Avec mon attitude de salope assumée, je fais craquer un homme marié

Nombreux voient la vingtaine comme une période clé de la vie. Trouver une relation stable, un emploi stable, fonder une famille, avoir des enfants, bla bla bla… Arrêtons ces histoires qui n’existent que dans les contes de fées. Moi, ma vingtaine, je la vis à fond. C’est pour moi une période unique dans la vie où tu n’es plus une gamine. Dans le même temps, tu n’es pas encore assez vieille pour qu’on t’appelle madame. Ainsi, je la vis comme je l’entends. Je ne suis pas contre une relation amoureuse, mais les principes ne sont pas trop mon fort. En d’autres termes, je baise autant que possible.

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S’habiller en chaudasse, la base pour séduire un homme

Moi, c’est Sophie, tout juste diplômée de l’université et employée dans une petite boîte de la capitale depuis presque 1 an. Je suis le genre de femme coquine et coquette. J’aime plaire aux hommes. Leurs yeux fixés sur mon corps quand je déambule dans la rue, et leur bouche béante qui salive quasiment en me voyant, me rappellent que je suis belle, féminine et désirée.

Mon corps, j’en prends strictement soin. Je ne laisse jamais une tranche de pizza en trop laisser des kilos déformer lentement mes courbes. Mes mardis, jeudis et samedis soir s’achèvent souvent à la salle de sport afin de sculpter et affiner ma silhouette.

En couple ou célibataire, les hommes me regardent à longueur de temps en fantasmant
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Avant de continuer la lecture... Dites-nous si la situation de ces personnes vous plaît.

En ce qui concerne mon style vestimentaire, j’y prête également une attention particulière. Une femme ne peut pas être désirable si elle ne s’habille pas telle une femme. Je suis partisane de tout ce qui est sexy, et parfois osé. Un petit short aux limites de l’indécence et un débardeur bien moulant pour mes sorties du week-end, une jupe assez courte pour laisser apparaitre mes longues jambes et mes belles cuisses au bureau… Bref, je mets tous les atouts de mon côté pour laisser transparaitre cet aspect coquin, glamour et séduisant.

Sélective dans mes conquêtes, je couche aussi dès le premier soir

Lorsque je vous dis que je vis ma vingtaine à fond, ce n’est pas pour exagérer. Tous les vendredis soir, ma très bonne copine Anaïs et moi en profitons pour sortir et fréquenter les clubs branchés de la capitale. Tous les ingrédients sont réunis dans ce genre d’endroit pour un défoulement total : Bonne musique, alcool, et surtout, de beaux mecs.

Mon genre d’homme est le style typique des magazines : Grand, beau, musclé et un peu dragueur. Il faut surtout qu’ils aient de l’allure et de la classe. Je sors souvent dans une petite robe bien courte ras-les-fesses, talons aiguilles, un string ou rien du tout sous la robe. Évidemment, jamais de culotte de jeune fille qui recouvre trop mes courbes. Je risquerais de paraître trop innocente aux yeux des beaux mâles en chaleur. Aucun d’entre eux ne penserait alors à me prendre virilement en levrette dans les toilettes. Hihi… simple idée !

Souvent, nos soirées se terminent dans les bras d’un bel inconnu dont on ne rappelle presque jamais au lendemain, sauf s’il est très, très, beau gosse. Du côté sexe, je suis une fille plutôt ouverte d’esprit et aventureuse. Je ne m’impose aucune limite et je suis toujours partante pour de nouvelles expériences. Une fois, j’avais fait la rencontre de jumeaux italiens qui avaient des physiques de dieux. J’étais tellement indécise que j’ai pris le lot pour une partie de jambes en l’air inoubliable pour mon entrejambe, à un point que j’avais du mal à marcher correctement pendant quelques jours.

Hors de mes critères, cet homme lambda a quelque chose d’attirant

Comme je le disais, je travaille dans une boite dans la ville parisienne. Je suis entourée de nombreux hommes quadragénaires à qui la crise de la quarantaine leur monte peu à peu au cerveau. Et moi, je ne fais rien pour arranger les choses. Des discussions parfois osées, des gestes malvenus qui laissent souvent apparaitre un peu trop mon décolleté suffisent à faire monter l’ambiance d’un cran sans pour autant que nous n’aillons plus loin.

Mais récemment, le département informatique a embauché un tout nouvel employé, Robert. Mon Dieu, comment peut-on encore s’appeler Robert sans avoir plus de soixante ans, 3 enfants et être déjà dégarni ? Et bien surprise : Robert a vingt-cinq ans, mon aîné de trois ans seulement, une allure de geek pur, avec des lunettes, des cheveux mal coiffés et une posture loin de montrer de l’assurance.

