Natalia, une femme séductrice qui joue avec les hommes

Jean et moi, on se connait depuis plus de 30 ans. Nous étions encore gamins lorsqu’on s’est rencontré, nous devions avoir douze ou treize ans à l’époque, et nous jouions déjà au tennis. Le tennis, ça a toujours été notre passion. C’est ce qui nous a lié dès le début et qui a fait que nous ne nous sommes jamais perdus de vue malgré les aléas de la vie.

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Réussir dans la vie grâce au sport


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Nous nous entrainions trois fois par semaine, tous les jours pendant les vacances, et notre rêve était de devenir professionnels, de gagner Roland Garros et Wimbledon… Cela a failli se réaliser pour moi. Pas de gagner un tournoi du Grand Chelem, non, mais de devenir professionnel.

Je ne peux pas dire que j’étais plus doué que Jean, mais j’étais sûrement plus motivé. Au bout d’un moment il a privilégié ses études, et moi le tennis : Lorsqu’il est parti à la fac, moi je suis parti dans un camp d’entraînement de la fédération. J’ai participé à de nombreux tournois, j’ai gagné des matchs, j’ai même été classé à l’ATP, je n’étais pas loin de réussir.

Mais je n’ai jamais réussi à gravir le dernier échelon. Les années passaient, et je n’y arrivais pas, je stagnais. Le grand espoir est devenu une déception, puis un joueur de seconde zone. À 28 ans, alors que Jean montait sa boîte, je jetais l’éponge et abandonnais le tennis professionnel. Sans études et sans expérience, la seule reconversion possible pour moi était de devenir professeur de tennis.

C’est ainsi que j’ai trouvé un poste au club de tennis de la ville, celui où j’avais débuté et qui m’avait vu grandir. Évidemment que mon passé de joueur m’a aidé, et j’avais toutes les qualifications requises : je n’ai pas usurpé mon poste. Mais je suis réaliste, et je sais que la présence de Jean dans le comité de direction du club n’était pas étrangère au fait que j’aie obtenu un contrat à durée indéterminée.

Lui n’avait jamais quitté le club, il avait toujours continué à jouer et avait gardé un bon niveau. Nous avons recommencé à jouer ensemble régulièrement, et nous nous sommes inscrits dans un premier tournoi de double. Nous y sommes allés comme ça, juste pour s’amuser, mais nous sommes repartis avec la coupe du vainqueur.

Un duo de choc qui a remporté de beaux succès, en matière de tennis, comme auprès des femmes
Un duo de choc qui a remporté de beaux succès, en matière de tennis, comme auprès des femmes

C’est ainsi que nous avons commencé à écumer les tournois de double de la région. C’était sympa de jouer au tennis avec Jean, de gagner ensemble. L’année dernière, nous avons remporté le « Tournoi International Vétéran » organisé par une grande banque, en battant des Espagnols en demi, puis des Suédois en finale. Alors évidemment, ce n’était pas Roland Garros, mais soulever la coupe avec Jean sous les applaudissements du public, même s’il était constitué de moins de 50 personnes… et bah ça m’a fait chialer.

Gérer sa femme en plus du travail : compliqué

Jean était aujourd’hui à la tête d’une entreprise d’une centaine de personnes, et c’était le genre de patron dont tout le monde rêvait. Proche de ses employés, ferme mais juste à l’heure de prendre des décisions, et qui n’hésitait pas à partager les bénéfices avec tout le monde. Sa devise ? « Gagner de l’argent, c’est la règle du jeu pour une entreprises, sinon elle meurt. Mais ce n’est pas l’objectif. L’objectif c’est d’essayer d’améliorer un peu la vie des employés, des clients, des fournisseurs. »

Ceux qui ne le connaissait pas pensaient que c’étaient juste des mots de façade, mais moi je savais qu’il y croyait vraiment. La grande majorité de ceux qui travaillaient avec lui adhéraient à sa philosophie, et il faut bien avouer que cela fonctionnait.

