Je m’appelle Clotilde, j’ai 35 ans, fraîchement divorcée de mon ex-mari Gérard. C’est comme une véritable libération pour moi. En tout cas, au niveau émotionnel. Je me sens plus libre et plus heureuse. C’est comme si j’avais droit à une nouvelle chance dans la vie. Aujourd’hui, j’ai l’impression d’avoir des ailes et de pouvoir faire tout ce que je veux. Je viens même de décrocher un nouveau travail en plein cœur de Paris, à 30 minutes seulement de mon appart parisien ! Et bientôt, je vais partir en mission avec Alexandre, un jeune géomètre pour évaluer des terrains dans le sud de la France. Je l’ai repéré sur LinkedIn et j’ai trouvé son profil fort intéressant, même s’il a tout juste 28 ans !
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Excitée par la réussite professionnelle de ce jeune beau gosse
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C’était un mardi. J’avais demandé à Alexandre si l’on pouvait se voir avant de nous envoler vers le sud de la France pour mieux préparer notre mission. Il me proposa directement les horaires ; Il pourrait me recevoir à son bureau. Je lui proposai donc de passer dans l’après- midi. J’arrivais avec quelques minutes d’avance dans le quartier commercial où se trouvent les bureaux de Alexandre. J’étais quand même impressionnée.
Le petit jeune avait ses bureaux dans le quartier de l’Opéra. Je me félicitais déjà intérieurement de l’avoir choisi pour ce projet. Les locaux étaient très animés. Du monde qui allait et venait, sans se presser, mais de manière assurément dynamique ! J’aimais la vibration qui se dégageait de ces lieux. Au fond de moi, je réalisais que pour la première fois j’étais attirée sexuellement par un collègue. Il ne s’agissait pourtant pas d’un homme plus âgé, mais bien d’un junior. Celui-ci dégageait quelque chose de particulier.
Une rencontre qui donne envie de mieux se connaître
Bientôt, j’allais pénétrer dans le bureau du jeune prodige. Il m’avait clairement indiqué comment m’y rendre. Je ne sais pas pourquoi, mais j’avais des palpitations. Tout ce que je connaissais du jeune homme était son parcours et un photo (vraiment mini) qu’il avait partagée sur LinkedIn. Voici enfin le fameux bureau. À la porte je voyais inscrit : « Alexandre Lamaze – Géomètre junior ».

Professionnellement impressionnant, ce mec dégage aussi un incroyable sex appeal
Je tapais un petit coup et la porte s’ouvrit aussitôt. J’étais face à un jeune homme ni trop grand ni trop petit. Mais certainement charismatique avec un petit bouc insolent et un regard perçant ! Il m’invita à m’asseoir avant de prendre place en face de moi.
- “Bonjour Clotilde, c’est un plaisir de vous voici ici !
- Bonjour Monsieur, euh Alexandre, le plaisir est partagé ! (je ne savais pas si je devais lui donner du « Monsieur », il avait l’air si jeune, plus jeune encore que ses 28 ans !)”
Les discussions furent très animées. Tellement que nous ne vîmes pas le temps passer. Nous étions déjà en fin d’après-midi lorsque je rentrais chez moi. Je gardais vraiment une belle impression de cette entrevue. J’avais hâte d’être au jour J de notre départ !
Excursion très attendue avec mon nouveau collègue !
Moins d’un mois plus tard, nous voici en route vers Gordes, dans le Vaucluse. Une commune dont je n’avais entendu parler que très récemment. Nous étions en voiture vers un coin assez isolé où nous serons logés dans un chalet entièrement aménagé. À noter que nous étions 3, Alexandre, son assistant stagiaire, et moi.
Le trajet était très agréable, de magnifiques paysages défilaient sous les yeux. Étant donné que nous étions en plein printemps, des panoramas verdoyants se succédaient. Alexandre était au volant de notre voiture de location, j’étais à côté de lui. Son stagiaire, Armand, était sagement installé à l’arrière.
À quelques minutes de notre destination finale, Alexandre nous annonçait que nous allions faire une petite pause au bord de la route. Je me rendis compte que c’était une occasion pour lui de fumer un peu. Après s’être garé sur le bas-côté, il se mit à l’aise et se retrouva dans un simple Marcel. Il avait demandé préalablement si cela me dérangerait. Pas moins du monde, avais-je répondu.
