Seule chez moi, je m’essaie Camgirl pour passer le temps et gagner des sous

J’ai toujours aimé le sexe, et je ne m’en cache pas. Je n’en ai pas honte, et je le vis très bien, merci beaucoup. Ceux et celles qui me traitent de salope ont le droit de penser ce qu’ils veulent, nous sommes dans un pays libre. De mon côté, je pense que ce sont des tristes, des frustrés, qui ont oublié de vivre. On se méprise mutuellement, quelque part, cela crée un lien !

Retour aux histoires de femmes coquines

La liberté d’exprimer ma vraie nature de femme

Je ne dis pas que ceux qui ont une vie sexuelle moins active que moi sont tous tristes, non, je dis juste qu’une personne qui se sent bien dans sa peau à autre chose à faire que de me juger. Est-ce que je critique ceux qui passent leur journée scotchés à leur téléphone ? Ou celles qui ne peuvent sortir en ville sans une tonne de maquillage ? Bien sûr que non ! Si ça leur fait plaisir, tant mieux pour eux !

Cependant, je n’ai pas toujours été aussi sûre de moi et bien dans ma peau. C’est d’ailleurs bien pour ça que je me permets d’être aussi virulente. Quand j’étais étudiante, j’en ai bavé.

Addict au sexe depuis l’époque étudiante

Avant de continuer la lecture... Dites-nous si la situation de ces personnes vous plaît.

J’avais envie de me faire plaisir, et c’est exactement ce que j’ai fait. J’ai couché avec d’autres étudiants, garçons et filles, avec des profs… Avec tous ceux qui acceptaient de partager un moment avec moi. J’étais heureuse, je me sentais bien, mais cela m’a vite causé des problèmes. J’ai dû consulter plusieurs psychologues afin de ne pas être renvoyée, et on m’a obligé à freiner mes ardeurs, comme ils disaient.

J’ai cru que je n’étais pas normale, pas comme il faut, et j’ai eu une période difficile. On m’a diagnostiqué une nymphomanie chronique, et on m’a présenté cela comme une maladie grave. Quelque chose qui m’empêchait de vivre normalement. J’ai été persuadée que j’étais malade, et que je ne pourrais pas profiter de la vie. Si je réfrénais mes pulsions, je me sentais frustrée, malheureuse. Si je me faisais plaisir, j’avais l’impression d’être une paria, une junkie bonne à rien.

Puis j’ai couché avec l’un de mes psychologues. Puis avec un autre. Je me suis rendu compte alors de l’hypocrisie générale. Qui étaient-ils pour décider qu’aimer le sexe étaient une maladie ? Si le plaisir de la chair était si mauvais à la santé, pourquoi avaient-ils tous envie de s’amuser entre mes cuisses ?

Après avoir taillé une pipe au directeur de la fac, celui-là même qui m’avait menacé d’exclusion, j’ai décidé de ne plus faire attention aux autres. Depuis, je vis très bien ma vie. J’ai un bon boulot ; des amis, un crédit immobilier que je paie en temps et en heure… Et une vie sexuelle active et plaisante !

Un besoin permanent et irrépressible de jouir, en réel ou sur Internet

Le problème de ma nymphomanie, c’est qu’il m’est insupportable de rester seule trop longtemps. Je peux tenir un jour ou deux, j’ai appris à me contrôler, mais au bout de trois quatre jours, je commence à ne pas me sentir bien.

Mes amies croient que j’exagère, mais ce n’est pas le cas. Si je reste plusieurs jours sans sexe, je ressens un manque, aussi bien physique que psychologique. Ce n’est pas invivable non plus, cela n’a rien à voir avec ceux qui essaient d’arrêter les drogues dures, mais c’est indéniable.

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La masturbation aide pour le côté physique, même si ce n’est pas la même chose. Un orgasme est un orgasme, et si je préfère que quelqu’un d’autre me le donne, cela ne me gêne pas de me débrouiller toute seule. Je suis une grande fille, je n’ai besoin de personne.

C’est au niveau psychologique que c’est le plus difficile. Je ne saurais expliquer pourquoi, mais si je ne partage pas mon plaisir sexuel, ce n’est pas la même chose. La satisfaction n’est pas la même, il y a toujours ce manque qui n’est pas comblé. C’est un peu comme manger du pain lorsque le corps réclame du chocolat : c’est mieux que rien, on a moins faim, mais le besoin réel est toujours là.

Satané confinement qui me contraint au sexe virtuel

Ca fait maintenant douze jours que je suis seule chez moi, et je n’en peux plus.

Une fille chaude comme moi a du mal à rester sans rien faire
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Je pourrai ne pas respecter les règles et inviter des gens chez moi, je connais des dizaines de mecs qui n’auraient aucun problème à venir ici. Pour eux, le sexe, c’est une nécessité plus importante que la nourriture. Confinement ou pas, ils n’hésiteraient pas à venir.

Mais je ne veux pas faire ça, j’ai bien trop peur. Je ne suis pas paranoïaque, mais je fais attention. Si j’ai réussi à avoir des centaines de partenaires différents sans contracter la moindre maladie, c’est parce que je ne fais jamais d’exception. Jamais. Il n’y a pas de « tu peux avoir confiance en moi », et même complètement bourrée, je n’oublie jamais le préservatif.

