Casting pour une scène lesbienne – Jusqu’où cela me mènera ?

Je m’appelle Joëlle et suis une étudiante ayant récemment découvert la passion des photos sensuelles et pour les vidéos érotiques. Tout a commencé le jour où j’avais perdu mon job étudiant dans un restaurant chic, à cause d’une embrouille avec mon chef. J’avais préféré partir et trouver autre chose à faire.
À ce moment-là, j’avais commencé à feuilleter des journaux et aller sur des sites internet proposant des emplois, mais en vain. Soit le travail ne correspondait pas à mon emploi du temps, soit la rémunération s’avérait trop insuffisante. Je devenais de plus en plus stressée, car il me fallait du fric.
Tout s’est arrangé le jour où j’étais tombée sur une annonce intrigante. Une agence recherchait un modèle pour poser. Il était clairement précisé que les photos allaient avoir un caractère “sensuel”. Elles allaient être publiées sur un site érotique. Sur le coup, je restai un peu perplexe. Je n’avais jamais effectué ce genre de prestation. Je craignais ce que cela allait engendrer dans ma vie.

Retour aux autres fictions libertines

J’avais quand même décidé de prendre mon courage à deux mains pour appeler le numéro indiqué afin d’obtenir plus d’informations. Un monsieur à la voix grave me répondit au téléphone. Il m’expliquait en détail comment la séance allait se dérouler. La prestation était fixée à 150 € l’heure. C’était largement plus intéressant que mon ancien salaire en tant que serveuse. J’étais divisée, et ne savait si je devais accepter.

Mon premier casting photo pour un shooting érotique

Il ne se passait pas un jour sans que la proposition ne me travaille l’esprit. J’étais continuellement absorbée par ces pensées. Faire des photos coquines n’était pas si terrible que cela vu les tarifs. Je craignais simplement la réaction de mes proches au cas où quelqu’un me reconnaîtrait. Heureusement que je suis célibataire, sinon cela aurait été la rupture assurée.

Décidée, je comptais me rendre à l’adresse indiquée par l’homme au téléphone. Je frappais à la porte et un homme mince, presque chauve et avec des tatouages m’ouvrit. Il portait un teeshirt et un jean noirs. Il devait avoir la cinquantaine, et tenait une cigarette à la main.

  • « Mademoiselle, que puis-je pour vous ? », me dit-il en me regardant de la tête au pied, avec un sourire malicieux ;
  • « Je m’appelle Joëlle. Je vous avais appelé la semaine dernière pour le shooting photo. Comme vous me l’avez proposé, me voici. », répondis-je d’un air timide ;
  • « Ah oui ! Je m’en rappelle ! Venez, entrez ! », enchaîna-t-il.

Un studio rassurant pour un tel tournage

J’étais accueillie dans un studio, assez petit et qui sentait la cigarette. Sur les lieux se trouvaient un autre homme et une femme. Ils m’avaient dévisagée et ils semblaient d’emblée m’apprécier physiquement. Je me sentais immédiatement à l’aise. Ils étaient très sympathiques. Ils m’avaient même offert un verre de vin. Cela m’avait aidée à avoir confiance en moi.

Je me disais que j’avais des chances de conclure cette affaire étant donné leur accueil chaleureux. La dame s’appelle Laura. Elle m’avait détaillé la mission. Il fallait donc poser pour un site érotique dédié à la communauté lesbienne, donc pour des femmes qui aiment les femmes. Elle me montra des clichés sur son travail. J’admirais sa façon de poser : elle maîtrisait le domaine. Quelque part, j’étais convaincue qu’autant de sensualité avait un pouvoir érotique si fort que ces contenus ne s’adresseraient pas qu’aux lesbiennes, mais aussi aux femmes hétéros.

Laura allait être ma partenaire pour les photos.

Une scène homosexuelle entre femmes, pourquoi pas ?

J’étais revenue le lendemain comme convenu. La veille était une sorte de briefing. Aussi, ils voulaient me laisser du temps pour que je puisse bien assimiler tout ce que l’on me demande de faire. Arrivée sur les lieux, je vis le monsieur (Fabrice) et Laura qui étaient déjà présents.

Laura m’invita à m’assoir sur une chaise pour me maquiller. Elle semblait satisfaite de son travail. Elle était très sympathique. Tout de suite le courant était passé entre nous. Quelques minutes après, elle m’invita à me mettre nue, car la séance allait commencer. J’étais gênée, mais je me disais que cela ne pouvait que bien se passer. Ma partenaire est simplement superbe.