Aussitôt excitée par les muscles du jeune homme
Ses muscles bien dessinés n’avaient pas manqué d’attirer mon attention. Mais c’était sa façon d’allumer sa cigarette qui avait fait tilt chez moi. Je ne savais pas exactement ce qui s’était produit à ce moment précis. Mais je le trouvais soudain délicieusement sexy. À un tel point que je ne parvenais plus à détacher mes yeux de lui ! Que m’arrivait-il donc ! C’était un prestataire, un partenaire de la boîte où je travaillais. Je secouais la tête, mais rien n’y fit. Et je le trouvais de plus en plus sexy.
Je me sentis même obligé de prendre ma bouteille d’eau dans la voiture, histoire de me rafraîchir un peu.
Quelques minutes plus tard, nous reprîmes la route. Je ne pouvais plus enlever l’image de ce jeune homme sexy de la tête. J’en arrivais jusqu’à vouloir le voir tout nu. Si seulement nous étions en vacances dans un camp de nudistes, ça serait plus simple… Je m’égarais vraiment ! Il fallait que je me ressaisisse !
Le travail comme occasion de se rapprocher physiquement
Avec Alexandre, le courant passait vraiment. Je découvrais en lui un jeune homme intelligent et cultivé. Sillonner les terrains de Gordes que nous devions visiter était un véritable plaisir. Il avait toujours une petite remarque, une petite anecdote super intéressante à nous raconter. J’étais de plus en plus sous le charme !
J’étais tellement séduite que je commençais à divaguer un peu. J’avais commencé à lui parler un peu de ma vie sexuelle qui était aussi vide que le désert de Gobi ! Je lui avais même fait savoir que ça faisait 8 mois que je n’avais eu aucune relation sexuelle avec qui que ce soit ! Je ne sais pas du tout pourquoi je lui disais tout ça. Mais c’était tout naturel.
Puis, au fil de nos balades, je me mettais à lui effleurer le bras pendant que nous arpentions des chemins escarpés. Et parfois, je lui demandais en toute simplicité de prendre un selfie avec moi. C’était comme si c’était un vieil ami ! Même si, en réalité, je le voulais dans mon lit chaque soir, lorsque je rentrais dans ma chambre où je me sentais désespérément seule.
D’autant plus qu’il n’envoyait pas vraiment de signes de son côté ! Il ne me repoussait pas certes, mais il ne faisait aucun pas vers moi non plus. Cela ne me décourageait toutefois pas. J’étais comme poussée inexorablement vers lui par une force invisible.
Puis, vint ce soir où tout bascula…
De l’audace pour forcer le destin
Un soir, alors qu’on avait pratiquement visité tous les terrains, nous devions finaliser les schémas et les mesures à envoyer à mon boss. Nous nous étions tous les trois, Alexandre, son assistant et moi, dans leur chambre.
Pendant que son assistant s’affairait de son côté, Alexandre et moi étions installés sur son lit pour visionner ensemble chaque fichier. Lui faisait défiler les images pendant que je faisais des remarques et validais ce qui devait l’être.
Pendant ce temps, je profitais de chaque occasion pour lui effleurer de nouveau la peau. Tantôt son bras. Tantôt ses pieds (avec mes pieds bien évidemment). Il avait l’air réceptif. Je continuais donc pendant que nous finalisions le travail. Travail qui semblait interminable… Je commençais à désespérer. Puis je me rappelais que je devrais rejoindre bientôt ma propre chambre !
Quand soudain le tonnerre gronda, me faisant sursauter. J’avais une peur bleue des orages. Dans mon esprit, les idées se bousculaient. Et c’est ainsi qu’une idée de génie me traversa l’esprit ! J’allais profiter de ce moment pour bouder et rester dans la même chambre que ces messieurs ! J’allais passer la nuit avec Alexandre. Advienne que pourra.
Ce ne fut pas difficile de leur faire comprendre que j’allais rester parmi eux pour la soirée ! Je fis mine de me lover contre Alexandre et c’était si agréable. Il était d’ailleurs déjà bientôt minuit. Armand nous fit savoir qu’il allait s’endormir, car nous avions encore à faire pour le lendemain.
Briser la glace en embrassant son collègue amant
De mon côté, j’avais également hâte de m’endormir ! D’ailleurs, nous n’avions pas non plus tardé. Me voilà dans le même lit que Alexandre ! Les lumières étaient maintenant éteintes. Je n’attendis pas longtemps pour le prendre dans mes bras. D’habitude, je n’étais pas si entreprenante, mais c’était plus fort que moi.
