Pour le monde entier, je suis l’exemple parfait de la femme moderne qui a réussi sa vie. Je suis rédactrice en chef d’un magazine féminin connu, probablement le plus lu depuis des années, et j’ai des dizaines de personnes à ma charge. Je gagne bien ma vie, je suis respectée par mes pairs, ma vie professionnelle et sociale est un succès. Les gens m’envient.
Ce qui fait que nombre d’hommes et de femmes me jalousent, c’est que j’ai bien plus que ça dans ma vie. Vous savez, l’histoire de la personne qui a tout sacrifié pour sa carrière ? Celle qui a renoncé à sa vie personnelle, à ses passions, à sa famille pour son travail ? Celle qui regrette ? Et bien ce n’est pas moi. Pas du tout.
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Retour aux histoires candaulistes de femmes coquines
Une cadre familial bourgeois qui me comble presque totalement…
Je suis mariée à un homme qui prend toujours soin de lui, et qui a un bon poste dans une entreprise de bâtiment. Nous avons deux beaux enfants, des adolescents qui ont de bons résultats à l’école, et pas de problèmes de drogue. Ils aiment lire sur la terrasse plutôt que d’être plongés dans leur téléphone, et préfèrent 100 fois sortir faire du sport avec leurs amis plutôt que de regarder les séries à la télé.
Nous avons une jolie maison en banlieue, entièrement payée, et nous avons installé une piscine dans le jardin il y a trois ans. Mon mari étant allergique, nous n’avons pas de chien, mais à part ceci nous sommes le tableau exact de la famille parfaite représentée dans les séries américaines.
En plus d’un bon boulot et d’une vie de famille parfaite, j’ai aussi réussi à entretenir mes passions. Le week-end, je continue à peindre des natures mortes. Je ne suis pas une artiste, je ne vendrais jamais mes tableaux, mais j’aime ce que je fais. Cela me détend. Et chaque hiver, nous partons naviguer deux semaines en famille. Caraïbes, Polynésie, Australie… C’est selon notre bon vouloir. C’est mon mari, breton, qui est passionné de voile et m’a transmis l’amour du large. Nos enfants aussi y ont pris goût, et c’est un moment que nous partageons tous ensemble.
Vue de l’extérieur, ma vie est au top. Ceux qui me connaissent savent à quel point ma vie est pleine de tout ce que l’on peut désirer. Je n’ai absolument pas à me plaindre.
Et pourtant, je suis triste.
Des tentatives vaines pour identifier ce manque impalpable
Un manque profond dont je n’identifie pas la cause
Cette tristesse grandit en moi depuis plusieurs mois. C’est comme une maladie qui me ronge de l’intérieur. J’ai d’ailleurs cru que c’était cela, et je suis allé voir un docteur pour faire des analyses. J’avais peur d’avoir un cancer, j’étais persuadé que c’était la cause de mon mal-être.
Les résultats ont été clairs : je suis en pleine santé. J’ai accueilli la nouvelle avec soulagement, mais cela n’a pas résolu mon problème. Je suis triste, et je ne sais pas pourquoi. Il y a un problème quelque part, mais je ne sais pas où.
En tant que rédactrice de magazine féminin, j’ai pensé à des dizaines d’explications possibles. J’ai fait une retraite yoga dans une grange en Auvergne pour me retrouver, mais cela n’a pas marché. Par la suite j’ai changé mon alimentation pour retrouver un équilibre interne, et je me suis retrouvé avec une carence. Désespérée, j’ai essayé la médecine ayurvédique, j’ai fait de l’acupuncture… Puis je me suis acheté des cristaux antistress, et j’ai suivi les conseils de tous les spécialistes, mais rien ne fonctionne.
Je suis triste, et je ne sais pas pourquoi.

