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Progression d’un riche héritier dans le libertinage

« Vis chaque seconde comme si tu devais mourir demain ». Cet adage résume à peu près ma vie. Moi, c’est Peter, fils d’un père anglais et d’une mère française. J’ai 24 ans, et j’ai fini mes études à la fac l’année dernière. Je vis actuellement dans le sud de la France. Jusqu’à présent, je n’ai pas encore cherché à dégoter un emploi. Je suis un peu trop occupé à profiter de ma jeunesse pour me vautrer derrière un bureau, attendant patiemment la retraite ! Je peux dire que je viens d’une famille plutôt aisée. Mon père est un designer de bâtiment réputé, tandis que ma mère, eh bien, elle profite de l’argent de mon père autant que moi. Je rigole, elle est peintre et son sens créatif aide souvent mon père pour les idées de design d’intérieur.

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Premier rapport intime avec Sophie, ou comment tomber sur le bon numéro

Depuis que j’avais découvert le premier porno de ma vie par accident sur l’ordinateur portable de mon grand frère, j’avais été comme foudroyé par une envie : les filles. À mes 15 ans, je draguais déjà des lycéennes dans la même classe que mon frangin. Bien sûr, je me faisais jeter la plupart du temps, mais je n’étais pas du genre à prendre ces échecs au sérieux.

Fantasmer sur la cochonne du lycée

Ma première expérience sexuelle fut Sophie, j’étais en seconde, et elle en dernière année de lycée. Sa réputation de salope de service dans l’établissement la précédait. Oui celle qui taillait des pipes aux toilettes, c’était Sophie. Donc la fille parfaite pour m’entrainer dans une première aventure sexuelle…

À 16 ans, je faisais partie de l’équipe de basket de mon école et j’avais déjà un physique assez imposant. Bien gaulé, je ne passais pas inaperçu avec mon gabarit. Sophie avait remarqué mon « potentiel » (c’est ainsi qu’elle appelait mon sexe, en fait) lorsque j’étais au vestiaire en train de me changer après un entrainement. Elle trainait dans le coin – comme par hasard -, en quête d’un mâle transpirant et bien foutu.

Il n’y avait que moi dans la pièce, vu que le reste de l’équipe était parti une demi-heure auparavant. Je la connaissais déjà, mais on se parlait à peine. Vu mon manque d’expérience, j’étais intimidé de la voir en serviette. Je me demandais si elle pouvait utiliser la douche des garçons. Toutes celles des filles étaient débordées, d’après ses dires. Je lui dis donc d’entrer et de prendre une douche libre et que j’allais en prendre une autre.

Se faire sucer par la grosse salope de l’établissement

Sans aucune gêne, elle laissa tomber sa serviette devant moi, dévoilant un corps digne des quelques magazines hot que j’aie pu voir. Il était quasiment impossible de détourner les yeux de ses seins qui m’appelaient. Aucun poil ne venait cacher son sexe, ce qui me permit de découvrir pour la première fois de mes propres yeux les entre-jambes d’une fille. Mon Dieu ! Elle était tout simplement magnifique.

Faisant mine d’ignorer que je la dévorais du regard, elle se rendit innocemment dans ma douche, et en passant devant moi, me murmura quelque chose à l’oreille. « Toi, t’as du potentiel ». Elle prononça ces mots tout en caressant légèrement mon sexe en érection. J’aurais tout donné pour venir prendre une douche avec elle, mais ma timidité de puceau a complètement repris le dessus.

Pendant que je prenais tant bien que mal ma douche, je ne pouvais m’empêcher de penser à elle, de l’autre côté de la cloison. Soudain, ma porte s’ouvrit, et à ma plus grande surprise, je la vis s’approcher de moi, le corps trempé de la tête aux pieds. Sans un mot, elle s’agenouilla et prit mon sexe dans ses mains, puis joua avec en utilisant ses lèvres et sa langue, comme s’il s’agissait d’une sucette à la framboise.

Déjà habituée au sexe malgré son jeune âge, ma salope a rarement vu une queue grosse comme la mienne
Déjà habituée au sexe malgré son jeune âge, ma salope a rarement vu une queue grosse comme la mienne

Elle s’y prenait tellement bien que j’avais failli tomber par terre. Après quelques minutes de gâterie, elle m’ordonna quasiment de la soulever et me dis tout en embrassant mon cou « Prends-moi ». C’est ainsi que j’avais pu expérimenter le plaisir charnel pour la première fois.