Il me fallut patienter quelques bonnes minutes pour que Alexandre se décide à me faire un chaste baiser sur le front. Je me demandai ce qu’il faisait et surtout ce qu’il attendait ! Mais bientôt, il abandonna le baiser sur le front pour m’embrasser goulûment sur la bouche. « C’est parti ! »
J’étais tellement affamée de sexe que je répondis avec un grand enthousiasme à son baiser, en l’accompagnant de caresses osées. En effet, mes bains se baladaient au niveau de ses fesses, puis directement dans son caleçon, pour jauger la bête ! Et quelle bête. Je n’allais pas regretter mon audace d’aujourd’hui !
Un jeune homme qui se révèle TBM
Son sexe était aussi long que dur. Tout en touchant cette verge à la fois douce et fière, j’avais la chatte inondée. J’avais hâte qu’il me pénètre. D’ailleurs, j’allais prendre les devants. Je constatais en effet que Alexandre semblait avoir un pendant pour la lenteur !
Je le fis donc basculer sur moi alors qu’il avait encore son caleçon sur lui ! De mon côté, j’avais déjà réussi à m’extirper de mes vêtements. J’étais déjà en tenue d’Ève. Eh oui ! J’étais vraiment pressée ! Et il avait de quoi ! J’oubliais jusqu’à la présence d’Armand dans le lit d’à côté. Mais je n’en avais cure.
Alors que Alexandre était sur moi, je fis glisser son caleçon, juste assez pour libérer son sexe. J’écartais mes jambes et le guidais sans plus attendre vers le cœur de ma féminité. Je ne pus m’empêcher de crier lorsque toute sa longueur entrait en moi. Si doucement, mais avec une intensité qui me rendait complètement folle.
Je voulais qu’il bouge vigoureusement. D’ailleurs, je n’avais aucun doute sur sa vigueur. À tout juste 28 ans, il devait être habité de toute la fougue de la jeunesse ! Sentant mon impatience, il s’exécuta sans que je n’eusse besoin de demander. Il donna des coups de reins puissants qui me faisaient haleter de plaisir.

Rapidement, j’ai fantasmé sur une possible grosse queue. Je n’ai pas été déçue avec Alexandre
Bien déglinguée par ce bogoss très en forme
Bientôt, les gémissements se transformèrent en véritables cris de plaisir. Je ne pus plus me retenir de crier le plaisir qu’il imprimait en moi. À chaque coup, c’était un pas de plus vers un orgasme qui s’annonçait prodigieux ! Ce n’était plus qu’une question de secondes maintenant. Je maintenais fermement ses fesses contre moi. Je ne parvenais même plus à exprimer aucun mot ni phrase. Ma bouche ne savait que dire des « Oh » et des « Ah » exaltés. Puis soudain, ce fut l’explosion qui me prit par surprise. Ma jouissance s’accompagnait d’un râle de plaisir qui devait être entendu à des kilomètres à la ronde. À ce moment, je ne savais que me délecter de cette volupté qui m’habitait tout entière. J’oubliais encore et toujours qu’il y avait une troisième personne dans la pièce.
D’ailleurs, à peine j’avais joui, que je me dégageais de Alexandre pour le faire allonger sur le dos. Il était temps que je lui donne du plaisir. Il le méritait bien. C’est ainsi que je me retrouvais à lui offrir une fellation bien dégoulinante. Tout en malaxant son sexe de mes doigts, je lapais son membre toujours dur et l’avalait tout entier. Ce fut un véritable exploit. Mais ses gémissements me témoignaient qu’il appréciait cela. D’ailleurs, il se mit à prendre ma tête par la main tout en geignant de plus en plus fort. De mon côté, je le pompais de plus en plus vite. Il avait droit à une bonne délivrance aussi !
Jouir sans complexe à côté d’un deuxième mec
Mais il me surprit en me dégageant soudainement et en me demandant sans aucune gentillesse de me mettre à quatre pattes. Je m’exécutais sur le champ. En quelques secondes, le voilà qui me martelait de derrière. Et voilà que mon orgasme était de nouveau en train de naître. Je n’allais pas durer bien longtemps. Très vite nous avions joui de concert, nos voix se mêlant.
Puis le calme revint et nous entendîmes un bruit provenant du lit d’à côté. Cela émanait du stagiaire, visiblement très excité lui aussi. Nos ébats l’avaient mis ont forme et il se masturbait en nous écoutant. Il avait éjaculé en regardant nos corps s’entremêler. Lui aussi a joui en poussant un râle de plaisir. Nous avons émis un léger rire mon amant et moi, puis nous sommes endormi. Le stagiaire a dû nous suivre aussi rapidement dans les bras de Morphée.
Ce moment était tellement intense. Et ce n’était que le début de l’histoire entre mon jeune amant et moi…
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