Je m’appelle Christophe. J’ai 26 ans et je suis marié à Vanessa, 23 ans. Nous sommes un couple peu ordinaire, puisque ma femme est vraiment chaude, nymphomane depuis sa jeunesse. Le sexe a toujours été sa passion première dans la vie. Voici notre histoire tumultueuse.
Ma rencontre avec Vanessa dès les bancs de la fac
Après le bac, mes parents m’avaient inscrit dans une université en Italie. L’italien, c’est pour moi du chinois. Les seuls mots que je connaissais en italien se résument à « Puta de merda », une expression entendue inlassablement dans un film hot que j’avais visionné durant mes années de lycée.
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Ainsi, j’étais comme un point noir sur une toile toute blanche au beau milieu de la jeunesse italienne qui ne parlait quasiment pas un traitre mot de français. On m’avait fait suivre des cours d’italien, mais la prof et son air aguicheur d’actrice de films érotiques ont suffi à me déconcentrer durant les trente séances.
Durant mes premiers jours à la fac, je me sentais seul, avec peu d’amis, ou pas du tout, en réalité. Je déprimais complètement jusqu’au jour où je croise une fille aux cheveux châtains, longs jusqu’au milieu du dos, avec une silhouette de pom pom girl. Elle, c’était Vanessa. Elle était habillée de manière coquine : une jupette évasée cachant (ou plutôt mettant en valeur) les belles courbes de ses fesses, des bas qui remontaient jusqu’à ses cuisses et une chemise qui cachait à peine l’essentiel. Comment cet accoutrement était-il autorisé dans cet établissement ?
Une italienne sexy, mais francophone pour mon plus grand bonheur
Ce qui m’avait vraiment plu chez elle à part son physique et son visage de déesse, c’était qu’elle discutait en français au téléphone. Je la suivis jusqu’au coin de rue et une fois qu’elle eut raccroché au téléphone, je l’ai immédiatement abordée.
Alors, Vanessa était française par sa mère et italienne par son père. Le courant était tout de suite passé entre nous, puisque l’on se comprenait parfaitement. Nous avions bu un café et j’ai très vite remarqué que de nombreux gars la dévisageaient ou la saluaient. Elle ne trouvait pas cela répugnant, ce qui me plaisait également. Au moins, elle n’était pas une fille coincée.
Frivole et sexy, cette jeune femme m’attire physiquement et sentimentalement
On avait vite commencé à se voir souvent et à traîner ensemble. Elle était une fille relativement célèbre à la fac. En fait, elle était cheerleader de l’équipe de basket, ce qui lui laissait peu de temps à me consacrer et beaucoup de gars lui tournaient autour. D’après ce que j’avais entendu dire du vieux concierge qui parlait français avec un accent donnant envie de se suicider, elle se serait déjà tapé toute l’équipe dans les vestiaires. Mais je ne faisais pas attention à ces ragots.
Un jour, j’étais allé à son entrainement. Je la voyais balancer son corps si beau, si sensuel et si parfait dans les airs. Je m’étais dit que je ressentais quelque chose pour cette fille. Néanmoins, elle sortait officiellement avec l’arrière de l’équipe, Luca. Je ne l’avais appris que récemment, lorsque je commençais à comprendre tant bien que mal l’italien, et que je discutais avec des gars de ma classe.
Ce qui m’avait le plus étonné, c’est que Vanessa ne m’ait pas parlé de sa relation avec Luca, alors que l’on se côtoyait de plus en plus. D’ailleurs, le fameux basketteur nous surprit, un jour, en train de faire mine de réviser à la bibliothèque, alors que l’on se chamaillait à citer les plus belles postures sexuelles du Kamasutra. Lui et son équipe n’avaient pas attendu longtemps pour me bousculer et me faire comprendre que j’avais dépassé les limites. Vanessa, indignée, se précipita vers moi, insultant Luca de toutes les insultes italiennes qui puissent exister. Elle me releva, ce qui me rendit honteux devant toute la salle.
Cette complicité coquine qui s’instaure entre nous avec des gestes osés
Que ce soit clair, Vanessa et moi n’étions pas encore ensemble à ce moment-là. Il y avait juste une certaine tension plus qu’amicale qui se tissait entre nous. Si mon regard tardait un peu trop sur ses belles cuisses lorsqu’elle était assise, elle écartait un peu les jambes pour me montrer sa petite culotte et rigolait à en perdre haleine quand je rougissais.