Et j’applique la même méthode en ce moment. Je ne suis pas médecin, je n’y connais rien en virus et en pandémie, mais si les spécialistes disent d’éviter les contacts, c’est ce que je fais. Je préfère en chier maintenant pendant quelques semaines, plutôt que de le regretter pendant des années.

Mais c’est dur. Presque deux semaines sans sexe, je sens que je vais exploser.

Solution : Proposer du sexe en ligne en étant camgirl

Une amie m’a donnée une solution hier. Si le sexe me manque tant, et que j’ai envie de partager, pourquoi ne pas offrir du sexe en ligne ?

« Hein ? C’est quoi ça ?

  • Me dis pas que tu n’as jamais entendu parlé de sexe en ligne !
  • Bah si, Tinder et tout ça je connais, mais comment tu fais pour rencontrer les mecs après ?
  • Non, je parle pas de sites de rencontre, je parle de sexe en ligne ! »

Elle m’expliqua alors tout ce qu’il y a à savoir sur le sexe en cam, et cela me parut la meilleure idée du siècle. Me faire plaisir pendant que d’autres gens m’observent ?  Pouvoir les voir se masturber aussi ? Et en plus, avoir la possibilité de gagner un peu d’argent de poche ?

J’ai immédiatement été convaincue, et c’est pour cela que j’ai passé ma journée à me faire un profil sur un site. Ils promettent de me mettre en contact avec des milliers d’hommes et de femmes cherchant la même chose que moi. Je ne crois pas aux annonces marketing, mais je dois avouer que ça me fait rêver.

Cela a pris beaucoup plus de temps que prévu de pouvoir commencer à utiliser le site. Ils ne plaisantent pas avec la vérification d’âge et d’identité, c’est autre chose que les réseaux sociaux qui t’envoient un SMS et un mail. Mais après plusieurs heures d’échange avec les différents départements du site, tout est enfin en règle.

Je peux enfin commencer avec le sexe en ligne.

On s’habitue rapidement au fonctionnement des sites de cam

Je dirais que ma première soirée en ligne a été mitigée. Un peu comme lors de ma première fois dans la vraie vie, je sens que cela me plaît et que c’est fait pour moi, mais je me rends bien compte que je n’y comprends pas grand-chose et que j’ai tout à apprendre.

Ce qui est super positif, c’est qu’effectivement, j’ai été mise en contact avec des dizaines d’hommes et de femmes qui voulaient la même chose que moi : Du sexe. Tout se passe sur ordinateur, avec une webcam et un microphone. Ce n’est pas aussi bien que le réel en chair et en os, mais c’est plaisant. Clairement, c’est ce qu’il me faut en ce moment. Si le contact physique est interdit pour encore quelques semaines, le sexe virtuel va devenir ma nouvelle passion.

Le point négatif, c’est que c’est super compliqué. Entre les dizaines de messages simultanés dans trois langues différentes que je ne connais pas, les 50 000 options offertes par le site auxquelles je ne comprends rien, et les différents sonneries, notifications et bonus qui apparaissent toutes les trente secondes, je me sens stressée. Et cela m’énerve, car pour moi le sexe c’est synonyme de plaisir, pas de stress !

Montrer mon corps pour gagner des sous, cela ne me gêne pas
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Il faut que j’en discute avec mon amie. C’est elle la spécialiste du sexe en ligne, elle doit pouvoir m’expliquer comment ça fonctionne.

C’est qui la boss du tchat vidéo sexy maintenant ?

Elle m’a donné un cours en accéléré, et j’ai pu commencer à en profiter. Je ne sais toujours pas comment gérer les dizaines de personnes qui me parlent en même temps, et je ne comprends pas les messages envoyés dans une langue autre que le français ou l’anglais. Mais j’ai réussi à mettre en pause toutes les notifications et sonneries qui me stressaient hier.

Quant aux options, il paraît qu’elles aident à avoir plus de monde qui vient me voir et me permettent d’obtenir plus de crédits. Cela ne m’intéresse pas, je ne fais pas ça pour gagner de l’argent, je veux juste satisfaire mes besoins de sexe. Et avoir plus de trafic comme ils disent, franchement pour l’instant cela ne m’intéresse pas. J’ai déjà trop de messages !

Je me fais plaisir sur ce site. Je pensais n’y entrer que le soir, mais je commence à me dire que je vais y aller bien plus souvent. Pourquoi me masturber toute seule dans mon coin, si je peux le faire avec des dizaines, voire des centaines de personnes en tant que camgirl ?

Moi qui avais besoin de partager mon plaisir avec d’autres, je suis plus que ravie ! Pour une nymphomane comme moi, c’est sans conteste la meilleure invention du monde !

Alors bien sûr, ce n’est pas la même chose que la vie réelle, mais depuis que je me suis mise aux webcam sexe, le temps passe plus vite. Le Président vient d’annoncer que nous allons tous devoir rester à la maison pendant plus longtemps qu’initialement prévu. Ce n’est pas grave, cela ne me dérange plus d’être seule à la maison.

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