Nous sommes, avec mon épouse, naturistes, libertins, échangistes et nous pratiquons un candaulisme un peu particulier. En effet, j’adore regarder ma femme branler des inconnus dans des lieux publics, principalement en plein jour.
Retour aux histoires candaulistes de maris cocus
Nos vacances débridées dans les camps naturistes
🌶️ ️️Offres Produits Érotisme - Sexe et Sensualité : Sextoys, BDSM, Préservatifs, Huiles... (et rendez-vous dans la rubrique PROMOTIONS)
Depuis toujours, nous passons nos vacances dans des campings au bord de l’eau, principalement au Barcarès dans le midi. Ceux qui ont fréquenté ces centres de vacances naturistes (que les textiles appellent nudistes) savent que les mœurs y sont relativement libres. Nombreux sont les apéritifs qui dégénèrent.
Tous les naturistes ne sont pas libertins, loin s’en faut, et d’ailleurs de nombreuses familles fréquentent ces endroits. Ceux qui ne sont pas très habitués, qu’ils soient pères de famille ou hommes mariés, peuvent parfois avoir des érections en public. Cela ne dérange personne et c’est quelque chose de plutôt rare, hormis bien entendu chez des jeunes adolescents pubères.
Malgré tout, si le sexe n’est pas forcément en érection, il peut être parfois en « demi-molle », mais c’est surtout le regard qui parle davantage que le sexe. En effet, une belle femme a toujours déclenché des émotions chez un homme, quels que soient son statut civil et son âge. C’est là que nous avons eu une idée originale avec ma femme.
L’idée de procurer du plaisir à des inconnus
Le soir, dans notre bungalow, nous parlions beaucoup des regards de tous ces hommes, souvent discrets, mais insistants, sur les croupes généreuses des jeunes femmes. Ils faisaient pitié à mon épouse. « Tu te rends compte qu’ils n’ont qu’une envie c’est se branler, mais qu’ils ne le feront jamais », me dit-elle. Et, sans savoir pourquoi je lui répondis : « Et pourquoi tu n’irais pas les branler, toi ? ».
Tout est parti de là. Nous parfîmes dans un grand éclat de rire et ma femme me prit au mot, en me disant que c’était là une excellente idée qui allait un peu pimenter nos vacances. Et dès le lendemain, nous nous mîmes à l’affût de ces hommes et de leurs regards !
Il ne fallut pas attendre longtemps pour repérer la première victime, un homme d’une soixantaine d’années, revenant de chez le boulanger. Sa manière de regarder les femmes qu’il croisait en disait long sur sa frustration d’être entouré de si beaux gâteaux et de ne pouvoir en déguster aucun. Nous l’avions déjà croisé, effectivement, sa femme n’avait pas l’air commode.
La première branlette derrière un pin parasol
En quelques mots, le plan était dressé. Ma femme allait le suivre et dès qu’elle repérerait un endroit un peu isolé, elle l’accosterait. Elle partit donc dans ses pas tandis que je me tenais à bonne distance. Cette année-là, un artiste avait exposé ses peintures sur de grands panneaux de contreplaqués sous ce petit bois non loin. L’endroit était idéal.
Mon épouse rattrapa le bonhomme, échangea quelques mots avec lui et, en moins de temps qu’il n’en faut le dire, elle lui attrapa le sexe à pleine main. L’homme eut un mouvement de surprise, mais il se laissa faire. Ma femme commença à le branler (elle se retenait de la prendre en bouche, je le sentais…) et il ne fallut pas attendre longtemps pour qu’il se mette à bander. Il regarder tout autour de lui, craignant d’être repéré. Mais l’endroit était calme. Je me tenais suffisamment loin, à l’abri derrière un arbre, pour contempler la scène.
L’homme se mit à caresser les seins de ma femme. J’étais habitué de la voir avec le sexe d’un autre homme entre les mains. Mais je n’avais jamais senti une telle excitation. Était-ce le fait que j’étais en plein air et que ma femme pouvait être surprise par n’importe qui ? Certes, ce n’était pas bien grave, hormis si ce n’importe qui s’était avéré être l’épouse du monsieur…
La sélection des partenaires…
L’affaire fut relativement vite réglée. Ma femme reçut une belle giclée sur les cuisses et l’inconnu repartit comme il était venu, son pain et son sac de croissants à la main. J’avais pour ma part pris un malin plaisir à jouer les voyeurs. Cela n’avait rien à voir avec nos parties fines dans les clubs échangistes. Il y avait quelque chose en plus.
Ma femme s’étant également beaucoup amusée, nous décidâmes que cette première fois ne serait pas la dernière. Nous eûmes, avant la fin des vacances, maintes fois l’occasion de renouveler cette expérience, principalement sur la plage.
Le plus intéressant était de choisir sa proie. Le choix était large et ce n’était pas le nombre de mâles seuls et isolés qui manquait. Mais ce qui nous intéressait c’était qu’il y ait le plus de monde autour, pour faire cela en public avec le risque d’être surpris.

