurlement violent qui signale son orgasme.

Elle se relève alors et cède sa place à une autre guerrière, qui procède exactement de la même façon. Je bande déjà, mais elle prend le temps de me caresser de ses mains douces, avant de me prendre en bouche. Puis, elle aussi me chevauche et s’empale sur mon sexe dressé. Elle aussi s’agite de plus en plus vite en poussant des cris que je ne comprends pas, et jouit avec un hurlement qui doit s’entendre à des kilomètres.

Une autre Amazone vient alors prendre sa place, et tout recommence. Puis une autre. Puis une autre.

La septième joue avec sa langue sur le bout de mon gland et je sens que je ne vais plus pouvoir me retenir. Je ne peux m’empêcher de laisser échapper moi aussi un long hurlement quand je me vide entre ses lèvres.

Ses compagnes semblent au comble du bonheur, elles viennent la féliciter, et elle-même a un sourire qui ne trompe pas. Elle est fière d’elle.

Les Amazones me détachent alors et me font signe de les suivre. Mon hésitation est vite vaincue par la pointe aiguisée d’une lance contre mes reins.

Un banquet orgiaque rien qu’en mon honneur

Leur village n’est pas loin, et nous y arrivons en seulement quelques minutes. Un festin est disposé sur une table, et elles me font signe de me servir. Fruit frais, poisson grillé, viande juteuse… Les odeurs sont alléchantes, et mon estomac me fait comprendre qu’il a grand besoin d’être rempli après toutes ses péripéties.

Je me goinfre sans état d’âme, ne pensant même pas qu’elles souhaitent m’empoisonner. Si elles me voulaient mort, je le serais déjà.

Une blonde à la poitrine voluptueuse m’apporte une corne remplie d’un breuvage ressemblant à du vin. Je le goûte, et me rends compte qu’il s’agit d’une liqueur bien plus exquise que le meilleur des vins que je n’ai jamais goûtés.

Une brune aux yeux de biche m’offre du raisin, qu’elle me donne grain par grain.

Une rousse sulfureuse s’approche et s’agenouille devant moi, prenant mon sexe flasque en bouche.

Une autre blonde me sert une deuxième corne de ce vin divin.

La brune a terminé de me donner du raisin et cède sa place à une blonde à la poitrine énorme que me fait goûter quelque chose qui ressemble étrangement à des chips.

Entre les lèvres de la rousse, mon sexe commence à durcir.

Une nouvelle brune, à la poitrine encore plus imposante que la blonde, vient me masser les épaules.

Mon sexe est maintenant raide comme un bâton, et la rousse se relève alors en poussant un cri de triomphe.

À mon tour d’être le patron dans cette partouze

Immédiatement, toutes les Amazones retirent leur pagne et viennent se placer en ligne le long de la table dressée. Toute la tribu y est, une trentaine de filles toutes plus superbes les unes que les autres. Elles se penchent alors vers le buffet, relevant les fesses, m’offrant leur croupe.

Je ne comprends rien aux invectives qu’elles me lancent, mais le message est clair.

Je commence par la blonde à gros seins qui m’a apporté des chips. Mes mains posées sur ses hanches, je la pénètre vigoureusement. Je n’ai malheureusement pas de temps à perdre si je veux toutes les satisfaire, alors je la lime profondément et la fais jouir en quelques minutes. Lorsqu’elle hurle, je passe à la suivante, une petite brune que je n’avais pas vue jusqu’à présent.

Elle aussi jouit rapidement, et je passe à la suivante. La brune à la poitrine énorme. Ou peut-être que c’est une autre. Je ne sais plus, et peu m’importe. Je les baise toutes, je vais toutes les faire jouir. Leurs hurlements incroyables lors de leurs orgasmes me plaisent de plus en plus.

Contraint de baiser à la chaîne toutes ces nymphomanes - Il y a pire comme sévices !
Contraint de baiser à la chaîne toutes ces nymphomanes… Il y a pire comme sévices !

Puis vient le tour de la rouquine qui m’a redonné mon érection. Je décide de lui réserver un traitement de faveur. Mon sexe remonte le long de sa fente humide, et continue son chemin jusqu’à son anus. D’un mouvement brusque, je l’encule et ses hurlements de plaisir m’encouragent à lui donner de nombreux orgasmes. Je continue à la prendre sans relâche, encouragé par les sirènes…

Les sirènes d’un bateau…

Un bateau venu me chercher…

Je ne veux pas repartir, je veux rester ici avec les Amazones !

Arrêtez vos sirènes !

Agréables rêveries inspirées par un film X

Je tâtonne avec la main droite pour trouver mon téléphone et arrêter la sonnerie du réveil. Saleté de sonnerie, il faut que je la change, je ne la supporte plus.

Je referme les yeux, en espérant pouvoir profiter encore un peu de mon rêve, mais je sais que cela ne marchera pas. Puis je me touche, et confirme ce que je savais déjà, je bande grave.

Enfin, je me redresse sur le canapé du salon, où je me suis endormi hier en regardant la télé. La jaquette du blu-ray est sur la table. L’île des plaisirs, l’histoire d’un naufragé tombé aux mains d’une tribu de nymphomanes. Un scénario débile, mais un film plein de bonnasses qui n’ont pas froid aux yeux.

Il se fait tard, et je devrais filer au boulot si je ne veux pas arriver en retard. Ce ne serait pas la première fois après une soirée comme celle d’hier. Je devrais arrêter de mater du porno.

Sur cette remarque, j’appuie sur la télécommande et remets le film en marche. Je vais direct à la scène avec la rouquine, elle me plaît cette petite.

Je commence à me branler en admirant pour la trentième fois comment ses petits seins rebondissent à chaque fois qu’elle se fait prendre par derrière. Ses hurlements de plaisir sonnent totalement faux, mais ils m’excitent.

Elle me fait jouir à chaque fois.

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