Une passion forgée et assumée pour les femmes de tout âge : Vive les cougars

Depuis ce jour, je ne vis que pour les femmes. Je suis du genre ouvert d’esprit et je ne m’embarque jamais dans une relation sérieuse. Pourquoi, me dites-vous ? Il est trop tôt pour me caser et laisser filer toutes ces belles demoiselles en chaleur qui n’attendent que mon charme et mon pénis pour les faire hurler de plaisir.

Désormais, j’assume complètement ma virilité et je sais pertinemment que je suis irrésistible aux yeux de la gent féminine. Je pourrais faire fondre le cœur d’une femme éperdument amoureuse de son mari en l’espace d’une discussion. Et ainsi l’avoir dans mon lit le soir même, je vous le garantis.

À mes heures perdues, je pose pour un magazine de vêtements d’hommes et j’entretiens beaucoup mon corps. Comment veux-tu que les femmes se jettent à tes pieds si tu es grassouillet ou trop maigre ? Sport, musculation et salon de coiffure font partie de mes passe-temps préférés.

Grâce à la fortune de mes parents, je peux me payer des habits classes de grande marque. Sachez que je ne cherche rien d’autre chez une femme à part du sexe sans état d’âme. Si je rencontre une cougar millionnaire, vous pouvez m’appeler « gigolo ou toyboy », si cela vous chante… Mais son argent ne m’intéresse nullement. Si elle me gâte avec de beaux cadeaux, je suis preneur bien sûr. Mais tout ce plaisir matériel est secondaire, pour moi. Seul le sexe prime.

La MILF Déborah me fait du gringue malgré la différence d’âge

D’ailleurs, une amie de ma tante, une cougar du nom de Déborah, me faisait souvent de l’œil quand elle et ma tante rendaient visite à mes parents. D’après son chauffeur, elle aimait les hommes plus jeunes et adorait particulièrement jouer avec eux à des jeux sexuels particuliers.

Plutôt playboy, j'obtiens rapidement ce que je veux auprès des femmes
Plutôt playboy, j’obtiens rapidement ce que je veux auprès des femmes

J’étais tellement curieux de connaitre son secret que je finis par lui faire secrètement des avances. Elle avait la quarantaine, son physique laissait très peu d’indices sur son âge. En réalité, elle entretenait son corps du mieux qu’elle le pouvait pour ressembler à des bimbos de 25 ans.

Sans grande surprise, elle me proposa de venir chez elle et me suggéra de porter un costume élégant. Elle possédait une grande demeure, à une heure et demie de là où l’on vivait. Je m’y rendis et elle m’accueillit chaleureusement. Sans tarder sur les détails, elle me conduisit directement vers une grande salle. Là se trouvaient de nombreux sextoys et des accessoires de torture sexuelle.

Cette passion dissimulée de cougar m’offre une initiation à la domination

Un moment, j’étais un peu terrifié par tout ce que l’on pouvait faire avec ces objets, mais surtout sur le devenir de qui les subissait. Elle m’expliqua qu’elle était adepte des jeux de soumission. Toutefois, elle y jouait la soumise, pas la Maîtresse. En d’autres termes, elle appréciait que de jeunes hommes abusent d’elle sexuellement avec emprise et fermeté. Cela lui procurait un plaisir monstre.

J’avoue que je n’avais jamais essayé ce genre d’expérience auparavant, mais que cela me tentait. Du coup, elle se changea, et quelques minutes plus tard, je la vis avec des cuissardes, portant un string en cuir, et un soutien-gorge qui ne cachait absolument pas ses gros tétons. Des gants en cuir couvraient ses mains délicates. Elle me demanda de l’attacher par les mains et les pieds, puis de lui faire tout ce dont j’avais envie.

Elle disposait d’une énorme salle dédiée aux pratiques hard et BDSM. J’avais tellement l’embarras du choix que je ne sus quel instrument utiliser. Ce qui me surprenait le plus, c’était le fait qu’elle ne voulait pas de relation sexuelle. Déborah la cougar souhaitait uniquement des jeux de domination sans pénétration. Le fait de se faire doucement torturer lui procurait énormément de plaisir.

Je jouais très bien mon rôle de dominateur, à un tel point que ma soumise m’invita à revenir quand je le souhaitais pour de nouvelles parties. Cette expérience ne m’avais pas déplu, mais je n’y suis pas encore retourné, je l’avoue.