Mon épouse met des tenues sexy pour faire bander dur les mecs qu’elle branle
Des hommes dociles, toujours prêts à jouir
Une fois la proie trouvée, ma femme s’en rapprochait, s’installait et entamait la discussion. D’une manière générale, tous acceptèrent le challenge. Toujours à bonne distance, j’adorais voir ma femme draguer ces hommes, leur caresser le ventre, les cuisses. Les voir rire et partager un moment de complicité décuplait mon excitation.
La plupart du temps, elle mettait une serviette sur le sexe de l’inconnu pour le branler, mais pas toujours. Parfois, l’homme se mettait de côté et elle se collait à lui en chien de fusil, frottant ses seins contre son dos. D’autres fois encore, l’homme tenait sur ses cuisses un magazine ou un journal. Mais l’acte se faisait au milieu d’une foule bruyante et occupée.
C’est là que nous prîmes conscience que les gens, finalement, ne se rendaient pas forcément compte de ce qui se passait à côté d’eux. Hormis certains petits malins qui se rinçaient l’œil. Un jour, alors que ma femme venait de faire jouir un jeune homme sous son parasol et qu’elle revenait vers moi, un homme l’aborda et lui parla à l’oreille. Je vis qu’elle sourit et les vis se diriger vers la mer. Il avait assisté au manège et lui avait simplement demandé d’aller le branler dans la Méditerranée !
Retour à Montpellier
Au retour des vacances, je persuadais ma femme de poursuivre notre petit jeu. Elle pensait qu’il s’agissait là d’un amusement d’été et n’avait absolument pas imaginé qu’il eut été possible de réitérer la chose, ici même en plein cœur de Montpellier.
Je trouvais au contraire le challenge encore plus excitant et c’est ainsi que tout commença véritablement. L’approche fut au début complètement différente, car ce n’est plus au hasard, dans la rue, que nous nous sommes mis à sélectionner nos complices, mais sur Internet.
À la simple annonce : « voulez-vous vous faire branler dans un lieu public », nous recevions des dizaines de réponses. La première sélection se faisait sur l’orthographe des réponses et l’âge des messieurs, au minimum 40 ans. Après de nombreux échanges pour fixer les règles, rendez-vous était pris en ville.

