Même si je ne suis pas un grand fan de foot, cela fait des années que je suis mon club. J’ai grandi en les supportant, et les souvenirs de ces matchs de deuxième division que mon père m’emmenait voir en plein hiver font partie des plus beaux moments de mon enfance.
Retour aux histoires candaulistes d’amants
Un accoutrement pas vraiment séducteur
🌶️ ️️Offres Produits Érotisme - Sexe et Sensualité : Sextoys, BDSM, Préservatifs, Huiles... (et rendez-vous dans la rubrique PROMOTIONS)
Bien sûr, les choses ont changé. L’ambiance au stade est moins familiale, les joueurs sont moins proches du public, et globalement le spectacle est moins passionnant mais cela ne change rien : supporter un jour, supporter toujours !
Et cette année, je ne pouvais pas manquer les matchs de Ligue des Champions : plus de 20 ans que j’attends ça, et cette année ils l’ont fait. Mais je me suis mal organisé, et lorsque j’ai voulu acheter mon pass pour les trois matchs de poule, tous les billets normaux étaient déjà vendus. Il a donc fallu que je casse ma tirelire et pioche dans mon budget vacances pour acheter une place dans les loges.
Pour ce premier match, je suis venu habillé comme à chaque fois que je viens au stade : mon vieux maillot floqué du numéro 14 que mon père m’a offert le jour des mes 18 ans, et l’écharpe commémorative de la première campagne européenne à laquelle j’ai assisté. En général, cela m’attire la sympathie de ceux qui sont autour de moi, lorsqu’il se rende compte que mon équipement a presque 20 ans.
Mais ici, dans les loges, les choses sont différentes : les hommes sont habillés en costume-cravate, les femmes en tailleur ou en robe de soirée… je ne me sens clairement pas à ma place, et les regards de ceux autour de moi me font bien comprendre que je dérange.
Surpris par le côté avenant de cette femme impressionante
Je suis assis seul à ma place lorsque je la vois entrer dans ma loge : grande et élancée, vêtue d’une robe qui s’arrête bien au-dessus des genoux, ses cheveux blonds coupés au carré encadrant un visage fin et souriant… elle est accompagnée d’un homme d’une cinquantaine d’années, à l’allure sérieuse.

Alors qu’il salue d’autres hommes d’affaires et commence à discuter avec eux, elle me surprend en me tendant la main, un sourire sur les lèvres : « Bonsoir, je suis Marie. Ravie de vous connaître !
- Euh, bonsoir Marie. Moi c’est Christophe. Ça va bien ?
- Très bien, merci. J’espère qu’on va voir un beau match. »
Ne sachant que répondre, je préfère me taire. Ce n’est pas que je suis timide, c’est juste qu’elle m’a pris par surprise. Puis faut bien dire ce qui est : je ne suis pas habitué à faire la conversation à une femme comme elle, de la haute société.
Mais je ne peux m’empêcher de l’observer du coin de l’œil. Elle semble avoir mon âge, si elle n’était pas accompagnée d’un homme aussi âgé je lui aurais donné 35 ans. En tout cas, elle est vraiment belle et sexy. Lorsque le match commence son mari vient prendre place à ses côtés et lorsqu’il pose une main sur sa cuisse, je me dis que j’aimerais bien être à sa place.
Elle me plait, et je ne peux pas détacher les yeux de son corps superbe. À tel point que je ne vois même pas le premier but du match et ne profite finalement qu’à moitié de la victoire inattendue de mon équipe. Lorsque l’arbitre siffle la fin du match, elle quitte rapidement la loge, sans prendre le temps de me dire au revoir.
C’est ainsi que je rentre à la maison déçu et frustré, alors que je devrais être ravi du résultat du match.
Le déroulement d’un match vu par Marie
Mon indifférence aux ambiances de match…
Le sport, ça n’a jamais été mon truc, et je n’ai jamais pris de plaisir aux évènements mondains. Et pourtant, depuis maintenant plus de 3 ans, j’accompagne mon mari à presque tous les matchs de l’équipe de foot du coin. Il parait qu’ils sont bons, qu’ils jouent l’Europe, et que le spectacle est formidable mais je n’ai jamais rien compris et je ne suis pas intéressée.
Je soupçonne mon mari de ne pas vraiment apprécier le spectacle non plus. Le principal motif pour lequel il a acheté ces places en loges est de pouvoir fréquenter d’autres personnes importantes et créer des relations qui peuvent lui être utiles en affaires. Je vois bien qu’il préfère discuter avec les élus locaux et les autres directeurs d’entreprise du coin plutôt que de regarder les matchs.
Ils me semblent tous un peu hypocrites, à venir au stade pour boire du champagne et discuter business et politique, mais je suis habituée. Lorsque j’ai épousé un patron d’entreprise, je savais que je rentrais dans un monde bien différent du mien.

