Je m’appelle Éric, j’ai 23 ans. Je viens de la banlieue parisienne où j’ai vécu depuis ma tendre enfance. Tout récemment, j’ai quitté le foyer natal pour aller vivre seul à Nice. Là, j’ai décroché mon premier emploi après la fac. J’aurais franchement aimé mieux comme taf, mais de quoi me plaindre ? Je profite de la Côte d’Azur et de son beau soleil, j’ai un boulot qui me permet de vivre décemment et de mettre de côté. Bientôt je j’achèterai une belle sportive et frimerai devant toutes les filles du sud.
Retour aux histoires candaulistes de femmes coquines
🌶️ ️️Offres Produits Érotisme - Sexe et Sensualité : Sextoys, BDSM, Préservatifs, Huiles... (et rendez-vous dans la rubrique PROMOTIONS)
Je suis maître-nageur dans un club assez réputé de Nice. En fait, j’aurais réussi une brillante carrière professionnelle en natation, si mon paternel ne m’avait pas tout le temps sermonné qu’il ne s’agissait pas d’un métier d’avenir. Physiquement, je mesure un bon mètre quatre-vingt pour quatre-vingt-cinq kilos de muscles. La natation et la musculation étaient mes deux amours d’adolescence jusqu’à aujourd’hui. C’est sans doute la seule raison qui fait que je m’accroche tant à ce travail.
Une voisine très bandante, envie de la baiser au premier regard
Par chance, j’ai pu louer une petite villa pour pas grand chose à un couple qui en avait marre de la vie niçoise. Ces personnes souhaitaient se retirer dans les Pyrénées. Je n’ai vraiment pas à me plaindre de cette maison : Elle me suffit largement, bien qu’elle ne soit pas aussi spacieuse que ce que l’on peut imaginer.
Mes voisins directs sont un couple qui a un garçon de 10 ans. Le père s’appelait… je ne sais plus qui, le gamin, non plus, je ne me rappelle pas de son nom. Quant à la mère, elle se nommait Samantha. De la mère, je m’en souviens bien.
C’était une Américaine qui a épousé un français, Patrick (je me rappelle enfin de son nom). Le couple vit en France depuis plus 5 ans, mais Samantha a gardé son accent si sexy lorsqu’elle parlait français. Elle n’était pas très grande, à peine un mètre soixante.
Elle avait 30 ans, une taille fine qu’elle souhaitait préserver le plus longtemps possible, des hanches bien féminines, une poitrine généreuse et une de ces paire de fesses ! Mon Dieu ! Comment peut-on avoir des fesses aussi parfaites ? Quand on la voit, on dirait un peu Kylie Minogue, avec un cul plus conséquent.
Établir le contact avec cette bombe qui m’excite
Je me souviendrai jusqu’à ma mort du premier jour où j’avais vu cette créature. Je venais d’emménager dans ma nouvelle villa et je nettoyais la cour à l’arrière. Vu que la chaleur tapait un peu trop à la tête ce jour-là, j’ai décidé d’effectuer mes tâches en étant torse nu. Je ne suis pas d’humeur vantard, mais mon torse et mes abdos sont loin d’être dégueulasses. Et elle, un look très girl next door, si vous voyez ce que je veux dire.

Au premier regard, j’ai eu des envies charnelles avec cette mère de famille aux airs de jeunette
M’attelant au nettoyage de la pelouse, une voix féminine m’appela depuis la haie des voisins. C’était Samantha. Une haie végétale d’à peine un mètre séparait nos deux propriétés.
« Tu sais que c’est interdit d’exciter les voisines en se dénudant dans notre quartier ? »
me lança-t-elle, en rigolant. Sa remarque était celle d’une femme sûr d’elle, qui ose chauffer un mec quand il lui plaît.
Aussitôt je rougis de honte et de joie suite à sa flatterie. Puis je saisis aussi vite que j’ai pu mon T-shirt.
- « T’es la fille des voisins, c’est ça ? », lui demandai-je.
- « Si tu veux », répondit-elle en continuant à rire.
Elle était tellement belle, les cheveux blonds, longs et lisses. Elle portait un short en jean blanc qui moulait son cul à la perfection. En haut elle avait un débardeur rose qui dessinait également bien la forme de ses seins. Mais moi, déjà, je l’imaginais à poil.
Sans même me demander mon nom, elle quitta les lieux, me laissant comme un con sur ma pelouse pas encore nettoyée.