Séduire deux filles pour le prix d’une en vue d’un plan à trois

Un jour, j’avais fait la connaissance d’un couple lesbien dans un café. Au départ, je pensais que c’étaient deux jeunes copines qui prenaient une pause ensemble. Vu que l’endroit était bondé de monde, j’avais choisi de m’installer à leur table tout en les saluant avec courtoisie, armé de mon sourire ravageur.

Étant un jeune homme bien éduqué, je me mis à me présenter, elles en firent de même. Nathalie et Laura sont deux jeunes filles qui ont, à peu près le même âge que moi. Venant de la capitale, elles séjournent dans le sud le temps des vacances.

Elles sont fort sympathiques. Nous discutions de la pluie et du beau temps, puis, je commençais à aborder des sujets plus intimes. En réalité, j’avais l’intention de me faire les deux copines à la fois, puisqu’il m’était difficile de faire un choix. Nathalie était blonde, avec une forte poitrine, et portait débardeur et minishort. Laura, quant à elle, avait les cheveux châtains, des attributs moins généreux que ceux de sa copine, mais son combishort me donnait grandement envie de découvrir ce qui se cachait là-dessous.

Je les bombardais peu à peu de questions tournant autour du sexe. J’avais l’habitude de les déguiser en blagues pour voir leur réaction. Si elles étaient réceptives à mes sollicitations, j’en profitais pour creuser davantage. Je les complimentais sur leur physique, leur corps. Dès que je détectais le moindre rougissement, je savais que j’avais fait mouche.

Plus qu’amies, ces deux nanas baisaient ensemble

Toutefois, elles m’avaient fait directement du rentre-dedans en me disant clairement qu’elles étaient lesbiennes. Elles souhaitaient expérimenter le sexe à trois avec un bel inconnu. « Mesdames, vous avez trouvé le parfait candidat pour vos expériences salaces ».

Nous nous rendîmes dans un hôtel que j’avais l’habitude de fréquenter. Le gars chargé de l’accueil était même devenu un grand ami. « Et c’est reparti !», me taquina-t-il en me donnant directement la clé de ma chambre habituelle, sans que je n’aie à dire un mot. Nathalie et Laura étaient d’ailleurs un peu surprises, mais finalement s’en foutaient.

Une fois installées, elles m’avaient littéralement jeté sur le lit, puis s’étaient mises à se toucher et à danser devant moi. Leur façon de se dénuder et de faire leur striptease me laissait sans voix. Elles me faisaient déjà l’amour sans me toucher.

S’embrasser langoureusement entre elles était si naturel dans leur couple… Je bavais d’envie devant ce spectacle préliminaire. Nathalie était presque totalement nue. Elle ne portait plus qu’un petit string noir en dentelle qu’elle retira avec sensualité et qu’elle jeta vers moi. Laura, toute dévêtue, lui caressa les cuisses, puis l’entre-jambes et me lança un regard de braise tout en lui léchant les seins.

Deux jeunes lesbiennes qui avaient envie d'une bite à partager
Deux jeunes lesbiennes qui avaient envie d’une bite à partager

Utilisé comme un objet sexuel, j’ai adoré qu’elles abusent de mon corps

J’avais joué le jeu en faisant le spectateur tout excité. Après cette scène torride entre elles, elles se sont attaquées à moi, me déshabillant en deux temps, trois mouvements. Je voyais dans leurs yeux une étincelle de joie et un frémissement de plaisir en voyant mon sexe bien dur. Et hop ! Elles se jetèrent dessus comme des bêtes affamées, suçant et léchant la moindre parcelle de mon organe telle une friandise.

Pendant que mon sexe pénétrait la chatte délicate de Laura, Nathalie sortit un sextoy de son sac à main (elle devait le trimballer à longueur de journée !) et s’installa sur le lit en se donnant du plaisir solitaire. La voyant toute mouillée, je la rejoignis, laissant Laura s’affairer avec leur bidule sexuel.

Nous nous étions amusés comme cela jusqu’au bout de la nuit pour finir épuisés, à trois, dans ce grand lit. Nous avions gardé contact pour un dernier tour de sexe à trois hyper torride avant que les jeunes femmes ne repartent vers le nord, rejoindre la capitale… Un souvenir en or !

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