Mon mari, mon esclave sexuel

Cela fait 2 ans que Tony et moi sommes mariés. Nous nous sommes rencontrés dans une soirée organisée à la fac. Ce fut immédiatement le coup de foudre. Depuis, nous voilà unis à jamais par les liens sacrés du mariage. Au début, aucun de nous n’imaginait que j’aimais dominer les hommes comme s’ils étaient des animaux. Ni que lui adorait se faire maltraiter et violenter comme un esclave. Tony et moi sommes particulièrement épanouis d’un point de vue de notre sexualité : Aucun tabou ni de limites dans nos jeux sexuels. Sans doute est-ce cela qui éveilla cet engouement pour les jeux de rôle de dominatrice/dominé chez nous.

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Cela démarra un vendredi soir. Tony et moi étions tous les deux éreintés par la longue semaine que l’on venait de passer. Désormais, c’était le week-end et nous voulions un peu profiter de chaque moment pour passer du bon temps entre nous.

Il était bien tard, un peu moins de minuit. On venait de terminer un film que j’avais moyennement apprécié. Genre science-fiction que Tony aimait particulièrement. Étendus dans notre canapé, moi vautrée dans ses bras et lui sirotant une bière, nous nous demandions ce que nous allions pouvoir faire par la suite.

Par le plus pur des hasards, j’ai zappé sur la télé et nous tombâmes sur un film porno où une femme dominait un homme tel un animal. Elle le tenait avec une laisse, lui ordonnait de lui lécher le cul. Puis la femme le sodomisait avec un gode-ceinture tout en le masturbant vivement jusqu’à ce qu’il éjacule comme un beau diable sur ses beaux seins bien ronds. Cerise sur le gâteau, elle le tira par les cheveux pour lui faire lécher son propre jus. Le foutre dégoulinait sur le corset en cuir et sur les seins de la Domina.

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Un goût insoupçonné de mon mari pour la soumission

Ce qui m’a interpellé, c’était le fait que Tony bandait comme un malade en voyant cette scène. Je voyais dans ses yeux une envie irrésistible de subir le même sort. De mon côté, j’aurais donné n’importe quoi pour essayer ce truc. Ne serait-ce qu’une fois sur un homme, sur mon mari.

Lorsque nous nous étions couchés après cette séance de film porno inattendue, une baise torride s’ensuivit. Tony et moi avions discuté de la scène que nous avions vue. Il m’avait fait part du fait que la pratique de la domination attisait sa curiosité. Je lui ai également avoué que j’aimerais bien me mettre dans la peau d’une dominatrice de temps en temps.

Nous avons donc convenu que pour pimenter notre couple, nous allions nous adonner à ce jeu de rôle par moment.

Nos premières mises en scène BDSM

Comme envisagé, nous avions osé tester cette nouvelle expérience. Pour cela, nous avions fait le plein de jouets sexuels. Parmi eux, notamment les déguisements de policière, d’infirmière, de Catwoman, et bien d’autres accoutrements super sexy. Il ne fallait pas non plus oublier les lubrifiants et les godes, ainsi que les menottes, fouets et laisses. Nous avions tout prévu pour que nous puissions nous défouler au maximum.

Dès que nous étions seuls à la maison, j’exigeais que Tony soit complètement nu. C’était mon premier caprice en tant que dominatrice. Il devait également accourir vers moi chaque fois que je faisais sonner une petite cloche, en montrant sa langue.

Lorsque j’avais faim de sexe, je le préparais avant que nous ne fassions l’amour. Je lui enfonçais un doigt, puis un petit plug anal dans le cul. Puis je luis faisais porter un string en cuir, dont la face avant disposait d’un orifice pour faire sortir son sexe.

De mon côté, je me déguisais en qui je voulais. Quelle que soit la tenue que je portais, je voyais dans les yeux de Tony une petite expression me suppliant de faire de lui tout ce que je voulais. Je lui ordonnais, donc, de se mettre à quatre pattes. Je plaçais une laisse autour de son cou pour faire mine de le promener dans toute la maison. Comme un bon toutou !

