MĆŖme si je ne suis pas un grand fan de foot, cela fait des annĆ©es que je suis mon club. Jāai grandi en les supportant, et les souvenirs de ces matchs de deuxiĆØme division que mon pĆØre māemmenait voir en plein hiver font partie des plus beaux moments de mon enfance.
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Un accoutrement pas vraiment sƩducteur
Bien sĆ»r, les choses ont changĆ©. Lāambiance au stade est moins familiale, les joueurs sont moins proches du public, et globalement le spectacle est moins passionnant mais cela ne change rien : supporter un jour, supporter toujours !
Et cette annĆ©e, je ne pouvais pas manquer les matchs de Ligue des Champions : plus de 20 ans que jāattends Ƨa, et cette annĆ©e ils lāont fait. Mais je me suis mal organisĆ©, et lorsque jāai voulu acheter mon pass pour les trois matchs de poule, tous les billets normaux Ć©taient dĆ©jĆ vendus. Il a donc fallu que je casse ma tirelire et pioche dans mon budget vacances pour acheter une place dans les loges.
Pour ce premier match, je suis venu habillĆ© comme Ć chaque fois que je viens au stade : mon vieux maillot floquĆ© du numĆ©ro 14 que mon pĆØre māa offert le jour des mes 18 ans, et lāĆ©charpe commĆ©morative de la premiĆØre campagne europĆ©enne Ć laquelle jāai assistĆ©. En gĆ©nĆ©ral, cela māattire la sympathie de ceux qui sont autour de moi, lorsquāil se rende compte que mon Ć©quipement a presque 20 ans.
Mais ici, dans les loges, les choses sont différentes : les hommes sont habillés en costume-cravate, les femmes en tailleur ou en robe de soirée⦠je ne me sens clairement pas à ma place, et les regards de ceux autour de moi me font bien comprendre que je dérange.
Surpris par le cƓtƩ avenant de cette femme impressionante
Je suis assis seul Ć ma place lorsque je la vois entrer dans ma loge : grande et Ć©lancĆ©e, vĆŖtue dāune robe qui sāarrĆŖte bien au-dessus des genoux, ses cheveux blonds coupĆ©s au carrĆ© encadrant un visage fin et souriant⦠elle est accompagnĆ©e dāun homme dāune cinquantaine dāannĆ©es, Ć lāallure sĆ©rieuse.

Alors quāil salue dāautres hommes dāaffaires et commence Ć discuter avec eux, elle me surprend en me tendant la main, un sourire sur les lĆØvres : Ā« Bonsoir, je suis Marie. Ravie de vous connaĆ®tre !
- Euh, bonsoir Marie. Moi cāest Christophe. Ća va bien ?
- TrĆØs bien, merci. JāespĆØre quāon va voir un beau match. Ā»
Ne sachant que rĆ©pondre, je prĆ©fĆØre me taire. Ce nāest pas que je suis timide, cāest juste quāelle māa pris par surprise. Puis faut bien dire ce qui est : je ne suis pas habituĆ© Ć faire la conversation Ć une femme comme elle, de la haute sociĆ©tĆ©.
Mais je ne peux māempĆŖcher de lāobserver du coin de lāÅil. Elle semble avoir mon Ć¢ge, si elle nāĆ©tait pas accompagnĆ©e dāun homme aussi Ć¢gĆ© je lui aurais donnĆ© 35 ans. En tout cas, elle est vraiment belle et sexy. Lorsque le match commence son mari vient prendre place Ć ses cĆ“tĆ©s et lorsquāil pose une main sur sa cuisse, je me dis que jāaimerais bien ĆŖtre Ć sa place.
Elle me plait, et je ne peux pas dĆ©tacher les yeux de son corps superbe. Ć tel point que je ne vois mĆŖme pas le premier but du match et ne profite finalement quāĆ moitiĆ© de la victoire inattendue de mon Ć©quipe. Lorsque lāarbitre siffle la fin du match, elle quitte rapidement la loge, sans prendre le temps de me dire au revoir.
Cāest ainsi que je rentre Ć la maison dƩƧu et frustrĆ©, alors que je devrais ĆŖtre ravi du rĆ©sultat du match.
Le dĆ©roulement dāun match vu par Marie
Mon indiffĆ©rence aux ambiances de matchā¦
Le sport, Ƨa nāa jamais Ć©tĆ© mon truc, et je nāai jamais pris de plaisir aux Ć©vĆØnements mondains. Et pourtant, depuis maintenant plus de 3 ans, jāaccompagne mon mari Ć presque tous les matchs de lāĆ©quipe de foot du coin. Il parait quāils sont bons, quāils jouent lāEurope, et que le spectacle est formidable mais je nāai jamais rien compris et je ne suis pas intĆ©ressĆ©e.