Les chômeurs dispo en journée la semaine aiment venir profiter d’une purge gratuite par ma femme
Oser branler dans les parcs et rues du centre-ville
La toute première fois se passa dans le Jardin des Plantes, ce petit parc sur l’avenue Henri IV : l’endroit idéal pour une première prise en main. L’homme attendait ma femme sur un banc, le long d’une allée du parc. Il avait posé sur ses genoux sa parka. Assis non loin sur un banc, je faisais mine de lire un journal.
Ma femme s’assit à côté de lui, et sans parler, glissa sa main sous la parka. L’homme avait certainement déjà ouvert sa braguette, car je vis rapidement le bras de ma femme faire un mouvement sans équivoque. L’homme mit au moins 20 minutes à éjaculer. De nombreux promeneurs passaient devant eux, mais aucun n’eut jamais un regard pour ce drôle de couple.
Je restais sur ma faim. Il me fallait davantage d’action. Je voulais voir, comme dans le camp de naturistes, toute la scène. Je voulais voir le sperme de l’inconnu couler sur la main de ma femme. Il me fallait changer de stratégie.
Les rendez-vous branlette s’enchaînent
D’autres rendez-vous furent pris avec d’autres hommes du côté du Corum ou à Antigone, des endroits publics, mais avec assez peu de passages et des lieux plus ou moins à l’abri des regards. L’excitation est décuplée si le risque de se faire surprendre est élevé. Et puis, il nous fallait trouver des endroits où je pouvais me positionner pour observer la scène sans être vue. Plusieurs fois, pourtant, les hommes en train de se faire branler, ont décelé ma présence. Mais aucun n’a demandé à ma femme d’arrêter.
Plus nous trouvions de volontaires et plus nous cherchions des endroits. Puis un jour, je visionnais une vidéo où des femmes branlaient des inconnus depuis leur voiture, en pleine rue, à travers la fenêtre ouverte. On pouvait voir les gens passer derrière les prétendants, le sexe tendu à la fenêtre.
Ma femme prenait tout autant de plaisir que moi à ces incartades. Cela ne l’empêchait pas de rester prudente. D’une part, elle craignait que les hommes ne veuillent pas respecter les règles et d’autre part, elle imaginait les conséquences si une patrouille de police décida de passer par là.
En voiture Simone !
Alors, se retrouver garé le long d’une rue et branler les passants, cette idée l’effraya un peu. Mais, une fois qu’elle visionna la vidéo, elle se décida à tenter l’aventure. Connaissant parfaitement Montpellier, je savais exactement où et à quelle heure nous devions nous garer.
Pour attirer les hommes, ma femme devait porter des vêtements qui puissent s’ouvrir entièrement sur le devant pour que tout ses seins et son pubis soient à découvert lorsqu’elle le souhaiterait.
Et le jour J vint enfin. Ma femme se gara à l’emplacement choisi (que j’avais pris soin de bloquer avec ma seconde voiture pour être certain que la place soit disponible). Et elle n’avait plus qu’à déboutonner sa robe au passage des hommes seuls. Sur le siège passager, son téléphone enregistrait toute la scène !
Les couilles pleines affluent…
C’est un groupe de jeunes qui arrivèrent les premiers. Ils virent ma femme de loin, rouge à lèvre rouge vif et décolleté plongeant. Lorsqu’elle les vit, elle dégrafa un bouton de sa robe et baissa la vitre. Au passage des garçons, elle leur lança : « ça vous dirait une branlette rapide » ? Les garçons se mirent à rire, mais l’un d’eux sortit son sexe de son pantalon de jogging et le mit à la fenêtre.

Ma chérie adore le moment où l’inconnu éjacule, plus il y en a, plus elle aime ça
Ma femme commença alors à le masturber. Il éjacula longuement sur la portière. De là où j’étais, je ne pouvais pas voir ces détails que je contemplais plus tard en vidéo. Après le premier vinrent le second puis le troisième. Des passants marchaient sur le trottoir, mais beaucoup ne voyaient pas la scène et ceux qui la remarquaient passaient leur chemin.
Pour une première fois depuis la voiture, ma femme n’alla pas plus loin. D’ailleurs, un des jeunes lui avait éjaculé sur sa robe et il y avait du sperme partout sur le siège. Cela l’excita terriblement. Quant à moi, j’étais totalement hors de contrôle. Après chaque escapade, je baisais ma femme avec une fougue jamais égalée. Je crois bien qu’il m’est désormais impossible de la baiser sans me repasser les scènes où je la vois branler tous ces inconnus dans tous ces endroits publics !
Mon voisin rocker, ce traître insoupçonné, danger pour ma famille

Espionner ma femme avec une autre

Comment ma femme me fait payer mon laxisme