Des fois également, elle se collait à moi, les fesses contre mon sexe, puis s’y frottait jusqu’à ce qu’elle ressente mon érection. Elle était du genre coquine et cela ne me dérangeait nullement. J’avais une meilleure amie déjantée qui aime les délires et qui n’était pas gênée du côté sexuel de nos taquineries. Toutefois, son geste à la bibliothèque avait ouvert mon cœur à un autre sentiment. Je me rendais compte que je l’aimais. Jamais une fille n’avait été autant solidaire envers moi, à un tel point qu’elle se batte avec son petit ami pour moi.
Une fieffée salope qui a vidé les couilles de tout son entourage masculin
Je n’avais pas attendu longtemps pour lui faire part de mes sentiments. Elle m’avait expliqué que je lui plaisais également, mais qu’elle n’était pas du genre à s’embarquer dans une relation sérieuse. Avec une franchise purement italienne, elle m’a expliqué que ce qu’on disait sur elle au lycée est vrai.
En réalité, Vanessa était nymphomane. Elle ne pouvait passer plus de deux jours sans sexe et elle avait un appétit insatiable. Même durant ses périodes d’indisposition, elle se servait de sa bouche ou d’autres orifices de son corps pour ressentir un membre masculin en elle.

Une fois qu’elle m’avait tout révélé sur elle, j’étais encore plus amoureux. Cette honnêteté n’avait pas d’égal et cela m’avait rendu davantage fou d’elle. Lorsque nous avions commencé à coucher ensemble, je compris vraiment ce qu’elle voulait dire par « un appétit insatiable ». Même après une journée au lit à faire l’amour comme des bêtes, elle en redemandait encore, le soir venu. J’en étais même arrivé à utiliser des pilules pour stimuler mon engin, tellement j’étais épuisé, mais j’aimais cela.
Elle était du genre à s’adonner à tous les plaisirs sexuels possibles : les jeux de rôle, les menottes et les cravaches, la dominatrice ou la soumise, le sexe anal, oral, les sextoys… Bref, elle n’avait aucune limite.
Avant notre mariage, je pouvais gérer ses envies, du moins lorsque l’on se voyait. Mais après le mariage, ce fut une autre histoire. L’avoir pour moi 24h/24 et 7 jours par semaine me ferait mourir d’une crise cardiaque suite à une overdose de sexe à coup sûr.
La relation libre comme solution pour sa sexualité débordante de vitalité
Désormais, Vanessa et moi étions mariés et vivions en France. Elle travaillait pour son compte comme écrivain de romans érotiques. Elle avait un talent incroyable pour s’inspirer de ses fantasmes les plus fous et les transformer en récits qui vous font rêver. Moi, je lançais ma startup de vente de produits en ligne. Du coup, nous avions beaucoup de temps pour nous, de journée, comme de nuit.
Après un mois de vie commune, je n’en pouvais plus. Elle et son envie de sexe allaient me tuer. Je lui fis part de mon « impuissance » face à la situation, à un tel point que nous décidions de trouver un compromis. Elle pouvait aller voir ailleurs, mais à condition que je sois présent, ou qu’elle me mette au courant de ses ébats.
C’était le seul moyen d’éviter qu’elle se mette à me tromper tout en satisfaisant ses envies. De plus, je pourrais expérimenter de nouvelles choses en voyant ce qu’elle aimait et ce qu’elle aimait moins.
Nous avions alors aménagé une pièce que nous avons appelée la « chambre secrète ». Un énorme miroir situé sur le mur du salon était en fait une vitre sans tain qui donnait sur la pièce cachée. Par un bouton, le reflet du miroir devenait une vitre transparente au travers de laquelle je pouvais voir ses ébats avec ses partenaires d’un soir. Ce dispositif astucieux nous avait coûté un bras, mais le jeu en valait la chandelle.
Un magnifique lit double fut installé dans la pièce, avec une lumière tamisée digne d’une ambiance des plus sensuelles. Tout était en place pour assure un spectacle des plus érotiques.
Ma femme charme naturellement les hommes, mais a ses techniques pour les attirer
Vanessa était une fille coquine de nature. Maquillage léger, parfum, talons aiguilles, vêtements moulants ou sexy, string, soutien-gorge qui mettait parfaitement en valeur ses seins… Elle savait parfaitement comment attirer des hommes dans les mailles de son filet.
Pour ne pas passer pour une fille de joie, elle ne flirtait jamais deux fois au même endroit. Elle faisait en sorte que ses « proies » soient esseulées, jamais en groupe.