Fabrice était entrain d’ajuster son appareil photo. J’avais préféré retirer mes vêtements dans un coin de la pièce.

  • « Tu as une belle peau, Joëlle. T’es magnifique ! », me disait-elle en souriant pour que je me décontracte.

Laura, elle, était déjà nue. Elle se montrait très tactile, et cela me faisait un peu d’effet étant donné les circonstances. Jamais je n’avais eu d’élans homosexuels, mais les attouchements par inadvertance de ma partenaire me troublaient.

Laura devait avoir entre 28 et 35 ans. Elle a de belles formes : un peu de rondeur, des fesses bien sculptées et une poitrine assez généreuse. J’étais une planche à côté d’elle. Voilà peut-être la raison pour laquelle ils m’avaient immédiatement recrutée : pour faire varier les modèles.

Mes débuts homosexuels devant les caméra

Il régnait une ambiance conviviale dans le studio, avec les blagues de Fabrice. Vraiment, je me sentais plus à l’aise. Laura poussa légèrement mes hanches pour m’inviter à aller sur l’emplacement dédié au shooting. La douceur de ses mains créa en moi une sensation inexplicable. Je ressentais généralement cela quand je faisais l’amour avec des hommes, mais je ne l’avais encore jamais ressenti en compagnie d’une femme.

Des débuts lesbiens timides mais prometteurs

Des débuts lesbiens timides mais prometteurs

Laura avait cette façon de me mettre à l’aise. C’était comme si elle avait fait cela toute sa vie. Fabrice donnait des directives, et notre rôle était de les suivre. Il nous demanda de nous enlacer en nous caressant. Je sentais le doux parfum de ma partenaire, et sa respiration apaisée, calme et sûre d’elle.

Au départ, je n’osais pas la toucher, mais elle m’avait mise en confiance en prenant ma main pour la poser sur ses fesses. Sa peau était lisse. Laura était d’une douceur enivrante. Fabrice nous invita à nous lover en nous embrassant. Elle s’approcha alors doucement de moi en souriant un peu avant de poser ses lèvres sur les miennes. Son regard était perçant.

Je sentis ses lèvres agréablement parfumées par un rouge à lèvres à la cerise. Ma chatte commençait à me picoter. J’étais excitée par Laura. Il était devenu plus facile de jouer un scénario de lesbiennes dans cette ambiance. J’étais stupéfaite par le côté naturel de ma partenaire. Elle semblait réellement aimer toucher une femme. Elle est sûrement homosexuelle ou bisexuelle, me disais-je.

Des caresses coquines puis des pratiques plus osées

Fabrice arrêta de nous guider par la voix et nous incita simplement à continuer, au moment où Laura et moi avions décidé de prendre les rênes. Excitée et concentrée, je sentais une certaine complicité avec ma nouvelle collègue. D’un geste, je glissai ma main entre ses jambes pour effleurer sa chatte afin d’atteindre son clitoris.

Laura, surprise, répondit par un sourire avant de caresser mes seins et sucer mes tétons pointus.

  • « Continuez les filles ! Allez-y », interpellait Fabrice.

J’entendais Fabrice entrain de régler l’objectif de son appareil photo pour capturer ces moments forts de la séance. Laura avait envie de moi, et c’était réciproque. Elle me poussa légèrement pour m’inviter à m’allonger sur le sol. Je m’exécutais et je vis soudainement le sexe de Fabrice en érection dans son pantalon.

Allongée sur le ventre, Laura s’était assise sur mes fesses, en rodéo. Elle griffa légèrement mon dos en s’assurant de faire des poses sensuelles. Elle m’invita à me retourner pour qu’elle puisse prendre une pose en train de me faire un cunni. Cerise sur le gâteau, elle l’avait réellement fait. J’étais aux anges, c’était un moment profond.

Ce cunnilingus m'a totalement fait oublier qu'une caméra capturait la scène

Ce cunnilingus m’a totalement fait oublier qu’une caméra capturait la scène

De la sensualité lesbienne au porno hétéro

J’avais pris goût à ce type de prestation. Prendre du plaisir pour autant d’argent gagné, quel pied ! Fabrice et Laura m’avaient payée sans se faire attendre. Ils m’ont félicitée. J’avais assuré, malgré un niveau de débutante. Ils m’avaient même sollicitée pour une prochaine collaboration. J’en étais plus que ravie, et je craignais d’y prendre goût.