Mais malheureusement pour lui, son succès professionnel lui avait coûté beaucoup au niveau personnel. Moi j’avais toujours aimé butiner à droite à gauche, sans jamais me poser quelque part : la liberté du célibat me plaisait et me rassurait. Jean, par contre, était un romantique qui avait toujours espéré trouver le grand amour avec qui il partagerait sa vie.

Par deux fois, il avait essayé de construire quelque chose avec une femme, mais il n’avait jamais pu les conserver à ses côtés, faisant passer son entreprise et le bien-être de ses employés avant son propre bonheur.

De par son statut, il ne manquait évidemment pas de prétendantes : un homme riche, respecté et qui prend soin de lui, c’est un bon parti que de nombreuses femmes espèrent conquérir. Mais il lui était difficile de faire la sélection entre celles qui n’en voulaient qu’à son argent et celles qui s’intéressaient vraiment à lui, et sa vie amoureuse fut essentiellement constituée de déceptions.

Une blonde d’Europe centrale qui fait tourner les têtes

Comme tout le monde, j’ai été circonspect lorsqu’il m’a présenté Natalia il y a trois ans. Une russe de 25 ans, ex-mannequin, qui s’intéresse à Jean. Même si je me considère ouvert d’esprit, tolérant, et que j’essaie de ne pas juger sans savoir, j’avais des doutes sur les intentions de la demoiselle.

Comme je m’étais trompé ! Oui, Natalia était une fille de l’Est aux jambes interminables, à la poitrine généreuse, et avec un magnifique visage mis en valeur par des yeux d’un vert émeraude ; mais elle était bien plus que ça. Elle était intelligente, curieuse, amusante… et raide dingue de Jean. Cela faisait plaisir de les voir ensemble, un couple heureux, complice, qui ne se souciait pas des autres : on se serait cru dans une comédie romantique avec Jennifer Aniston !

Comment fait mon pote pour avoir une aussi belle petite copine ?
Comment fait mon pote pour avoir une aussi belle petite copine ?

Et le plus important, Jean était heureux. Il ne le criait pas sur tous les toits, mais cela se voyait au sourire qui ne quittait pas ses lèvres. Lorsqu’un jour, alors que nous prenions notre douche au club après un petit match de tennis, il m’annonça qu’ils se mariaient et qu’il aimerait que je sois son témoin. Sur le coup je fus tellement heureux pour lui que je faillis le serrer dans mes bras. Mais je ne le fis pas : deux hommes nus qui s’étreignent sous la douche, cela aurait fait jaser. À la place, je le félicitais d’un poing sur l’épaule, bien plus viril !

Comment tromper son mec au sport ?

Cela fait un peu plus de trois ans que Jean s’est marié, et moi je continue à batifoler. Être professeur de tennis a des avantages, j’ai la possibilité de passer pas mal de temps en privé avec de nombreuses femmes qui s’ennuient dans leur vie bourgeoise. Bien sûr, toutes ne finissaient pas dans mon lit, mais je dormais rarement seul.

Natalia venait souvent au club. Elle n’avait jamais joué au tennis avant de connaître Jean, mais elle s’y était mis et s’était découverte une passion. Ce n’était pas une championne, mais une joueuse décente qui y prenait plaisir et faisait une excellente partenaire.

Je jouais avec elle une fois par semaine, et lui avais appris comment frapper la balle, comment se déplacer, comment lire les trajectoires… Je continuais à la battre, mais je dois avouer que je devais m’appliquer pour y arriver. Elle progressait, et surtout elle était bien plus jeune que moi.

Ce jour-là nous avions interrompu notre match un peu plus tôt car elle avait quelque chose à faire, et je suis resté sur les terrains pour échanger quelques balles avec les collègues. En allant au club-house une petite demi-heure plus tard, je fus surpris de voir sa voiture toujours garée sur le parking mais n’y fis pas plus attention que ça. Après tout, elle fait ce qu’elle veut !