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Pour la petite histoire, Robert est un as de l’informatique qui a fait de grandes études à l’étranger avant de revenir en France pour trouver du travail et surtout, retrouver sa chère et tendre promise, Lily. Les deux tourtereaux ne sont pas encore mariés, mais prévoient ce grand évènement dans les mois qui viennent.

Plus qu’intriguée, me voilà excitée par ce Robert

Globalement, ce Bob, si je puis me permettre, a le morphotype opposé du type d’homme qui m’attire. Il est toutefois grand et son teint légèrement pâle lui va très bien. Si je pouvais le décrire en quelques mots, il ressemble vaguement à Clark Kent en plus maigrichon, en reporter du Daily Planet… mais pas à Superman.

Néanmoins, j’ignore la raison, mais quelque chose en cet homme m’attire. En tout cas, ce n’est ni son physique, ni son accoutrement. Sans doute est-ce son air tout mignon, ou ce regard de braise qu’il dégage involontairement derrière cette paire de lunettes (passée de mode !) quand il réfléchit.

En réalité, je le compare tellement à Clark Kent… Que j’en finis par y croire et à fantasmer sur lui en l’imaginant dans une tenue moulante de super héros !

Des tentatives infructueuses pour chauffer ce coincé du cul

Bien que je sois au courant de sa belle histoire d’amour avec sa dulcinée, la diablesse en moi a pris le dessus. Ainsi je me suis donnée un challenge de flirter (au moins), voire coucher avec lui ne serait-ce qu’une fois. Pour cela, mes tenues devenaient de plus en plus provocantes qu’auparavant, afin d’attirer son attention.

Je passe souvent lui dire un petit bonjour « amical » avec une jupe qui laisse mes cuisses recouvertes d’un fin collant. Évidemment je fais ça juste pour le saluer, et le chauffer. Je prends le soin de déboutonner ma chemise juste ce qu’il faut afin qu’il s’aperçoive que je ne porte pas de soutien-gorge.

Un bonjour se transforme souvent en une longue discussion suivie de petites taquineries. Mais il semble, jusqu’ici, inébranlable face à mes gestes aguicheurs. Certes, ses yeux se posent de temps à autre sur moi de manière osée. Plein de self-control il n’avance pour autant aucun signaux de désirs, ce qui a tendance à m’énerver par moment.

Déterminée à le chauffer pour qu’il craque face à mes avances

Je suis donc obligée de jouer d’autres cartes pour le provoquer. Pour cela, il n’y a rien de tel que de l’appeler souvent pour dépanner mon ordinateur. Entre nous, il n’a rien de grave, à part une prise débranchée par inadvertance ou un programme désinstallé « par erreur » 😉

En une journée, je fais appel à son secours au moins 3 fois, ce qui a même fini par le faire douter de mes capacités à utiliser un ordinateur. Cela ne me dérange nullement, du moment que je passe du temps avec lui.

Dans mon bureau, je suis dans mon élément et complètement à mon aise. Un jour, alors qu’il se penche sous ma table et vérifie le branchement des fils, j’écarte soudainement les jambes dévoilant mon entrejambe et mon string blanc déjà un peu humide. Un geste de panique le trahit, ce qui me signale que j’ai fait mouche.

Une proposition non refusable à une femme comme moi

Pendant qu’il s’affaire à réparer ce foutu ordinateur qui ne cesse de me poser des problèmes, j’aborde sa relation avec sa chère et tendre Lily. Puis, j’oriente peu à peu la discussion sur son genre de fantasmes : Quelles postures il préfère… N’a-t-il jamais envisagé de le faire à trois…

Il finit par se prendre au jeu et à devenir plus ouvert. Le gentleman timide et compagnon modèle bascule enfin vers le “côté obscur de la force”. Au fur et à mesure de la conversation, je lui demande si, par le plus pur des hasards, il serait tenté de venir s’amuser en discothèque avec moi et ma copine Anaïs un vendredi soir. Bien sûr, Anaïs ne sera pas de la partie. Je l’ai évoquée dans ma proposition uniquement pour éviter qu’elle ne soit trop directe.

Se sentant de plus en plus à l’aise avec moi, et de moins en moins indifférent à mes taquineries aguicheuses, il finit par accepter.

Soir du rendez-vous : Va-t-il succomber à mes suggestions indécentes ?