Je soupƧonne mon mari de ne pas vraiment apprĆ©cier le spectacle non plus. Le principal motif pour lequel il a achetĆ© ces places en loges est de pouvoir frĆ©quenter dāautres personnes importantes et crĆ©er des relations qui peuvent lui ĆŖtre utiles en affaires. Je vois bien quāil prĆ©fĆØre discuter avec les Ć©lus locaux et les autres directeurs dāentreprise du coin plutĆ“t que de regarder les matchs.
Ils me semblent tous un peu hypocrites, Ć venir au stade pour boire du champagne et discuter business et politique, mais je suis habituĆ©e. Lorsque jāai Ć©pousĆ© un patron dāentreprise, je savais que je rentrais dans un monde bien diffĆ©rent du mien.

Mais lors du dernier match, il y avait cet intrus dans notre loge. Avec son maillot de foot et son Ć©charpe de supporter, cāĆ©tait Ć©vident quāil ne faisait pas partie de notre monde. Les autres lāignoraient, mais moi sa fraĆ®cheur māa plu. Il māa rappelĆ© lāambiance des concerts de ma jeunesse, lorsquāon se moquait de ce que les autres pensaient, et quāon Ć©tait juste content de porter un T-Shirt Iggy Pop tout en sautant et en criant Ā« Tostaky ! Ā» Ć pleins poumons⦠la belle Ć©poque.
AttƩnuƩe par la prƩsence attirante de cet homme
Il māapprit quāil sāappelait Christophe, et je me rendis bien compte que je lui plaisais. Il Ć©tait mignon, mais je ne souhaitais pas du tout aller dans cette direction : jāai donc choisi de lāignorer.
Mais aujourdāhui, pour ce deuxiĆØme match de la coupe des champions, il est de retour dans notre loge. Cāest marrant, il ne vient pas voir les matchs du championnat local, mais il est lĆ pour voir jouer les Ć©quipes des autres pays ! Peut-ĆŖtre quāil est Ć©tranger ?
Il māaperƧoit et me salue dāun signe de tĆŖte. Je le salue de la mĆŖme maniĆØre et lui souris. Il porte les mĆŖmes vĆŖtements quāil y a deux semaines et je māamuse en voyant les autres essayer de faire comme sāil nāĆ©tait pas lĆ . Lui, il semble sāen moquer : il regarde le match, se lĆØve de temps en temps et agite son Ć©charpe lorsque le reste du stade crie.
Je dois avouer quāil me plaĆ®t. Il est plutĆ“t agrĆ©able Ć regarder, et surtout son cĆ“tĆ© Ā« je-māen-foutiste Ā» est comme un vent de fraĆ®cheur dans ma vie rigide et monotone. Lorsquāil quitte la loge Ć la fin du match, il semble Ć©nervĆ© par le rĆ©sultat et passe devant moi sans un regard. Cāest vraiment dommage, jāaurais tant voulu Ć©changer quelques mots avec lui !
Une fois de retour dans notre loft, je me dĆ©shabille pour me mettre au lit pendant que mon mari envoie quelques mails urgents. En enlevant ma culotte, je rĆ©alise quāelle est encore humide. Cela ne māĆ©tait pas arrivĆ© depuis longtemps. Ce Christophe me fait de lāeffet, cāest indĆ©niable.
Un mari blasĆ© mais conscient de lāattractivitĆ© de son Ć©pouse
Des fois, je me demande pourquoi jāai achetĆ© ces places en loge. Aller de temps en temps au stade pour voir un match de foot, cāest sympa, et cāest vrai que les loges me permettent de travailler un peu le relationnel, mais Ƨa commence vraiment Ć faire trop. Toutes les semaines je perds une soirĆ©e, et au final je vois toujours les mĆŖmes personnes.
Puis Ć chaque fois il faut que je traĆ®ne Marie, alors que cāest absolument Ć©vident quāelle nāaime pas le foot. Je me dis que ce serait mieux pour notre couple dāaller au théâtre, ou Ć lāopĆ©ra, histoire de voir quelque chose qui nous plaĆ®t. Ou alors de passer une soirĆ©e tous les deux Ć la maison, sans avoir Ć socialiser avec tous ces gens importants, mais inintĆ©ressants.
Mais je nāai pas le choix : je dois penser Ć mon entreprise avant tout. Et venir avec Marie aide : tout le monde aime voir une belle femme, et cāest important de transmettre cette image de couple heureux. Donc, nous venons Ć chaque match, et nous faisons semblant de nous intĆ©resser.