Un journaliste qui décrit parfaitement mon malaise de femme mature
C’est pourtant bien mon magazine qui m’a apporté la réponse, d’une manière inattendue.
J’avais engagé un nouveau journaliste indépendant pour me faire un papier sur les cougars mariées. C’est une pratique courante, d’engager des indépendants pour écrire sur ce genre de sujet. Cela revient moins cher, et s’il pond un papier inintéressant, on ne publie pas et on ne paie pas. C’est simple et sans risque.
Je pensais recevoir un article comme tous les autres sur le sujet, expliquant que le désir sexuel des femmes est bien présent, que « 40 ans c’est le nouveau 20 ans », le genre de choses qui font vendre du papier. Au lieu de ça, j’ai reçu un article de fond sur les difficultés d’être une femme quarantenaire, sur le mal-être qui nous touche toutes et sur les échappatoires qui s’offrent à nous.
J’ai relu l’article une vingtaine de fois, au moins. Je m’y retrouvais parfaitement. L’article était impubliable sous cette forme, mais il m’avait ouvert les yeux.
Je répondis à l’auteur qu’il allait devoir réécrire l’article sur un ton plus léger et positif, et lui offris un paiement en avance, chose que je n’avais jamais faite auparavant. Le journaliste s’appelait Louis Lacour, et je me mis à le chercher sur les différents réseaux sociaux, sans succès.
Louis, ce rédacteur qui lit profondément en moi : J’adore ça
Je continue à travailler avec Louis. Maintenant qu’il a compris le ton recherché, ses articles sont toujours excellents et rencontrent un franc succès. Je l’engagerais s’il me le demandait, mais cela semble lui convenir d’avoir un contrat en tant qu’indépendant.
Nous discutons souvent par mail. Ses papiers sont devenus plus légers, mais nos conversations sont de plus en plus profondes. Parfois, j’ai l’impression qu’il me connaît plus que je ne me connais moi-même. Il comprend si bien les femmes que je lui ai demandé s’il n’en était pas une, mais il m’a confirmé qu’il était bien un homme.
Nous discutons par mail, et à chaque fois que je découvre l’un de ses messages dans ma boîte, j’ai un petit pincement d’excitation. J’attends d’être seule pour le lire tranquillement. Il ne me déçoit jamais, ses écrits ne me laissent jamais indifférente. Je pense qu’il a commencé à s’en rendre compte. C’est évident que mes réponses sont de plus en plus intéressées.
Un homme capable d’inonder mon entrejambe avec ses mots
Il a écrit un dossier sur l’orgasme féminin, qui a plu à toutes les filles du journal et a conquis les lectrices. Si elles avaient vu les mails qu’il m’a envoyés à ce sujet, je pense qu’elles auraient du mal à s’en remettre. Moi-même, je ne peux pas dire que j’y sois restée indifférente. C’est bien simple, ses mots m’ont tellement excitée, ma culotte était tellement humide, que je n’ai pu résister à la tentation de me masturber à mon bureau.
Je le lisais en me caressant, et le plaisir m’envahissait. Et ce n’est pas à mon mari que je pensais en m’introduisant deux doigts, mais à Louis.
Louis qui me comprenait si bien. Cet homme savait parler aux femmes. Louis me rendait heureuse. Louis, Louis, Louis.
Je l’imaginai, grand, musclé, beau comme un dieu, avec un sourire ravageur. Je le sentais entre mes cuisses, et c’est son nom que je criai quand l’orgasme me submergea.
M’offrir à un gentleman que je n’ai encore jamais rencontré
Notre relation, car il s’agit bien d’une relation, je ne vais pas me mentir, vient de prendre une autre tournure. Dans son dernier mail, il me prévient qu’il doit monter sur Paris pour quelques jours. Cela arrive rarement. Il a pris une chambre à l’hôtel, et me dit qu’il aimerait bien me rencontrer, si je veux bien.
Je ne l’ai jamais vu. Je n’ai jamais parlé avec lui. Nous ne faisons que nous échanger des mails, et pourtant je me sens incroyablement proche. Louis, qui a conquis mon esprit et mon cœur… je souhaite lui donner mon corps.
Je lui réponds que c’est avec grand plaisir que je le rencontrerai. Et je propose de passer le voir à son hôtel quand il est en ville.
Un rendez-vous à la hauteur de mes espérances terni par une drôle de surprise
Je suis heureuse. Non, le mot n’est pas suffisamment fort pour décrire comment je me sens. Je suis radieuse. Je revis.
Allongée sur le grand lit blanc, dans la pénombre de la chambre d’hôtel, je me remémore les dernières heures pendant que Louis prend une douche.
Je suis venue à son hôtel, et je suis montée directement dans sa chambre. Je ne voulais pas que l’on nous aperçoive ensemble dans le hall. Il y a peu de chances qu’on nous surprenne, mais je préfère ne pas prendre de risques. Je n’oublie pas que je suis mariée.
La passion s’est déchaînée dès que j’ai ouvert la porte. Il m’a pris dans ses bras, sa bouche s’est posée sur la mienne, et je me suis sentie fondre dans son étreinte. Littéralement. Mes muscles se sont relâchés, ma température a augmenté et j’ai senti comment je commençai à dégouliner le long de mes cuisses.
Il m’a porté jusqu’au lit, où il m’a déshabillée. Je ne distinguai que sa silhouette. Il était plus petit et moins musclé que ce que j’avais imaginé, mais sa peau était douce et chaude. Et ses caresses… Lorsque son visage arriva entre mes cuisses, je cessai de penser et me laissai embarquer dans une vague d’orgasmes successifs.
Nous avons fait l’amour plusieurs heures, et cela a été magique.

La douche s’arrête, et j’entends Louis fredonner un air entraînant avec des paroles que je ne comprends pas. Cela me fait sourire de l’imaginer en train de se sécher, un sourire aux lèvres, tellement heureux qu’il chante n’importe quoi.
Quand la porte de la salle de bains s’ouvre, j’allume la lumière pour mieux voir mon amant.
Abusée par un jeunot qui m’a trompée avec ses mots
Sur le chemin du retour, je suis mortifiée. Pendant que je conduis, je me repasse les évènements des derniers mois. Rien n’aurait pu me mettre la puce à l’oreille, il n’y a jamais rien eu d’étrange. Et il ne m’a jamais menti, ou induit en erreur. Il n’est pas à blâmer.
Je me suis mise dans cette situation toute seule. Mon imagination m’a trompé. Et mon imprudence a fait que je n’ai pas posé les quelques questions qui auraient pu éviter ce désastre. Mon Dieu, qu’ai-je fait ?
Je connais les dangers de l’internet, je sais que rien n’est comme il y paraît, c’est ce que j’enseigne à mes enfants tous les jours. Comment ai-je pu ne pas poser quelques questions toutes simples ? Naturellement il y aurait répondu ; Il n’avait rien à cacher.
Il m’aurait dit que Louis Lacour était son nom de plume en français, et que son vrai nom était Deepak Rajay.
Puis que le français n’était pas sa langue maternelle, et qu’il l’avait apprise à l’école.
Aussi il m’aurait dit qu’il vivait en Inde, et que s’il venait à Paris quelques jours c’était pour déposer son dossier d’inscription à la fac de lettres.
Puis il aurait complété en me disant que l’argent des articles qu’il écrivait pour mois allait servir à payer son année d’études en France.
Pour terminer, il m’aurait dit qu’il avait seulement 19 ans.
Assumer mon côté croqueuse d’hommes : Aucun problème !

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