Punitions sévères pour mon mari asservi

À chaque fois qu’il faisait une bêtise ou qu’il ne suivait mes instructions à la lettre, je lui enfonçais dans le cul un objet de plus en plus imposant. Parfois, il avait même du mal à marcher, tellement il avait été désobéissant la veille.

Par contre, lorsqu’il se tenait bien et qu’il faisait parfaitement tout ce que je lui ordonnais, il obtenait de ma part une belle récompense. Il pouvait me bouffer la chatte et le cul avec sa belle langue et il était même autorisé à m’enculer.

Pendant plusieurs semaines, nous nous sommes amusés à faire les fous. D’ailleurs, Tony aimait de plus en plus cette sensation d’humiliation et sa place d’esclave sexuel. J’appréciais de plus en plus jouer la dominatrice.

Des pratiques en couple de plus en plus poussées

Plus tard, nous commencions à repousser les limites de notre jeu de domination bien au-delà de nos parties de jambes en l’air. En effet, dès que nous ne sortions pas de chez nous, j’exigeais qu’il devienne mon doux esclave sexuel. Je l’obligeais alors à se dénuder complètement, tout en lui faisant garder sa laisse autour du cou.

En tant que bonne Maîtresse de mon animal de compagnie, je l’emmenais souvent prendre son bain. Sous la douche, il se mettait à quatre pattes, écartant ses jambes, la queue bien droite. Mes mains remplies de savon allaient lui frotter le sexe pour le masturber. Je lui interdisais formellement d’éjaculer sous peine de recevoir un châtiment exemplaire.

À vrai dire, je faisais tout pour l’exciter au plus haut point. Je me mettais toute nue, plaquant mes seins contre son visage et lui ordonnant de les sucer. Pendant ce temps, ma main continuait d’astiquer sa queue. Je me plaçais ensuite derrière lui pour pénétrer son cul avec mes doigts. Cela lui plaisait visiblement beaucoup, à un tel point qu’il avait failli ne pas pouvoir se retenir d’éjaculer.

Je savais qu’il était presque à bout. Je continuais à le caresser davantage tout en léchant ses couilles.  En accélérant le mouvement de ma main autour de son pénis, il ne pouvait plus s’empêcher de gicler. Là, une bonne dose de jus jaillit sous la douche.

« Tu m’as encore désobéi ? », le questionnai-je tout en le giflant délicatement. « Oui, madame », me répondit-il d’un air soumis et impatient de connaitre ce que je lui réservais.

Encager son pénis pour le faire souffrir

Je l’ai alors trainé de la salle de bain jusqu’à notre chambre. Puis, en farfouillant dans notre tiroir à bidules sexuels, j’ai sorti un petit dispositif qui servait à « emprisonner » le pénis fermement et à l’empêcher de bander. Il aurait alors le sexe confiné dans une sorte d’étui en cuir qui était verrouillé. J’ai installé le dispositif sur son sexe, puis je l’ai fermé à clé. « Pour ta peine, tu porteras ce machin durant toute la journée », lui dis-je.

Ce dispositif était conçu pour les sadomasochistes. Il provoquait une légère douleur au niveau du pénis lorsque ce dernier venait en érection, tout en étant bloqué dans ce petit espace. Plus le sexe bandait, plus la douleur était vive. Il ne me restait plus qu’à exciter Tony pour le voir bander.

Quoi de mieux que de l’attacher, pieds et poings écartés contre le mur de notre chambre, pendant que je m’amusais devant lui ? Je suis passée dans la pièce d’à côté pour enfiler un costume d’Harley Quinn. Une fois en tenue, je lui ai fait un beau striptease pour l’exciter. Je revenais souvent vers lui pour mettre une petite tape sur son sexe. Juste pour rajouter un petit degré de douleur supplémentaire…

Ce délire sado-maso nous a beaucoup plu, tout comme ma tenue de Harley Quinn domina

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Pour couronner le tout, je m’étais étendue, complètement nue sur notre lit, puis je me suis mise à me masturber au moyen de différents outils sous ses yeux. Le bel orgasme que je lui laissais entendre en gémissant de vive voix montrait que je prenais un réel plaisir lors de cette séance de torture… pour lui.