Mais lors du dernier match, il y avait cet intrus dans notre loge. Avec son maillot de foot et son écharpe de supporter, c’était évident qu’il ne faisait pas partie de notre monde. Les autres l’ignoraient, mais moi sa fraîcheur m’a plu. Il m’a rappelé l’ambiance des concerts de ma jeunesse, lorsqu’on se moquait de ce que les autres pensaient, et qu’on était juste content de porter un T-Shirt Iggy Pop tout en sautant et en criant « Tostaky ! » à pleins poumons… la belle époque.
Atténuée par la présence attirante de cet homme
Il m’apprit qu’il s’appelait Christophe, et je me rendis bien compte que je lui plaisais. Il était mignon, mais je ne souhaitais pas du tout aller dans cette direction : j’ai donc choisi de l’ignorer.
Mais aujourd’hui, pour ce deuxième match de la coupe des champions, il est de retour dans notre loge. C’est marrant, il ne vient pas voir les matchs du championnat local, mais il est là pour voir jouer les équipes des autres pays ! Peut-être qu’il est étranger ?
Il m’aperçoit et me salue d’un signe de tête. Je le salue de la même manière et lui souris. Il porte les mêmes vêtements qu’il y a deux semaines et je m’amuse en voyant les autres essayer de faire comme s’il n’était pas là. Lui, il semble s’en moquer : il regarde le match, se lève de temps en temps et agite son écharpe lorsque le reste du stade crie.
Je dois avouer qu’il me plaît. Il est plutôt agréable à regarder, et surtout son côté « je-m’en-foutiste » est comme un vent de fraîcheur dans ma vie rigide et monotone. Lorsqu’il quitte la loge à la fin du match, il semble énervé par le résultat et passe devant moi sans un regard. C’est vraiment dommage, j’aurais tant voulu échanger quelques mots avec lui !
Une fois de retour dans notre loft, je me déshabille pour me mettre au lit pendant que mon mari envoie quelques mails urgents. En enlevant ma culotte, je réalise qu’elle est encore humide. Cela ne m’était pas arrivé depuis longtemps. Ce Christophe me fait de l’effet, c’est indéniable.
Un mari blasé mais conscient de l’attractivité de son épouse
Des fois, je me demande pourquoi j’ai acheté ces places en loge. Aller de temps en temps au stade pour voir un match de foot, c’est sympa, et c’est vrai que les loges me permettent de travailler un peu le relationnel, mais ça commence vraiment à faire trop. Toutes les semaines je perds une soirée, et au final je vois toujours les mêmes personnes.
Puis à chaque fois il faut que je traîne Marie, alors que c’est absolument évident qu’elle n’aime pas le foot. Je me dis que ce serait mieux pour notre couple d’aller au théâtre, ou à l’opéra, histoire de voir quelque chose qui nous plaît. Ou alors de passer une soirée tous les deux à la maison, sans avoir à socialiser avec tous ces gens importants, mais inintéressants.
Mais je n’ai pas le choix : je dois penser à mon entreprise avant tout. Et venir avec Marie aide : tout le monde aime voir une belle femme, et c’est important de transmettre cette image de couple heureux. Donc, nous venons à chaque match, et nous faisons semblant de nous intéresser.
Aujourd’hui c’est le match décisif : s’ils gagnent, ils se qualifient pour les huitièmes de finale. Je les aime bien, je leur souhaite de gagner et de se qualifier, mais d’un autre côté cela signifie un match de plus et une autre soirée de perdue. C’est frustrant, je sais que quelque soit le résultat ce soir, je vais rentrer énervé à l’appartement.