Fabrice a beaucoup de contact dans le monde de la pornographie. Quelques jours après le shooting, il m’avait appelé pour un autre contrat. J’étais tout excitée à l’idée de poser pour des photos avec Laura ou une autre fille. Je souhaitais exploiter de nouveau mes élans lesbiens, pour voir ce que cela allait donner. Cependant, Fabrice me fit une toute autre proposition.

Il m’avait proposé de tourner un film pornographique. J’avais éclaté de rire en entendant cela. J’adorais le sexe, mais pas au point d’en faire un film. Je me souviens avoir effectué une sextape quand j’étais encore lycéenne. Excellent souvenir. Mais ci, on me demande de coucher avec un homme, en échange d’une somme considérable.

Fabrice était très ravi ce jour-là : j’avais accepté son offre.

Le jour du casting

Le tournage allait se faire deux semaines après le coup de téléphone. Je m’étais rendue à l’endroit indiqué par Fabrice. C’était une villa magnifique avec un jardin à couper le souffle. Dès mon arrivée, je vis deux autres femmes à l’intérieur. J’avais envoyé un SMS à Fabrice pour qu’il me rejoigne. Il arriva, et m’expliqua la mission. J’allais donc passer un casting.

Nous étions entrées une à une dans une salle. J’étais la dernière. Lorsque vint mon tour, Fabrice ouvrit la porte et m’invita à entrer. Il s’était installé près de deux autres hommes assis sur des fauteuils. J’étais là, devant eux, timide et un peu gênée. Je redoutais ce qui allait se passer.

Fabrice fit la présentation. Les deux autres hommes me déshabillaient du regard. On me demandait de retirer d’abord ma robe, puis mes sous-vêtements pour qu’ils puissent juger ma plastique. Je m’exécutais en rougissant. Je me sentais comme un bout de viande détaillé et observé par des bouchers.

J’étais entièrement nue. Heureusement qu’ils avaient un regard strictement professionnel. Cela me rassurait.

Un partenaire TBM et respectueux

  • « Je pense que Fabrice vous a déjà parlé des conditions et du salaire pour la prestation. Nous pouvons faire un essai dès aujourd’hui si vous vous sentez prête Mademoiselle. », me disait l’un des deux hommes.

J’étais soulagée et très contente. J’étais retenue, et j’allais surtout encaisser la grosse somme.

Fabrice m’indiqua un grand lit où m’installer, pendant que l’équipe de tournage se prépara. Un bel homme musclé, avec une barbe de trois jours et des tablettes de chocolat à la place du ventre fit son entrée. Il avait de la gueule. Tom, c’est son prénom, m’avait rejoint dans le lit.

L’un des messieurs nous demanda ensuite de nous déshabiller mutuellement. Nous nous étions exécutés. J’ôtais son teeshirt avant de baisser son pantalon. Je vis son sexe en début d’érection. Il dégrafait mon soutien-gorge, et retirait ma culotte. Sa queue était grosse, et j’avais hâte qu’elle me pénètre.

Nous avions poursuivi le film avec des séances de fellation. La caméra faisait un gros plan sur moi, et cela me troublait au départ. Je m’étais alors approchée de la grosse queue pour la sucer en la branlant simultanément. Je commençais à mouiller un peu.

Ressentir du plaisir en tant que modèle

Nous avions enchainé la scène avec le fameux 69. Il mit sa tête entre mes cuisses pour s’apprêter à me faire un cunni inoubliable, à la façon des films pornographiques. Je n’avais pas pu m’empêcher de mouiller un max. Il s’exécutait avec une telle ferveur que le plaisir au niveau de mon clitoris m’empêcha presque de me concentrer sur ma mission.

De mon côté, je prends le sexe devant moi pour l’enrouler dans ma bouche avec la langue. Je m’activais sur la queue et je l’entendais gémir doucement. J’avais complètement oublié qu’une caméra était braquée sur nous et toute une équipe était en train de nous regarder. On était très pris par notre plaisir.

« Coupez ! » disait soudainement le réalisateur alors qu’on était encore tellement bien. Il avait demandé le clap avant d’enchaîner avec la pénétration. C’était le premier moment fort du tournage.

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