Il était temps de le libérer de ses étreintes, mais pas son sexe qui était puni jusqu’au soir.

  • « Ça fait mal ?, lui demandai-je d’un ton pervers.
  • Un peu, mais j’aime ça », me répondit-il d’une voix faible.
  • Bonne réponse », concluai-je.

Un scénario où 3 femmes malmènent un homme soumis

Pour pousser le vice encore plus loin, Tony et moi décidâmes d’expérimenter la pratique de la domination/soumission à plusieurs. Toutefois, il était hors de question pour moi qu’un homme ne vienne jouer les dominateurs au sein de notre couple ; Nous avions convenu de chercher un couple lesbien sur les sites de rencontre.

Il ne fallait pas chercher longtemps pour dénicher deux femmes, Anaïs et Eugénie, un couple lesbien qui aimait jouer les dominatrices avec les hommes. À la vue de leur profil, Tony était plus excité que jamais et impatient de les rencontrer.

Nous les avions invitées chez nous. Les deux femmes étaient belles et sexy, et également courtoises. J’ai parlé la première avec elles pour briser la glace, tandis que Tony attendait déjà dans la pièce d’à côté, tout nu et avec sa laisse.

Je l’ai ensuite appelé en faisant résonner ma petite cloche. Il entra dans le salon, les mains cachant son sexe qui commençait déjà à bander. Je lui ai ordonné de retirer ses mains pour que les convives puissent admirer le fabuleux mâle qu’il était. Je pouvais voir dans leurs yeux un objet sexuel grandeur nature avec lequel elles pourraient s’amuser sans limites.

Ensuite j’ai ordonné à Tony de mettre les dames à l’aise en les déshabillant pendant que je me changeais également. Il s’exécuta en premier auprès d’Anaïs qui portait une chemise qu’il déboutonna en une fraction de seconde et une mini-jupe qu’il retira rapidement. Pour le cas d’Eugénie, c’était plus compliqué. Son jean slim lui collait quasiment à la peau, à un tel point que lorsque Tony le retira, il avait failli arracher son string en cuir avec.

Dilatation totale du cul de mon conjoint

Quand il eut fini de les déshabiller entièrement, il était temps de commencer la fête. Je me ramenai avec plusieurs godes de différentes tailles et un lubrifiant efficace. Vu qu’il y aurait plus de chattes que de queues, du renfort était nécessaire.

Nous avons réduit mon mari soumis au rang de moins que rien durant cette soirée

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J’ordonnais à Tony de doigter simultanément les deux jeunes femmes tout en leur léchant l’entre-jambe à tour de rôle. Cela, pendant que je lui suçais allègrement le sexe. Anaïs et Eugénie prirent leur pied, puis ordonnèrent à Tony de leur enfoncer les jouets en plastique dans la chatte tout en faisant des mouvements de va-et-vient avec.

Je lui ai immédiatement dit qu’il s’y prenait mal et que les invitées risquent d’être déçues de sa prestation. J’ai alors enfilé la ceinture munie d’un gode pour lui enfoncer gentiment l’engin dans le cul. « Désormais, tu vas suivre mes mouvements, esclave », lui dis-je d’un ton autoritaire tout en faisant pénétrer délicatement l’objet dans son anus.

À tour de rôle, nous avions ordonné à Tony de nous bouffer la chatte et le cul, de nous pénétrer tout en se retenant d’éjaculer, et nous avions joué avec son cul comme s’il s’agissait d’un vulgaire trou. Tous les quatre avions adoré cette partie de baise et nous nous sommes promis de recommencer cette expérience. De notre côté, Tony et moi continuons de nous épanouir dans notre relation de couple grâce à nos pratiques insolites et un peu folles.

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