En attendant de la séduire, je me tape des queues en pensant à elle
Tout le reste de l’après-midi, j’ai passé le plus clair de mon temps à penser à cette demoiselle à l’accent américain. « Elle et ses parents ne doivent pas être de la région », « la chance que j’ai d’avoir bientôt une petite amie anglaise ou américaine », « elle doit être bonne sous son air de petite cochonne en short » … Je vous avoue que le seul fait de penser à elle me faisait bander comme un âne.
Le soir même, alors que je me préparais à visionner du contenu porno sur Pornhub et à m’astiquer le matos tout en repensant à la belle Samantha, on sonna à ma porte. Une visite si tardive, qui cela pouvait être, à part un évadé de prison qui risquerait de violer un homme habitant seul ?
Sur mes gardes, j’ouvris délicatement la porte, tel un enfant apeuré demandant qui sonne à la porte. À cet instant, je vis trois visages tout souriants : Samantha, son petit frère, sûrement, et son père qui était relativement jeune.
Fantasmer sur une femme mariée et mère, donc inaccessible
Lorsque les trois se sont présentés, j’ai failli m’évanouir sous le choc de la nouvelle. Il s’agissait de Patrick, son mari, et de Thomas leur fils de 10 ans. Je ne prétends pas être le plus beau gosse de France, mais franchement, comment est-ce que ce gars a pu choper une fille pareille ? Pas de muscles, pas non plus beau gosse… Peut-être multi millionaire, ou grosse bite dans le pantalon ? Au vu de son accoutrement, il n’était pas très riche. C’était donc, sûrement, la seconde option.
En enfant bien éduqué, j’invitai la petite famille à entrer chez moi. Néanmoins, ils venaient uniquement me souhaiter la bienvenue dans le quartier. Pour l’occasion ils m’ont préparé une belle quiche qui me fait encore saliver rien qu’en y repensant. La Samantha était sacrément une bonne cuisinière… mariée… et mère d’un gosse de 10 ans !
Je me suis mis à me morfondre dans mon lit toute la soirée en pensant à cette bombasse qui était mariée. Je m’étais fait des films toute la journée sur elle… Jamais je ne la baiserai.
Un évènement banal qui occasionne un rapprochement
Le lendemain matin, j’entendis sa voix féminine hurler depuis chez eux. J’ai accouru en défonçant quasiment la porte pour voir ce qui se passait. Je la vis en nuisette sexy, les seins visibles sous le tissu transparent, avec un tanga en dentelle sexy. Elle montait sur une chaise en criant à tue-tête. En fait, un rat se baladait dans la cuisine.
J’ai également hurlé comme un malade et je suis directement monté sur le plan de travail. Si vous aviez vu la taille du rat, même un chat prendrait ses jambes à son cou. Au-delà de notre peur, nous avons rigolé comme des enfants en voyant notre état. J’ai décidé d’appeler les services de traitement des animaux nuisibles. Ils arrivèrent rapidement.
Pour la rassurer, j’ai invité Samantha chez moi, le temps qu’ils débarrassent sa maison de la vermine géante. On a discuté longuement et elle me fit plusieurs révélations. D’abord, son mari était chef cuisinier dans un hôtel à une heure de chez nous. C’est la raison pour laquelle on le voyait rarement. J’ai immédiatement compris qui avait fait la quiche de mes rêves et pourquoi elle créait un orgasme culinaire pareil.
Faire connaissance plus intimement sur le sofa
Samantha était directe et très taquine lorsqu’elle parlait. Elle tenait sûrement cela de son côté américain.
- « On dit que les beaux gosses européens sont nuls au lit », me lança-t-elle tout en rigolant.
- « Pas du tout, enlève tes fringues que je te montre », répliquai-je tout en rigolant également.
- « Monsieur se met sur la défensive ? Je ne t’ai jamais traité de beau gosse, pourtant », répondit-elle.
Je ne trouvais rien à répondre, elle m’a bien eu.
« D’accord, t’es un poil beau gosse et mignon à croquer. Peut-être qu’un de ces quatre, tu me prouveras réellement que les beaux gosses savent faire plaisir aux dames sur ce continent », continua-t-elle en me clignant des yeux.
Elle est immédiatement redevenue la Samantha de mes rêves. En un instant, j’ai fait abstraction de Patrick et de Thomas, tellement j’étais aux anges.