Aujourdāhui cāest le match dĆ©cisif : sāils gagnent, ils se qualifient pour les huitiĆØmes de finale. Je les aime bien, je leur souhaite de gagner et de se qualifier, mais dāun autre cĆ“tĆ© cela signifie un match de plus et une autre soirĆ©e de perdue. Cāest frustrant, je sais que quelque soit le rĆ©sultat ce soir, je vais rentrer Ć©nervĆ© Ć lāappartement.
LāinĆ©vitable rapprochement intime se rĆ©alise
CāĆ©tait Ć©vident quāaucun des deux nāĆ©tait attentif au match. DĆØs le dĆ©but, les regards Ć©changĆ©s Ć©taient clairs : ils avaient envie lāun de lāautre, la passion les dĆ©vorait. Nāimporte quel observateur un tant soit peu attentif aurait dĆ©masquĆ© leur petit jeu, mais personne ne faisait attention Ć eux.
AprĆØs tout, personne ne voulait voir cet hurluberlu habillĆ© dāun vieux maillot de foot, et Marie Ć©tait une femme heureuse en mariage avec lāun des plus importants patrons de la rĆ©gion. Il nāy avait aucune raison pour sāintĆ©resser Ć eux, et ils purent donc sans difficultĆ© profiter de la mi-temps pour filer Ć lāanglaise. Ils nāeurent pas besoin dāaller trĆØs loin : les toilettes au bout du couloir Ć©taient propres et spacieuses.
Ce nāĆ©tait pas un endroit romantique, mais la passion qui les habitait ne lāĆ©tait pas non plus. Le dĆ©sir charnel, le piquant de lāacte interdit, la peur dāĆŖtre surpris⦠tout cela ne faisait que les exciter encore plus.
Rapidement leurs vĆŖtements jonchĆØrent le sol et leurs baisers passionnĆ©s se transformĆØrent en une Ć©treinte sulfureuse. Christophe souleva Marie qui enroula ses jambes autour de ses hanches pendant quāil la plaquait contre la faĆÆence bleu ciel des toilettes. Il la pĆ©nĆ©tra sans mĆ©nagement, et elle gĆ©mit de plaisir en sentant son large sexe ouvrir ses lĆØvres et envahir son intimitĆ©.
Ils durent interrompre leurs Ć©bats lorsque quelquāun entra dans les toilettes. Convaincue que cāĆ©tait son Ć©poux, Marie commenƧa Ć se rhabiller mais lorsque le visiteur rĆ©pondit au tĆ©lĆ©phone elle se dĆ©tendit en rĆ©alisant que ce nāĆ©tait pas sa voix.
Une jouissance forte entre les deux amants
PoussĆ© par le dĆ©sir, Christophe nāattendit pas que le nouvel arrivant termine sa conversation et il releva la jupe de Marie avant de sāagenouiller derriĆØre elle et dāintroduire sa langue entre les belles fesses bien fermes. Marie se mordait les lĆØvres pour ne pas pousser de cri de plaisir, mais il lui Ć©tait difficile de ne pas gĆ©mir Ć chaque fois quāelle sentait la langue de Christophe jouant avec son clitoris avant de parcourir son intimitĆ© et de remonter entre ses fesses.

Lorsquāils furent de nouveau seuls, il la pĆ©nĆ©tra de nouveau. Les mains sur la porte des toilettes, Marie profitait de chaque coup de boutoir assĆ©nĆ© par Christophe. Ceux-ci sāaccĆ©lĆ©raient, gagnaient en puissance, la pĆ©nĆ©trait de plus en plus profondĆ©ment. Il nāen pouvait plus, le plaisir Ć©tait trop intense, il sentait lāorgasme venir et savait que bientĆ“t il ne pourrait plus retenir.
Il explosa avec un Ć©norme cri de libĆ©ration qui, heureusement pour eux, fut couvert par les clameurs du public. Alors quāils reprenaient leurs esprits et se rhabillaient, les chants de victoire continuaient dans le stade. Ce nāest que de retour dans les loges quāils comprirent : Ć la derniĆØre minute, leur Ć©quipe avait rĆ©alisĆ© lāexploit et sāĆ©tait qualifiĆ©e. La joie se voyait sur les visages de tout le monde : lāĆ©quipe allait jouer les huitiĆØmes de finale !
DĆ©jĆ , Christophe se demandait comment il allait faire pour pouvoir sāoffrir un nouveau billet en loge.
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