Quelques instants plus tard j’allais chercher des balles neuves dans la réserve lorsque j’entendis des bruits sans équivoques : gémissements, étagère métallique qui grince, chuchotements… Encore une fois, le nouveau barman avait amené une de ses conquêtes au club. Cela ne me gênait pas qu’il baise au boulot, on en rêve tous, mais je lui avais déjà dit par deux fois de pas le faire dans la réserve, car je peux avoir besoin de matériel !

Passablement énervé, je décidais donc de l’interrompre et j’ouvris la porte en le prévenant : « Sylvain, je suis désolé, mais je t’ai déjà prévenu et là j’ai vraiment besoin… »

Je ne pus finir ma phrase, je restais bouche bée devant le spectacle. Effectivement, c’était bien Sylvain entièrement nu qui faisait des va-et-vient entre les fesses d’une demoiselle à quatre pattes devant lui. Celle-ci avait levé son visage vers moi lorsque j’ai commencé à parler, et je reconnus Natalia.

C’est elle qui brisa le silence : « Marc, il faut que je t’explique.

  • Hmm.
  • Marc, vraiment, je peux t’expliquer.
  • M’expliquer quoi, exactement ? »

Mon ton était agressif, je sentais la colère monter en moi : comment pouvait-elle faire ça à Jean ?

Sylvain se rendit compte de la tension qui existait et, supposant à juste titre que la situation était bien plus compliquée qu’il ne pensait, se rhabilla rapidement et s’esquiva. Natalia et moi étions seuls dans la réserve maintenant.

« Marc, s’il te plait, écoute-moi. Je t’en supplie. »

Nue, agenouillée sur le carrelage de cette réserve, des larmes dans les yeux, elle semblait si fragile. Je me calmais et lui demandais simplement : « Pourquoi ?

  • Tu sais bien que j’aime Jean plus que tout, il est tout pour moi. Mais niveau sexe Ses besoins sont bien moindres que les miens, alors de temps en temps je compense.
  • Comment ça de temps en temps ? Tu veux dire que ce n’est pas la première fois ?
  • Avec Sylvain, si. Mais en général, non.
  • Tu te rends compte si Jean l’apprenait ?
  • Non, ne lui dis rien ! » s’exclama-t-elle, paniquée.

Je la regardais sans savoir quoi dire. Voir la femme de Jean nue devant moi me semblait totalement improbable. Savoir qu’elle le trompait régulièrement était absolument inattendu. J’observais son visage, sur lequel se lisait un mélange de tristesse et de peur. Puis mon regard descendit le long de son corps, s’arrêta sur ses beaux seins, son ventre plat, ses longues jambes…

Succomber à la tentation d’une fellation furtive

C’est alors que Natalia se rapprocha de moi et, sans que je ne puisse rien y faire, elle baissa mon pantalon et fit disparaitre mon sexe entre ses lèvres. Abasourdi, je ne savais comment réagir. Déjà, je durcissais dans sa bouche. Une femme superbe était en train de me sucer, et je ne pouvais résister… je ne suis qu’un homme.

Natalia me taille une pipe et son mec n'est pas au courant
Natalia me taille une pipe et son mec n’est pas au courant

Elle me tailla une pipe avec application, me caressant et me masturbant pendant que sa langue jouait avec mon gland, et lorsque je jouis, elle n’en perdit pas une goutte. Puis elle se releva, me regarda et avec un clin d’œil me dit : « Voilà. Maintenant si on en parle à Jean il va perdre sa femme et son meilleur ami. Et ni toi ni moi ne voulons que Jean souffre, n’est-ce pas ? ».

Je devais me rendre à l’évidence, elle avait raison.

« Effectivement. Ce serait mal de lui en parler et de le faire souffrir. Laissons-le être heureux, il n’a pas à payer pour nos erreurs. »

Elle me sourit. Nous étions d’accord. Pour le bien de Jean.

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