Taquineries sexuelles explicites… À 2 doigts de se sauter dessus
J’ai également joué le jeu de la taquinerie en lui lançant à mon tour une vanne pourrie : « Je ne sais pas si ça m’intéresse réellement. On dit que les belles Américaines, après leur premier enfant, sont moins chaude au lit », lui lançai-je tout en rigolant.
- « Si t’as un asticot entre les jambes, c’est sûr que je ne vais pas mouiller grand chose », répondit-elle tout en riant aux éclats.
- « Par contre, tu ne verras jamais une aussi belle paire de seins dans toute l’Europe », dit-elle en dévoilant légèrement un bout de ses tétons, tout en parcourant le galbe de ses seins.
Je me suis levé, approché d’elle, pris sa main et la dirigeai vers mon pantalon. Je lui ai fait sentir mon sexe complètement en érection.
« T’inquiète, ce que t’as entre les mains est loin d’être un asticot », concluai-je.
Elle me fit signe de me pencher pour me murmurer à l’oreille, tout en la mordillant :
- « Bon, ben, à une prochaine, l’Européen prétentieux ».
- « À plus, l’Américaine… l’Américaine », dis-je maladroitement sans trouver de qualificatif taquin à lui lancer.
Les exterminateurs de rat avaient fini leur boulot, et Samantha a pu rejoindre sa maison, me laissant seul avec mon braquemard et tout excité.
Peu à attendre avant d’enfin pouvoir la niquer
Le même jour, l’après-midi, alors que je me détendais tranquillement en repensant à cette matinée mouvementée, on sonna à ma porte. C’était Samantha. Elle était vêtue d’un long peignoir.
- « Quoi ? Le rat a maintenant squatté ta salle de bain ? », lui demandai-je.
- « Je m’habille comme je veux, où je veux », me répondit-elle d’un ton insolent et aguicheur tout en rentrant dans la maison. « Patrick ne rentre que demain matin et Thomas reste dormir chez son copain ce soir. Du coup, t’es à moi », fit-elle sur un ton autoritairement sexy.
Sur ces mots, elle ouvrit son peignoir et présenta devant mes yeux ébahis un superbe corps enveloppé dans une fine, mais alors, très fine lingerie en soie. Elle portait un soutien-gorge dont qui magnifiait sa poitrine. Son string blanc était tellement transparent que j’entrapercevais son joli minou américain. Les femmes comme elle ne sont pas aussi prudes qu’on le pense. Les Américaines sont des baiseuses, comme les Françaises.
Je ne pouvais plus me retenir. J’accourus vers elle pour l’embrasser de toutes mes forces tout en agrippant son corps et ses seins pour bien vérifier que c’était réel et non un mirage. Elle émettait un léger cri de plaisir lorsque j’embrassais son cou et que ma main se baladait vers son entre-jambes.
Une voisine MILF comme Plan Cul Régulier
La première pièce la plus proche de nous était le salon. Elle me jeta sur le canapé, puis retira sauvagement mon pantalon. Sans se faire prier, elle empoigna mon sexe, avant de commencer à le sucer, à le lécher et à le sucer encore. Mais comment s’y prend-elle ?

Samantha a pris mon chibre en bouche sans que je n’ai à lui demander
Après un long moment de sexe oral mutuel, elle décida de s’assoir sur mon sexe. Je sentis la chaleur de sa chatte tout dégoulinante avec l’excitation. En me chevauchant, elle était comme un cow-boy sur un taureau de rodéo. Elle montait, descendait, se déhanchait… bref, si elle continuait comme cela, elle allait me faire cracher la purée en 30 secondes.
Elle aimait particulièrement quand c’était brutal et un peu sauvage. Le fait de lui tirer les cheveux, de pincer ses tétons ou de lui doigter le cul tout en la pénétrant lui apportait un intense plaisir. Dans ce moment fougueux, je sentit qu’elle obtint plusieurs orgasmes.
J’avais découvert une sexfriend parfaite et j’étais son amant idéal. Depuis cette première fois, elle venait souvent me rendre une « visite de courtoisie ». C’était lorsqu’on avait du temps libre, pendant que son cher Patrick était au fourneau, et que Thomas jouait chez ses amis…
Un collègue avec qui le courant passe vraiment bien

Pause sauvage et intense sur une aire d’autoroute

Plaisir égoïste avec mon sybian