L’inévitable rapprochement intime se réalise
C’était évident qu’aucun des deux n’était attentif au match. Dès le début, les regards échangés étaient clairs : ils avaient envie l’un de l’autre, la passion les dévorait. N’importe quel observateur un tant soit peu attentif aurait démasqué leur petit jeu, mais personne ne faisait attention à eux.
Après tout, personne ne voulait voir cet hurluberlu habillé d’un vieux maillot de foot, et Marie était une femme heureuse en mariage avec l’un des plus importants patrons de la région. Il n’y avait aucune raison pour s’intéresser à eux, et ils purent donc sans difficulté profiter de la mi-temps pour filer à l’anglaise. Ils n’eurent pas besoin d’aller très loin : les toilettes au bout du couloir étaient propres et spacieuses.
Ce n’était pas un endroit romantique, mais la passion qui les habitait ne l’était pas non plus. Le désir charnel, le piquant de l’acte interdit, la peur d’être surpris… tout cela ne faisait que les exciter encore plus.
Rapidement leurs vêtements jonchèrent le sol et leurs baisers passionnés se transformèrent en une étreinte sulfureuse. Christophe souleva Marie qui enroula ses jambes autour de ses hanches pendant qu’il la plaquait contre la faïence bleu ciel des toilettes. Il la pénétra sans ménagement, et elle gémit de plaisir en sentant son large sexe ouvrir ses lèvres et envahir son intimité.
Ils durent interrompre leurs ébats lorsque quelqu’un entra dans les toilettes. Convaincue que c’était son époux, Marie commença à se rhabiller mais lorsque le visiteur répondit au téléphone elle se détendit en réalisant que ce n’était pas sa voix.
Une jouissance forte entre les deux amants
Poussé par le désir, Christophe n’attendit pas que le nouvel arrivant termine sa conversation et il releva la jupe de Marie avant de s’agenouiller derrière elle et d’introduire sa langue entre les belles fesses bien fermes. Marie se mordait les lèvres pour ne pas pousser de cri de plaisir, mais il lui était difficile de ne pas gémir à chaque fois qu’elle sentait la langue de Christophe jouant avec son clitoris avant de parcourir son intimité et de remonter entre ses fesses.

Lorsqu’ils furent de nouveau seuls, il la pénétra de nouveau. Les mains sur la porte des toilettes, Marie profitait de chaque coup de boutoir asséné par Christophe. Ceux-ci s’accéléraient, gagnaient en puissance, la pénétrait de plus en plus profondément. Il n’en pouvait plus, le plaisir était trop intense, il sentait l’orgasme venir et savait que bientôt il ne pourrait plus retenir.
Il explosa avec un énorme cri de libération qui, heureusement pour eux, fut couvert par les clameurs du public. Alors qu’ils reprenaient leurs esprits et se rhabillaient, les chants de victoire continuaient dans le stade. Ce n’est que de retour dans les loges qu’ils comprirent : à la dernière minute, leur équipe avait réalisé l’exploit et s’était qualifiée. La joie se voyait sur les visages de tout le monde : l’équipe allait jouer les huitièmes de finale !
Déjà, Christophe se demandait comment il allait faire pour pouvoir s’offrir un nouveau billet en loge.
Moi, Xavier, 45 ans, une vie d’amant libertin

Rencontrer l’Étalon dont les atouts virils m’extirpent de ma lassitude

Comment mettre dans mon lit cette serveuse excitante ?