L’hôtel du vice au Mexique

Pour nos dix ans de mariage, nous avions décidé de nous offrir une seconde lune de miel histoire de passer un peu de temps ensemble, juste nous deux, histoire de se retrouver comme disent les magazines féminins. C’est vrai que nous étions tombés dans une espèce de routine : entre le boulot, les amis, et toutes les activités, nous n’avions plus vraiment de temps pour nous.

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Quoi de mieux que de se retrouver à deux dans un endroit de rêve pour ressouder sa relation maritale ? Un lieu magnifique comme la côte mexicaine nous offre l’environnement d’apaisement dont avons besoin.

Un décor idyllique pour se retrouver entre amoureux

On ne peut pas dire que notre couple battait de l’aile, non pas du tout : je l’aimais tout autant qu’au premier jour, et je n’avais aucun doute qu’il ressentait la même chose ! C’est juste que le train-train du quotidien avait pris le dessus sur la passion. Les habitudes et la routine avaient remplacé les aventures et les coups de folie.

Ces deux semaines au Mexique semblaient donc idéales pour pouvoir de nouveau mettre un peu de piment dans notre vie de couple. Sylvain avait trouvé un hôtel réservé aux adultes, où la nudité est autorisée et la tranquillité est assurée, et nous étions tous les deux vraiment excités à l’idée de passer deux semaines au soleil, nus, ensemble, sans aucuns soucis. Et dans le total anonymat.

Petit coup de chaud

Dès notre arrivée à l’hôtel, nous avons su que nous avions fait le bon choix : jardin luxuriant, bâtiments magnifiques, personnel aimable… et en plus, nous avions été surclassés ; Un bungalow privatif avec vue sur la mer nous attendait ! Vraiment, ces vacances promettaient d’être parfaites.

Vacances pleines de vice au Mexique
Vacances pleines de vice au Mexique

Nous nous étions à peine installés lorsque la climatisation rendit l’âme. En à peine 10 minutes, il faisait plus de 30 degrés dans la chambre et nous transpirions à grosses gouttes. La réception nous promit de remédier rapidement à ce problème et nous dit qu’Armando viendrait réparer l’appareil.

Sylvain n’avait pas envie d’attendre dans la chambre sans rien faire, et décida d’aller faire un tour dans les jardins et vérifier si la piscine de l’hôtel était aussi impressionnante que sur les photos. J’imagine que c’est aussi pour aller mater les femmes à poitrine généreuse en bikini, voire topless. Même si mon corps est difficilement critiquable, c’est peut-être au niveau de ma poitrine que ça pourrait être un peu plus gros.

De mon côté, je me sentais fatiguée du voyage et la chaleur était étouffante, je décidais de rester tranquillement dans la chambre pour me reposer.

Faire connaissance avec le personnel de l’hôtel

Mon mari n’était pas sorti depuis deux minutes, que déjà quelqu’un frappait à la porte. C’est ainsi que je fis la connaissance d’Armando, de la maintenance. Il devait avoir une bonne dizaine d’années de moins que moi, semblant à peine sorti de l’adolescence, mais son corps musclé et son sourire étincelant m’ont séduit immédiatement. Sa belle peau bronzée et son accent latino ne faisaient que rajouter à son charme, et je le regardais hypnotisée tandis qu’il commençait à démonter la climatisation.

Clairement, je ne pouvais pas rester tranquillement à me reposer sur le lit pendant qu’il travaillait dans la chambre, je savais que je ne pourrais pas me retenir. J’ai donc décidé d’aller prendre une douche pour me rafraichir et me changer les idées. Une bonne douche froide, rien de tel pour lutter contre la chaleur tropicale et éteindre ce brasier qui commençait à prendre dans mon bas-ventre.

Je savourais le jet puissant de la douche lorsque tout à coup un violent bruit métallique et une série de jurons en espagnols me ramenèrent à la réalité. Je sortais en courant de la salle de bains pour voir Armando les bras levés, tenant l’appareil de climatisation qui s’était détaché de la paroi et ne tenait plus que par un câble.

Nue et ruisselante face à cet inconnu

Il me regardait sans un mot, et je réalisais alors que je me tenais nue devant lui, encore toute mouillée après être sortie de la douche sans prendre le temps de me sécher. Ses yeux me disaient qu’il appréciait ce qu’il voyait, et un rapide coup d’œil à son pantalon me confirmait que mon corps nu et humide ne le laissait pas de marbre.

Je ne sais pas ce qui m’a pris, je n’ai pas pensé à ce moment-là. Voir ce bel hispanique me regarder avec désir, savoir qu’il ne pouvait pas bouger sans laisser tomber cette fichue clim et détruire une bonne partie du mur… cela m’a donné une idée.

Sans un mot, je me suis approchée de lui. Mon visage tout près du sien, mes lèvres effleurant les siennes, je commençais à ouvrir sa braguette et à lui ôter son pantalon, puis son boxer. Je m’agenouillais alors et me retrouvais face à face avec son beau membre dressé. Son gros gland pénétra ma bouche sans hésitation, et ma langue eut tôt fait de le faire jouir.

Je succombe rapidement à l'envie de pomper cette belle queue
Je succombe rapidement à l’envie de pomper cette belle queue

Puis, toujours sans un mot, je le rhabillais et l’aidais à remettre en place l’appareil, avant de retourner dans la salle de bains pour finir ma douche.

Lorsque Sylvain revint dans la chambre, Armando terminait de réparer la climatisation. Je sortais de la douche pour voir mon mari féliciter chaleureusement mon beau latino, et lui glisser un billet pour le remercier.