L’attente du vendredi soir me semblait interminable, mais le fameux moment arriva enfin. Dès que je suis rentrée du boulot, j’ai pris la peine de prendre un bon bain chaud pour me détendre. Choisir ma meilleure robe et mes dessous les plus sexys me faisaient déjà mouiller.

Finalement je choisis une petite robe rouge évasée bien courte, mettant parfaitement en valeur mes longues jambes et mes belles cuisses. Des talons aiguilles les accompagnent. Pour le visage, un maquillage léger, les cheveux relâchés, ça fait plus tigresse. Et j’oubliais : Aucun dessous pour pimenter la soirée.

Quand nous nous sommes retrouvés au lieu de rendez-vous, je feignis bien l’étonnement en disant qu’Anaïs avait un empêchement de dernière minute. Il ne reste donc plus que Robert et moi pour commencer et terminer cette soirée. Il possède une petite berline, loin d’être spacieuse, mais élégante quand même. Son carrosse nous amena donc vers un club que j’apprécie particulièrement.

Préliminaires électrisants par un homme expérimenté

Une fois sur le lieu, nous commençons à nous mettre dans l’ambiance et “Bob” dévoile ses talents de danseur que je n’aurais jamais soupçonnés sous ses airs d’intello. Il avait retiré ses lunettes, laissant de beaux yeux électrisants me fixer de temps. Sans dire un mot, j’avais compris que ma tenue un peu salope lui faisait de l’effet.

Nous nous sommes mis à boire, à danser, à boire, à danser, à discuter, et à boire de nouveau, puis à danser. Quand l’alcool avait suffisamment fait son effet, sa timidité avait complètement disparu. Ses mains devenaient de plus en plus baladeuses. Un léger frôlement sur ma poitrine se transforma en une caresse insistante. Il empoigna mes fesses et commença à m’embrasser langoureusement au beau milieu de la foule.

Au début, j’étais un peu surprise par son audace, mais l’excitation et mon désir ont pris le dessus et je m’empressai de lui caresser gentiment le sexe à travers son jean. Je le sentis directement en érection, prêt à bondir sur sa proie. Il voulait pénétrer ma petite chatte, je le sentais.

Si, jusque-là, nous étions face à face, il me retourna soudainement, le dos face à lui et les fesses collées à son sexe bien dur. Dans cette foule immense et avec la luminosité de la piste, aucun geste n’était interdit et tout pouvait passer inaperçu.

Il ne tarda pas à glisser sa main sous ma jupe et à caresser mon entrejambe. Il ne fit même pas attention si je portais une culotte ou non. J’étais déjà tellement émoustillée que chaque action de ses doigts me fit frémir de plaisir. Cerise sur le gâteau, il me mordilla les oreilles tout en les léchant gentiment.

Niquer en voiture dans un parking : Un fantasme enfin réalisé

Nous ne pouvions plus attendre et nous nous sommes empressés de rejoindre sa voiture garée dans le parking de la discothèque. Les regards indiscrets de quelques hommes ont suivi notre petit jeu, mais qu’importe ? Robert déverrouilla les portières à la hâte, me pris dans ses bras et me jeta carrément sur la banquette arrière. Là, il arracha déjà sa chemise pour se livrer nu à moi. Et telle une proie sans défense, je l’attendais, ma robe complètement remontée jusqu’au-dessus de mon nombril. À cet instant, je voulais qu’il me défonce, rien d’autre.

Je voyais dans ses yeux un désir incomparable lorsqu’il vit mon corps se donner à lui. Il se rapprocha de moi, m’embrassa le cou, les seins, le nombril, descendant plus bas pour me faire quasiment jouir avec sa langue.

Puis, il entra doucement, mais sûrement en moi. Je profitais pleinement de chacun de ses mouvements à un tel point que j’ai failli m’évanouir. Je ne pus me retenir de pousser des gémissements qui se firent entendre dans tout le parking. Seuls le gardien du parking et quelques badauds pouvaient profiter de mes cris de plaisir, mais je n’en avais que faire.

Ce coincé qui cachait son jeu me fait jouir dans sa voiture
Ce coincé qui cachait son jeu me fait jouir dans sa voiture

La folle partie de jambes en l’air terminée, Robert me raccompagna chez moi. J’aurais tout donné pour qu’il reste dormir, mais hélas, je ne pouvais le retenir, puisque sa bien-aimée l’attendait. Avant de franchir ma porte, je me retourne une dernière fois avec un sourire de satisfaction pour la belle soirée et un petit geste de la main pour lui dire au revoir. J’aurais peut-être dû insister pour qu’il reste…

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