Son style d’homme avait un physique, disons, normal, ni trop musclé, ni trop frêle, ni trop grassouillet. Elle ne choisissait pas de tranche d’âge précis. Du moment qu’il était sexy et dragueur à son goût, il pouvait être un candidat potentiel.
Un après-midi, elle alla à la salle de fitness. Il était un peu trop tôt pour que la salle ne soit bondée. Elle était seule avec deux coachs sportifs. Elle fréquentait ces lieux pour la première fois, donc elle ne s’est pas fait prier pour demander de l’aide à ces beaux messieurs.
Ces derniers, entendant son accent sensuel et charmeur, se prêtèrent au jeu. Elle se mit à bouger devant eux en faisant en sorte de bien dévoiler ses courbes dans sa tenue de sport particulièrement moulante. Le blanc de son legging avait du mal à masquer le string rose qui rentrait dans complètement la raie de ses fesses Elle portait une brassière sexy qui dévoilait ses petits tétons à travers le tissu.
Chaque mouvement de son corps rendait les deux hommes fous d’envie de la toucher, et de la caresser. Elle fut sage, durant cette séance, mais proposa aux deux hommes de lui faire du coaching à domicile pour la prochaine séance. Les deux à la fois ? « Oui, plus on m’entoure, meilleurs seront les résultats », leur murmurait-elle.
Une soirée partouze pour ma femme où je suis resté spectateur
Ainsi, c’était avec surprise que je l’entendis dire qu’elle avait invité deux hommes pour venir dans la « chambre secrète ». Le rendez-vous aurait lieu pour le lendemain, en fin d’après-midi.
Le jour venu, elle se fit toute belle : un bon bain chaud que nous avons pris ensemble, une tenue de sport bien provocante et un beau visage innocent. Cette fois, adieu les sous-vêtements. Elle avait poussé le vice à ses limites en portant un boxer de sport très moulant, laissant quasiment apparaitre un beau camel toe.
Nous avions une petite salle de sport juste à côté de la « chambre secrète ». Elle invita directement ses convives à passer vers cette salle, tandis que je me cachais confortablement dans le salon, attendant l’heure où ils entreraient dans la chambre.
Rien qu’en la voyant, les deux hommes – en l’occurrence Damien et Olivier – transpiraient déjà d’excitation. Dès que les deux coachs avaient retiré leur survêtement, dévoilant leurs beaux pectoraux et leurs biceps de dieux, elle frémit d’une envie presque insoutenable.

Prise en main hard de ma chérie par ces deux beaux gosses
Elle fit malicieusement une mine d’ébahissement par tous ces beaux muscles, touchant le torse de l’un, puis de l’autre. Très vite, les deux hommes avaient compris ce qu’elle voulait. Vanessa se mit à murmurer aux oreilles d’Olivier, puis à se coller au corps de Damien. Bref, ce dernier ne put plus se retenir et embrassa le cou de ma femme tout en lui empoignant un sein. Elle émit un cri d’excitation, tandis qu’Olivier lui caressa gentiment les fesses et le sexe à travers son boxer.
Elle les emmena vers la chambre secrète. Damien la saisit, puis la jeta sur le lit. Il s’empressa de lui retirer ses vêtements, puis de lui lécher directement l’entre-jambe. Vanessa, telle une âme sans défense, ne pouvait rien faire qu’apprécier la langue du jeune homme aller et venir en elle. Olivier la réveilla de sa transe, en dirigeant sa tête vers son sexe en érection pour le mettre dans sa bouche. Elle se faisait déborder, mais cela lui plaisait. Quatre mains, deux langues et deux sexes, tout concordait pour qu’elle prenne son pied.
Tandis qu’un des deux hommes la pénétrait, elle sentit le sexe du second complice s’enfoncer lentement, mais sûrement par-derrière. Entre un cri de douleur et d’excitation absolue, elle ne put émettre que des « Oui, oui, oui » avec une voix qui allait quasiment s’évanouir de plaisir. C’était la première fois qu’elle expérimentait le sexe à trois, avec deux hommes à la fois en elle.
Quant à moi, je la regardais, me demandant comment j’avais pu tomber amoureux d’une fille pareille. Néanmoins, je ne savais par quel miracle, ce genre d’expérience me rendait plus amoureux d’elle. Tout ce dont je suis sûr, c’est que nous vivrions encore des années comme cela. Jusqu’à quand ? Seul le temps le dira.