Savoir prendre le temps pendant les vacances

Le lendemain matin, nous sommes arrivés en retard au petit déjeuner et le restaurant était fermé. Évidement, nous avons mis ça sur le dos de la différence de fuseau horaire, mais la vérité était bien différente.

Le bonheur de jouir au réveil

Sylvain et moi étions allé au lit tôt la veille, mais nous avons été occupés jusqu’à assez tard. De même, le matin nous nous étions réveillés bien à temps pour le petit déjeuner, mais il me fut impossible de résister à la bonne humeur matinale de Sylvain. Cela faisait tellement longtemps que je n’avais pas eu le temps de profiter de sa belle érection du matin, alors j’en ai profité.

Toujours aimable et serviable, le personnel de l’hôtel nous ouvrit le restaurant et promit de nous apporter quelque chose à manger. Quelques instants plus tard, Armando nous servait café, plateau de fruits frais et œufs brouillés. Surpris de le voir, Sylvain lui demanda s’il était aussi cuisinier, mais Armando le rassura : « Non, non, nous avons de vrais cuisiniers ! Moi je suis juste venu aider pour votre service, vu que les autres sont déjà partis à la maison. »

Une fois rassasiés, Sylvain voulut aller faire un tour à la piscine, mais j’avais envie d’un autre café et je voulais finir un article intéressant sur les fameux cénotes de la péninsule du Yucatan. Je promis donc de le rejoindre d’ici une petite demi-heure, l’embrassai et commandai un deuxième café. Long, sans lait, avec juste un peu de sucre.

Me faire doigter par le serveur

Armando me servit mon café, et posa sa main droite sur ma cuisse. Je sursautai, mais je ne dis rien, je ne fis rien pour l’empêcher. Son autre main saisit mon sein gauche, le pétrit tandis que son pouce caressait mon téton qui était déjà dur comme de la pierre. Sa main droite se faufila sous ma robe et j’écartais les cuisses pour lui faciliter l’accès à mon intimité. J’étais mouillée, et ses doigts me pénétrèrent facilement. Il ne lui fallut que quelques minutes pour me faire jouir.

Puis il débarrassa la table et retourna en cuisine. Moi, je finis mon café avant de rejoindre Sylvain au bord de la piscine.

Préférer passer du temps avec mon amant

Quelques jours plus tard, nous étions au cours de découverte du Stand Up Paddle organisé par notre hôtel quand Sylvain me donna un coup de coude : « Regarde qui c’est le moniteur ! C’est celui qui nous a réparé la clim ! C’est vraiment l’homme à tout faire ici ! »

Esquiver le sport pour m’adonner aux plaisirs sexuels

Effectivement, c’est Armando qui nous initia à ce sport. Sylvain discutait et plaisantait avec lui, moi je fixais son corps bronzé, ses muscles fins et puissant, ses dents si blanches, et bien entendu son petit maillot de bain dont la taille était inversement proportionnelle à l’imagination qu’il procurait.

Conquis par cette nouvelle activité, mon mari décida de louer une planche et de profiter pendant encore une heure des eaux turquoises du lagon. C’est vrai que c’était sympa, et j’étais tentée de me joindre à lui, mais j’avais autre chose en tête. Je prétextais être fatiguée après une nouvelle nuit torride, et lui dis de me retrouver au bar de la piscine à la fin de sa balade.

Baisée virilement dans la cabane

Alors que Sylvain naviguait vers la barrière de corail, je demandais à Armando s’il avait besoin d’aide pour ranger tout le matériel. Il sourit et me répondit que si je pouvais l’aider à ranger les rames dans la cabane, il me serait très reconnaissant.

La cabane du bord de mer, pratique pour baiser discrètement avec son amant
La cabane du bord de mer, pratique pour baiser discrètement avec son amant

A l’intérieur de cette cabane à la chaleur suffocante, au milieu du matériel nautique de l’hôtel, il ne tarde pas à me montrer cette reconnaissance. Une fois franchi la porte, il me baissa mon maillot de bain et se positionna derrière moi. Je me penchais et, les mains appuyées sur un kayak de mer, je le reçus en moi. Il était dur, il était large, et il me pilonnait sans ménagement. Une nouvelle fois, l’orgasme ne se fit pas attendre, et moins de 15 minutes après être entrée dans cette cabane, je sirotais un mojito au bar de la piscine.

Les aventures adultérines, fil rouge de mes vacances

Ainsi se déroulèrent mes vacances. Pour mes dix ans de mariage, je passais mes nuits à revivre la passion du début avec mon mari, et je profitais de mes rencontres fortuites avec Armando. Elles étaient courtes et nous n’échangions que peu de mots, mais à chaque fois l’orgasme était au rendez-vous.

Il me fit jouir avec sa langue près de la machine à glace du couloir, une nuit alors que j’étais sortie à la recherche de glaçons pour m’amuser avec Sylvain. Je lui rendis la pareille le jour suivant, alors qu’il s’entrainait sur les machines de la salle de sport.

Il officiait aussi comme jardinier, et souvent je le voyais quand je me promenais dans les allées luxuriantes du parc de l’hôtel. Lorsque j’étais avec Sylvain, celui-ci ne manquait pas de saluer Armando et de le complimenter : « C’est vraiment un travailleur ce petit jeune, je l’aime bien ». Mais quand j’étais seule, Armando interrompait son travail et nous nous cachions derrière un buisson pour qu’il s’occupe de ma petite fleur.

Le jour de notre départ, c’est encore Armando qui porta nos valises jusqu’au taxi, et Sylvain lui laissa un généreux pourboire pour le remercier de tout ce qu’il avait fait pour nous pendant notre séjour. Alors que mon mari discutait du tarif avec le chauffeur, je remerciais aussi mon amant à ma manière, en glissant une dernière fois ma main dans son pantalon.

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